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Bilderberg.org the view from the top of the pyramid of power
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vicflame Committed Poster
Joined: 30 Aug 2006 Posts: 4507 Location: Belgium
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Posted: Mon Jan 15, 2007 1:25 am Post subject: |
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BENOIT XVI ET LE NOUVEL ORDRE MONDIAL : LA SUITE : BENOIT XVI ENGAGE PETER SUTHERLAND (COMMISSION TRILATERALE, GROUPE BILDERBERG) COMME EXPERT FINANCIER !!!
Il a remis ça !!!
Benoît XVI, qui a appelé à un NOUVEL ORDRE MONDIAL économique dans son discours de Noël 2005 et qui a pris comme conseiller Henry Kissinger (un haut membre du Nouvel Ordre Mondial qui fait partie du groupe Bilderberg, de la Commission Trilatérale et du Council on Foreign Relations, et qui est sataniste de surcroît car faisant partie du culte Bohemian Grove, culte qui rend hommage à une statue de hibou du dieu babylonien Moloch), BENOIT XVI VIENT DONC DE NOUER UNE ALLIANCE ET DE PRENDRE POUR CONSEILLER FINANCIER UN AUTRE HORRIBLE MEMBRE DU NOUVEL ORDRE MONDIAL : PETER SUTHERLAND ! :affraid:
Peter Sutherland : cet irlandais, ancien commissaire européen, président de BP Amoco à Londres, ancien président et directeur de gestion de Goldman-Sachs, est également président de la partie européenne de la Commission Trilatérale (haute instance du nouvel ordre mondial) et membre du groupe Bilderberg (une autre haute instance du nouvel ordre mondial). :cccc: Bref, une crapule de premier choix, vendue, corrompue au pouvoir et à l’argent (or, on ne peut adorer à la fois Dieu et Mammon – dieu de l’argent).
On trouve la preuve de l’appartenance de Sutherland à ces instances sur les pages suivantes :
http://www.stevequayle.com/News.alert/05_Global/050426.Trilaterals.html
http://www.trilateral.org/memb.htm
http://www.crystalinks.com/bilderberg.html
Quant à l’alliance malsaine de Benoît XVI avec Sutherland, elle est résumée dans l’article que je vous ai traduit ci-dessous…
Certaines personnes sur ce forum doutaient du lien du Pape avec le Nouvel Ordre Mondial, minimisaient le fait qu’il ait appelé à un nouvel ordre mondial économique, et trouvaient une pléthore d’excuses à son alliance avec Kissinger (tout comme à son appartenance aux jeunesses hitlériennes dans sa jeunesse). :boulet:
Croyez-moi, mes amis, le Pape a choisi sa voie, et c’est celle du pouvoir et de l’argent ! Il va multiplier les alliances avec les ordures les plus fascistes de ce monde : les membres des instances du nouvel ordre mondial ! L’alliance avec Sutherland en est un nouvel et éblouissant exemple de plus !
Il va bien vous falloir ouvrir les yeux sur le fait que le Pape, leader de l’Eglise mais aussi de l’état du Vatican (qui est un PARADIS FISCAL), est en train de compromettre la chrétienté avec les dictateurs du Nouvel Ordre Mondial, ceux-là même qui mènent un plan FASCISTE d’ASSERVISSEMENT des peuples, d’EUGENISME, et de DEPOPULATION MONDIALE, qui déclenchent les guerres, blanchissent l’argent sale, préparent le PUCAGE DES INDIVIDUS et la SUPPRESSION DES LIBERTES et dirigent le monde en se complaisant dans les crimes les plus odieux !
L’Eglise des temps derniers connaîtra une division, une apostasie et un grand déchirement, nous a prévenus la Bible. Nous en voyons et en connaissons à présent la raison.
Si Benoît XVI et les prélats catholiques poursuivent dans la même direction (et il y a malheureusement de fortes chances qu’ils le feront), il faudra que les fidèles choisissent leur camp : celui du Pape félon et du Nouvel Ordre Mondial fasciste et maléfique, ou celui de la Bible, de Jésus, des libertés et des commandements divins ? :confused:
L’article honteux, ci-dessous… Vic.
P.S. : Vous remarquerez dans l'article ci-dessous combien le Vatican agit comme n’importe quelle multinationale au niveau de la rentabilité, au point d’engager des financiers experts (mais pourris jusqu’au trognon) tels que Sutherland. Vous remarquerez aussi que l’on parle dans l’article d’un autre scandale qui avait éclaboussé à l’époque la banque du Vatican : l’effondrement de Banco Ambrosiano, une institution financière en faillite intimement liée au Vatican et dont le président, Roberto Calvi, surnommé le « banquier de Dieu », avait été assassiné puis pendu sous le pont des « Blackfriars » (les « Frères Noirs »… tout un symbole !), tout près de Londres ! :suspect: Le gouffre financier provenait en réalité de l’Institut pour les Œuvres de la Religion qui n’est autre que la banque du Vatican ! Au centre de ce meurtre, on retrouvait, inextricablement mêlés, le Vatican, la loge maçonnique occulte P2 et la mafia ! Pour davantage d’informations à ce sujet, voir http://www.amnistia.net/news/articles/argsal/banqdieu/banqdieu_833.htm ou http://www.inreallife.be/Articles/SCAcalvi.php .
Source : ICI
L’ex-ministre de la Justice Sutherland va devenir l'un des « top banquiers de Dieu »
Mercredi 6 décembre 2006
L'homme d'affaires irlandais et ancien ministre de la Justice, Peter Sutherland, a été nommé en tant qu'un des gourous de l'investissement du Vatican.
M. Sutherland (60 ans) a été nommé en tant que conseiller expert concernant les finances du Vatican par le pape Benoît XVI.
Sa nomination au conseil responsable de l'administration du patrimoine de l'apostolique voient, connu sous le nom d’APSA, a été annoncée à Rome hier. L’APSA est le bureau au sein de la curie romaine qui s’occupe des propriétés possédées par le Vatican, lesquelles fournissent le revenu pour le pape et la fonction publique du Vatican afin qu’il puisse effectuer leur administration de l'église catholique universelle.
Il ne fait pas le confondre avec l'Institut pour les Oeuvres de la Religion, mieux connu sous le nom de banque du Vatican, qui a été emmêlé dans des scandales associés en 1982 à l'effondrement de Banco Ambrosiano, dont le Président Roberto Calvi a été trouvé pendu à Blackfriars Bridge à Londres.
Avec la Préfecture pour les Affaires Economiques du Saint-siège, l’APSA a reçu la charge d'améliorer le fonctionnement du cash-flow et des investissements du Vatican, ainsi que les fonds de pension de retraite, qui étaient traditionnellement entourés de secret.
L’APSA examine les budgets des diverses branches de la curie romaine, et donne un avis sur les investissements du Saint-siège sur les stocks et le domaine de l’immobilier. M. Sutherland examinera également la gestion du personnel du Saint-siège, puisque la plus grande dépense pour la curie provient de la facture des salaires à distribuer au personnel, y compris le fonctionnement de ses ambassades autour du monde.
M. Sutherland est Président de BP Amoco à Londres, est l’ancien président et directeur de gestion de Goldman Sachs et un ancien commissaire de l'Union Européenne. Né à Dublin en avril 1946, il a été instruit chez les Jésuites au Gonzaga College, à l'université de Dublin et au King’s Inns.
Connu par ses amis sous le nom de « Suds », M. Sutherland fut appelé à la barre en 1968, mais a échoué dans sa tentative de gagner un siège du Dail en tant que candidat du parti Fine Gael lors des élections générales de 1969.
Au début des années 80, M. Sutherland a servi d'Attorney General (= ministre de la Justice/procureur général) dans les deux coalitions Fine Gael/Labour menées par le Dr Garret FitzGerald, avant d'être nommé à Bruxelles en 1983 comme membre irlandais au sein de la Commission européenne.
La nuit passée, l’archevêque de Dublin, le Dr Diarmuid Martin, a fait bon accueil à la nomination de M. Sutherland et l’a décrit comme « éminemment qualifié » pour aider le Pape.
John Cooney. |
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marektysis Trustworthy Freedom Fighter
Joined: 01 Nov 2006 Posts: 1581 Location: Brussels
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Posted: Wed Jan 17, 2007 10:07 pm Post subject: |
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Selon des archives britanniques, la France de Guy Mollet avait proposé une union à la Grande-Bretagne
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Selon des archives britanniques, la France de Guy Mollet avait proposé une union à la Grande-Bretagne
LEMONDE.FR | 15.01.07 |
A en croire des archives officielles britanniques, exhumées, lundi 15
janvier, par la BBC[ le fait est pertinemment exact et Marek le savait depuis longtemps], la France et la Grande-Bretagne ont envisagé un rapprochement sans précédent, dans les années 1950. "Lors d'un récent séjour à Londres (le 10 septembre 1956), le président du Conseil français, monsieur Mollet, a évoqué la possibilité d'une union entre le Royaume-Uni et la France", rapporte un document
officiel du cabinet britannique, déclassifié il y a une vingtaine
d'années, mais passé inaperçu selon la BBC.
La France de la IVe République et la Grande-Bretagne, qui se
considéraient encore comme des grandes puissances, se préparaient
alors à l'expédition commune de Suez, en Egypte. Une union eut aussi
permis d'empêcher un affrontement direct entre leurs soldats, alors
que les tensions se multipliaient à la frontière entre Israël, allié
de Paris, et la Jordanie, soutenue par Londres, note la BBC. Enfin,
la Communauté européenne n'existait pas encore ; le Traité de Rome
l'instituant sera signé le 25 mars 1957.
"UN VIEUX COUPLE MARIÉ"
Le premier ministre britannique, Anthony Eden, rejeta l'idée de Guy
Mollet, mais se serait montré un temps intéressé par sa proposition
suivante : que la France adhère au Commonwealth, ensemble de pays
entretenant des liens historiques avec la Grande-Bretagne. Ce qui
impliquait que la reine d'Angleterre, Elizabeth II, devienne le chef
de l'Etat français. Selon un document, daté du 28 septembre 1956, M.
Eden estima, à la lumière de ses entretiens avec les dirigeants
français, "que l'on devait prendre en considération sans délai une
adhésion de la France au Commonwealth ; que monsieur Mollet ne
pensait pas que l'acceptation de la souveraineté de Sa Majesté par
la France soulève des difficultés ; (et) que les Français seraient
favorables à une citoyenneté commune sur le modèle irlandais". Aucun
document d'archive ne semble exister sur ce sujet en France, précise
la BBC.
De part et d'autre de la Manche, des commentateurs ont avoué leur
surprise. Henri Soutou, professeur d'histoire à la Sorbonne, a jugé
sur la BBC le projet absurde, d'autant que l'idée d'une entrée de la
France dans le Commonwealth et de son acceptation de la souveraineté
de Sa Majesté n'aurait pas été bien reçue. Denis MacShane, ancien
ministre aux affaires européennes de Tony Blair, y a vu "un ajout
charmant à cet éternel enchevêtrement" entre les deux pays, "liés
depuis que Guillaume le Conquérant a tenté de faire de l'Angleterre
une colonie française il y a mille ans". Et de conclure que les
"meilleurs morceaux d'histoire sont les notes de bas de page", et
que "la France et l'Angleterre ressemblent à un vieux couple marié
dans lequel chacun songe souvent à tuer l'autre, sans jamais
envisager un divorce".
Le Monde.fr, avec AFP et Reuters
Il est quand même surprenant que ceux qui devraient être informés ne le soient pas [ou le feignent] et que Marek qui ne le devrait pas le soit depuis plus de vingt années.Je certifie que la chose est exacte et correspondait bien à l’état d’esprit de l’ époque où les puissances européennes déclinantes cherchaient en elles même le sursaut nécessaire pour regénérer l’ Europe sans l’intervention du Big Brothel des USA. Cette tentative échoua et notons le bien, elle devait échouer compte tenu de destinées déchéantes différentes. Finalement le sursaut du Gaullisme devait ralentir la chute Française tandis que l’ Angleterre poursuivait sa route sous la prise de plus en plus envahissante des USA, jusqu’à rendre Blair obligé de prendre sa laisse avant sa promenade quotidienne…
Marek |
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marektysis Trustworthy Freedom Fighter
Joined: 01 Nov 2006 Posts: 1581 Location: Brussels
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Posted: Mon Jan 22, 2007 9:07 pm Post subject: |
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BILDERBERG-
L ‘ ESSENCE DU DROIT DU CONSENSUS OU LE DROIT NOUVEAU DU NOUVEL ORDRE DU MONDE
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Ce titre peut sembler paradoxal dans la mesure où le Nouvel Ordre du Monde ne peut en pricipe s’appuyer sur un ordre, une doctrine légale qui donne suite au consensus de peu sur le vote de millionsn et pourtant….
Nous savons que l’ essence du nazisme juridique avait été formulé par un certain Carl Schmidt, qui ne fut aucunement inquiété à l’issue du conflit mondial mais trouva également à s’employer chez Leo Strauss , père des néo conservateurs US, avant de retourner en Allemagne pour y mourir l’âme quiète.
Ainsi donc, au delà de Carl Schmidt il existe une doctrine complète juridique qui non seulement se prête à merveille au NOM, mais est exploitée par ceux – là mêmes.
Je me dois de dénoncer cette doctrine pernicieuse qui pourrit des pans entier de la législation mondiale et va s’opposer aux droits et libertés individuelles pour les motifs que je vais exposer.
Hans Kelsen , puisqu’il s’agit de lui ( 1881-1973) [‘Théorie pure du droit’ ‘he Law of the United Nations A critical Analysis of its Fondamental Problems-publié à Londres en 1951]].
Selon notre théoricien du droit publiée dans sa ‘ Théorie Pure’ dont la théorie remonte à 1911 et la première publication à1934, sa seconde à 1960 et sa traduction en 1962,il fait du droit une construction formelle qui ne tient pas compte des théories précédentes. Il affirme que le droit règle la procédure par laquelle il est créé lui-même’ Seul intéresse Kelsen le système de production de normes, leur validité et les obligations qui s’ensuivent. ‘Il faut rejeter toute définition du droit qui ne le caractérise pas comme un ordre de contrainte’ ajoute t’il. En agissant ainsi on arrive à une théorie juridique irréprochable.
Par cette voie, Kelsen en arrive à nier le sens subjectif ou sujet du droit ( personne physique ou juridique) et le droit entendu au sens objectif, c’est à dire l’ordre juridique et son système de normes. Le droit subjectif ou sujet n’est qu’une retombée de la norme qui oblige cet individu à se comporter selon cette norme. Kelsen en retire que la personne physique qui est la personne artificielle de la science du droit . « La théorie pure du droit dissout le concept de personne, parce qu’elle montre qu’elle répond simplement à la personnification d’un complexe de normes juridiques »
AINSI POUR KELSEN LES DROITS DE L HOMME NE PEUVENT EXISTER. SEUL L ETAT PEUT DECIDER DE PERSONNIFIER.
L’état agit de manière artificielle par le biais de normes juridiques contraignantes. L’homme ne peut exister commeeprsonne artificielle que grâce à l’ Ordre juridique contraignant de l’ Etat. Pour lui la famille repose sur l’ ordre étatique.
LA NORME ET LA COUTUME
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La norme exprime qu’ un ‘ homme doit se conduire’ d’une certaine façon. Ce qui revient à obliger l’individu à se conduire de cette façon
Sauf à violer la norme ou son obligation.
Pour Kelsen, la vérité fondatrice de la norme n’a aucune importance.’ Elles ne sont ni vraies ni fausses’.Lenon respect de la norme exige des actes de contrainte que l’ état éxécutera seul puisque c’est lui l’ordre juridique.Généralement c’est au travers des cours et de leurs agences que les actes de contrainte s’expriment.
Mais Kelsen pose aussi « que des normes par lequelles une conduite est déclarée obligatoire peuvent être POSES PAR DES ACTES QUI CONSTITUENT LA COUTUME.
Voici donc la notion du consensus qui intervienty dans tant d’agences occultes, de Bilderberg au RIIA. Le Consensus cherche donc à faire preuve de loi pour ceux qui ont juré le serment de silence.
Dans les pays anglo saxons où la Common Law n’est pas codifiée, il est facile de modifier le consensus via l’interprétation subjective des juges. Dans ces pays là, l’influence de la coutume est importante et le contenu de loi peut être variable selon les consensus formés.
Pour Kelsen, la norme est ce que font les membres du groupe.Mais naturellement pour lui, cela n’est une norme objective qui si UNE NORME SUPERIEURE INSTITUE LA COUTUME COMME FAIT CREATEUR DE NORMES.
En fait Kelsen part du présupposé aboutisseur pour définir les créations intermédiaires comme assujetties à cette norme hypothétique et encore inexistante. On sait qu’historiquement la coutume a précédé le droit écrit,etc..ici Kelsen part de l’ aboutissement ( supposé) pour plier l’individu et son droit individuel au droit collectif mondial comma aboutissement final…
Ceci est une autre histoire…
Marek Tysis
(désolé de vous ennuyer avec cette histoire mais c’est tellement important que vous comprendrez pourquoi Bush ou Alberto Gonzales nient le moindre droit constitutionnel aux américains)
A SUIVRE+++ |
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Vitchilo
Joined: 30 Aug 2006 Posts: 33
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Posted: Tue Jan 23, 2007 1:08 am Post subject: |
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Je voudrais aussi évoquer le fait que Aldous Huxley, avec son livre Brave New World, et HG Wells, avec ses livre 1984 et The New World Order, étaient des gens très influents à la cour de la reine d'angleterre et que c'étaient les aviseurs de la reine pour le ``futur`` pour assurer leur plan de domination mondiale.
HG Wells et Aldous Huxley était très PRO-gouvernement mondial et pro-eugénisme. Si vous lisez les ouvrages des 2 bonhommes vous verrez ce que le NOM veut implémenter. Les drogues pour rendre les gens dépendants et brainwashées, comme le prosac, quand genre 50% des adultes sont dépendants, ils ont presques atteints leurs buts. Les médias, big brother, les puces, les manipulations génétique, les guerres sans fin... Ils suivent leur plan à la lettre.
The Shape Of Things to come est aussi très intéressant, le livre et le film, puisqu'il expose comment le Nouvel Ordre Mondial va s'imposer, avec l'armée, détruit les pays qui ne se soumettent pas... Selon les derniers rapports du pentagone, presque toute l'armée américaine sera robotisée d'ici 2020...Parfaite... Aucun sentiment, execute les ordres sans penser.
Quand Huxley est mort, en 63, il a fait un discours peu avant ayant changer d'idée sur tout cela et disant que c'était mal pour l'humanité... Il avait compris, mais trop tard, ses idées étaient déjà reproduites par des criminels...
Aussi, la constitution nord-américaine a venir.
Vous devriez aussi chercher le programme MATRIX, la puce , la carte d'identification traçable globale, les cellulaires traçables par GPS, sont écoutés et selon des études plus dangereux que fumer. Et la NASA va finir son projet d'intelligence artificielle, gérant les caméras, les bases de données, toutes les choses qui bougent dans les villes, les camps de la FEMA, ect... Le sujet est tellement gros.
Un député a aussi soumis une loi qui pourrait enlever l'amendement 22 de la constitution américaine qui pourrait permettre à Bush de rester au pouvoir...et une autre législation pour honorer les francs-maçons pour leur participation et à la fondation des États-Unis... Aussi, en Californie, de violents groupes mexicains qui pronnent la violence pour ``reprendre`` es parties du Mexique perdue lors de la guerre US-Mexique, ont fait augmenter le crime, et ont tués des dizaines de noirs à Los Angeles. Juste à Los Angeles, il y a 22 000 membres, armés jusqu'aux dents.
EDIT: Après le ``state of the union 2007``, c'est clair, Bush va essayer de rentrer en Iran. |
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marektysis Trustworthy Freedom Fighter
Joined: 01 Nov 2006 Posts: 1581 Location: Brussels
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Posted: Wed Jan 24, 2007 7:05 pm Post subject: |
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BILDERBERG-
L ‘ ESSENCE DU DROIT DU CONSENSUS OU LE DROIT NOUVEAU DU NOUVEL ORDRE DU MONDE
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Dans la pyraide de Kelsen, l’ Etat et le droit sont non seulement inséparables mais identiques.La souveraineté est inhérente à l’ Etat qui seul dit le droit.L’ Etat a le pouvoir de la contrainte légitime, il est de droit, il est le droit.
Par ses tribunaux et son administration l’état est l’origine de normes assorties d’obligation.Les normes sont la volonté juridique de l’ état et l’ état organise ces normes juridique en un système.Par système il faut entendre un ensemble de propositions juridiques considéré dans sa cohéren,ce rationnelle pluµtôt que dans la cohérence avec la réalité.
Selon Kelsen, « La norme qui règle la création est la norme supérieure, la norme créée conformément
A ses dispositions est la norme inférieure.L’ordre juridique n’est pas un système de normes placées au même rang, mais un édifice à étages superposés, UNE PYRAMIDE ou hiérarchie formée d’un certain nombre de couches juridiques de normes.
LE SYMBOLISME PYRAMIDAL
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Kelsen ne s’est pas expliqué sur les raisons pour lesquelles il avait fait appel à l’image de la pyramide. Toutefois on peut constater les interprétations convergent vers la même conclusion ; les normes ne sont pas toutes de même degré, elles sont hiérarchisées, de degré en degré elles expriment la puissance qui se concentre en un sommetn et cette concentration indique le SUPER ETAT, l ETAT MONDIAL UNIQUE vers lequel nous entraîne sa théorie pure.LA norme juridique au sein de la pyramide n’est pas obligatoire en fonction de son contenu,ou parce qu’elle serait conforme à la Justice ou encore parce qu’elle seraitr référée aux droits de l’ Homme.Elle est obligatoire en fonction de sa cohérence logique avec la procédure de production des normes juridiques. OR LA REGLE FONDAMENTALE DE CETTE PRODUCTION, C EST QUE LES NORMES PROCEDENT DU DROIT ETATIQUE, LUI MEME DERIVE DU DROIT INTERNATIONAL.
LA NORME FONDAMENTALE
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Kelsen considère que le fondement de la validité d’une autre norme est une norme supérieure, mais la quête du fondement de la validité d’une norme ne peut se poursuivre à l’infini. En tant que Norme suprême, elle ne peut être posée, mais supposée..
VERS L ETAT MONDIAL
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Deux écoles sont en présence. Celle qui donne la primauté à l’ordre juridique étatique.Selon cette théorie, « la validité du droit se trouve dans une norme fondamentale supposée qui se rapporte à une Constitution Etatique efficace ». Le droit international , dans ce cas n’est qu’une fraction de cet ordre juridique qu’on se représente comme souverain.
Selon l’autre théorie, qui est celle de Kelsen, le droit international est un ordre juridique supérieur à tous les ordres juridiques étatiques., qui délimite leur domaine de validité respectif, qui seul est souverain.
Kelsen ajoute : « le droit international se compose de normes qui ont été initialement été créées par des actes d’état, pour régler les relations inter étatiques, et cela par voie de coutume.Ce sont les normes du droit international dit général parce qu’il oblige et habilite tous les états »
Autrement dit, si le consensus est origine du droit étatique, il l’est aussi du droit international. Donc les fonctionnaires internationaux et tribunaux internationaux sont eux aussi origine du droit. Kelsen reconnaît que ce droit international a encore beaucoup a voir avec le droit des sociétés primitives et se trouve encore en état fort décentralisé.
INVERSION
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Cette conception du droit entraine la subalternation du droit étatique au droit international. ELLE COMPORTE DONC UNE LIMITATION STRICTE DE LA SOUVERAINETE DES ETATS ou la DISSOLUTION DE CETTE SOUVERAINETE DANS LE CADRE D UN SUPER ETAT.
Il y a inversion perverse du principe de subsidiarité. Ce sont les états particuliers qui jouent un rôle subsidiaire vis à vis du super état.
Kelsen nous dit « Les ordres juridiques étatiques doivent être conçus comme des ordres juridiques partiels, délégués par le droit international et PAR LA MEME INFERIEURS OU SUBORDONNES A LUI »
Les Tribunaux Internationaux ont dès lors un pouvoir supérieur à ceux des tribunaux étatiques.
( on a pu voir le procureur du TPI, mme Del Ponte prétendre interdire à l’ UE l’entrée de la Serbie en son sein tant que Mladic n’était pas déféré devant son tribunal. Quel est le degré d’ Appel d’un Tribunal International ?
D’autre part, le non consensus d’un état à la norme ( Iran, Irak par exemple) ébranle le consensus international, in,dispensable à la formation du droit supraétatique coutumier et cela permet la grossière ingérence dans sa souveraineté…
On retrouve ces instruments dans la Cour Pénale Internationale ou la déclaration en faveur des défenseurs des droits de l’ Homme
Comme nous l’avons vu, la théorie pure aboutit à la dissolution de la personne et à celle de l’ Etat,
« Les états ne conservent de compétence que dans la mesure où le droit international ne s’empare pas d’un objet, l’enlevant ainsi à une libre représentation de l’ ordre étatique…si on admet que le droit international est un ordre juridqiue supraétatique, les ordres étatiques n’ont plus la souveraineté en matière de compétence (en création de normes) »
L ESCLAVAGE INTERNATIONAL
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Dans le système de Kelsen n IL N Y A AUCUNE PLACE POUR LES DROITS DE L HOMME qui seraient antérieurs à l’ état. L’ admettre reviendrait à remettre en question l’ ETAT MONDIAL.
LA GUERRE CONTRE LE ‘ TERRORISME’ ABOUTIT ESSENTIELLEMENT A ROGNER NOS LIBERTES CONTRE DE LA « SECURITE ».Le même plan est d’application sur tous les continents et sans conteste il accompagne l’ établissement du NOUVEL ORDRE DU MONDE
NOUS DEVONS METTRE NOS HOMMES POLITIQUES EN DEMEURE DE CHOISIR ENTRE CES OPTIONS DU DROIT ET SANCTIONNER CEUX QUI CHOISISSENT LA MAUVAISE SOLUTION.
J’espère que vous avez pu apprendre quelque chose d’intéressant. Pour en savoir plus je vous recommande la lecture de ‘La Face cachée de l’ONU’-Le Sarment-ISBN 2-866-79302-1
Marek Tysis |
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Vitchilo
Joined: 30 Aug 2006 Posts: 33
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Posted: Thu Jan 25, 2007 1:42 am Post subject: |
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Ici le lien pour le rapport qui dit que l'amero est dans les banques américaines et prêt à être distribuer dans les 30 prochains jours.... C'est en anglais. |
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Vulcain
Joined: 25 Jan 2007 Posts: 1
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Posted: Thu Jan 25, 2007 2:34 pm Post subject: |
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Vitchilo wrote: | Je voudrais aussi évoquer le fait que Aldous Huxley, avec son livre Brave New World, et HG Wells, avec ses livre 1984 |
1984 n'a pas été écrit par l'écrivain de science-fiction Herbert George Wells, mais par George Orwell (de son vrai nom Eric Arthur Blair). |
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Vitchilo
Joined: 30 Aug 2006 Posts: 33
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Posted: Thu Jan 25, 2007 8:10 pm Post subject: |
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C'est vrai Vulcain, j'ai écrit cela un peu trop vite. |
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marektysis Trustworthy Freedom Fighter
Joined: 01 Nov 2006 Posts: 1581 Location: Brussels
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Posted: Sat Jan 27, 2007 6:55 pm Post subject: |
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FAIR USE NOTICE
UNE CONSTITUTION ‘ GLOBALE’
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Le Stanford Law Review et le Stanford Constitutional Law Center organisent les 16 et 17 février 2007,559 Nathan Abbott Way
A Stanford, CA 94305
+++++++++++++++++++++++THEME DU SEMINAIRE+++++++++++++++
le discours et la pensée au sujet DES NORMES CONSTITUTIONNELLES qui TRENSCENDENT DE MANIERE CROISSANTE LES FRONTIERES NATIONALES ET LES DOCUMENTS FONDATEURS
[J’ai mis en majuscule ces mots importants. Les DOCUMENTS FONDATEURS sont évidemment les Constitutions NATIONALES que ce soient aux USA ou dans d’autres pays.Les NORMES CONSTITUTIONNELLES font évidemment référence à une notion ‘supérieure’ qui dépasseraient les documents ‘FONDATEURS’.. Un débat plein d’esprit s’est élevé au sein des USA pour savoir SI ou COMMENT LA LOI ETRANGERE DEVRAIT ETRE UTILISEE AUX USA DANS LE BUT DE CONSTRUIRE LA CONSTITUTION US (!!!!) mais il n’y a aucun doute que les citations ( emprunts) à la Loi étrangère augmentent dans les Cours et Tribunaux US. Moins d’attention a été portée au jeu croisé entre le JEU CROISE DES NORMES constitutionnelles US et celles des autres pays. Quels rôle joue la Constitution US dans les autres nations au plan de l’ interprétation de leur propre constitution? A quel point ce rôle subit l’impact par la VOLONTE PERCUE,OU PAR MANQUE DE CELLE CI, de regarder dans les constitutions des autres? Quels sont les ‘must’ pour les nations mettant au point de nouvelles constitutions et comment ces nations choisissent elles en face de la divergence? Que peuvent apprendre les nations les unes des autres sur les controverses constitutionnelles –telles que celles-ci : initiatives de sécurité environnante et leur impact sur les libertés civiles et DES NORMES CONSTITUTIONNELLES PLUS GRANDES? Ce Symposium explorera ces questions qui rassemble d’éminents juristes, pratiquants et juges des USA et de l’ étranger réunis pour ce faire. Le thème UNIFIANT sera la façon selon laquelle le constitutionalisme se développe et DEVRAIT SE DEVELOPPER,autour de la terre comme vu comme perspective depuis les USA et d’autres nations avec
leurs traditions propres et fières.
La Stanford Law School a longtemps joué un role meneur dans l’étude à la faois de la Loi Internationale et de la Loi Constitutionnelle. De manière similaire, ses ses anciens étudiants, de Sandra Day O'Connor (CFR)à Warren Christopher(CFR-TRILATERAL-CARNEGIE), ont joué des rôles meneurs en PROMOUVANT
DES NORMES CONSTITUTIONNELLES ET DES ENGAGEMENTS DES REGLES DE LA LOI DANS UN CADRE PLUS LARGE INTERNATIONALEMENT. Ce Symposium construira sur ces riches traditions et efforts avec la Stanford Law Review et Stanford Constitutional Law Center combinant leur expertise et resource pour amener les participants clés dans cette ‘conversation’ globale. De plus parmi les buts du symposium, est la génération d’étude et de dialogue qui représente les perspectives variées internationales,avec des participants de différents pays »
http://lawreview.stanford.edu/globalconstitutionalism/.
[Nous constatons que cet institut organise un symposium sur le constitutionnalisme GLOBAL en s’appuyant sur ces anciens étudiants O’ Connor et Warren Christopher, appartenant aux ‘bandes’ Rockefeller pour traîter d’un sujet TRES IMPORTANT ET VITAL POUR CHACUN D ENTRE NOUS A LA FACON DE KELSEN.Le 11 septembre et la guerre au tyerrorisme fait également partie de ces discussions comme le montre un des prologues du symposium PREUVE S IL EN EST DE TOUT L INTERET DE LA GUERRE AU TERRORISME POUR ACCELERER LA CENTRALISATION UNIVERSELLE DU POUVOIR. [ALLER SUR LE TOPIC DE STANFORD]
En voici les participants :
Je n’ai pas traduit toutes les biographies tout en laissant le texte anglais pour bien montrer l’orientation ancrée vers la LOI CONSTITUTIONNELLE MAIS AUSSI LE TERRORISME QUI PERMET LA SUPRESSION DE LIBERTES INDIVIDUELLES SELON LME SCHEMA EXPOSE PAR LE TEXTE SUR KESLEN.
-Dr. Laura Donohue
-Lord Goldsmith -
Lord Goldsmith QC a été engagé le 11 juin 2001 comme Avocat Général auprès de La Reine(Her Majesty's Attorney ).L' Attorney Général, assisté du Solliciteur Général,est le Conseiller legal en Chef du Gouvernement. L' Attorney Général a la responsabilité d'ensemble sur les départements des Solliciteurs du trésor, supervisant le directeur de la Persécution publique en temps que Chef du Service du Procureur de la Couronne (CPS),
Directeur du Bureau des fraudes sérieuses (SFO), Revenu et douanes. bureau des Procureurs et du directeur des persécutions publiques en Irlande du Nord.[la liste des responsabilités pompeuses attribuées à cet individu ce poursuit comme suit : The Law Officers answer for these Departments in Parliament. The Attorney General has public interest functions such as for contempt of court issues in which his responsibility is as guardian of the public interest. Peter Goldsmith was born and brought up in Liverpool. He went to Quarry Bank High School/Comprehensive there before reading law at Gonville & Caius College Cambridge taking a double
first class honours degree. After a Master's Degree at University College London
he was called to the Bar, Gray's Inn in 1972. He then practiced from Fountain
Court Chambers in London. He was appointed Queen's Counsel in 1987. He has
judicial experience, sitting as a Crown Court Recorder since 1987 and a Deputy
High Court Judge since 1994. He was created a Life Peer in 1999, and a Privy
Counsellor in 2002. In 1995 he was Chairman of the Bar of England and Wales. He
has also held a number of posts in international legal organisations including
Council Member of the International Bar Association and the Union Internationale
des Avocats. From 1998 until his appointment as Attorney General he was
co-Chairman of the IBA's Human Rights Institute. Between 1997 and 2000 he was
Chairman of the Financial Reporting Review Panel, an independent public body
responsible for enforcing financial reporting standards. In 1997 he was elected
to membership of the American Law Institute and made a member of the Paris Bar.
In 1996 he founded the Bar Pro Bono Unit of which he was Chairman until 2000 and
remains President. He was the Prime Minister's Personal Representative to the
Convention for the European Charter of Fundamental Rights.]
-David Gray
-Le Professeur Dieter Grimm
Dieter Grimm a étudié la Loi et la Science Politique à l'université de Frankfurt,
Freiburg, Berlin, Paris et Harvard. Il a reçu son degree en lois de Frankfurt
en 1962, et son LL.M. (Harvard) en 1965; Dr. iur. (Frankfurt) 1970. De 1967
à 1979 il était chercheur à l'institut Max-Planck-pour l' histoire légale Européenne à Frankfurt. En 1979 il devint professeur de Loi à l'Université de Bielefeld et fut responsable de son centre de ' recherche' interdisciplinaire durant plusieurs années
. En 1987 il fut nommé Justice de la Cour fédérale Constitutionnelle d'Allemagne. Après prestation du terme de 12 ans il devint Professeur de Loi àHumboldt University Berlin. En addition il est Recteur du
Wissenschaftskolleg (Collège de Science)à Berlin (Institute for Advanced Study). Il enseigne aussi la Loi Constitutionnelle à la New York University Law School et Yale Law School. Il est co éditeur de plusieurs revues de droit , parmi lesquelles 'I-CON International Journal of
Constitutional Law '(Oxford University Press). Il est membre de l' académiea
Europaea, member Honoraire de l' Académie US des Arts et un member de l' Académie des Sciences de Berlin-Brandebourg ( Berlin-Brandenburgische Akademie der Wissenschaften.)
Justice Asher Grunis
Asher D. Grunis a été engage comme Justice permanent de la Cour Suprême de
L' Etat d' Israel en 2003. Avant son engagement permanent Grunis a servi en agissant comme Justice faisant fonction de la Cour Durant une année.Il a commencé sa carrière judiciaire en 1988 lorsqu'il fut engagé auprès de la Cour du district de Be'er Sheva .En 1996 Justice Grunis fut transféré auprès du district de la Cour de Tel Aviv , où il servit jusque 2002.
Entre 1981 et 1988 Justice Grunis pratiquait en privé à Tel Aviv. De
1976 jusque 1987 Justice Grunis enseigna à la Faculté de Droit de Tel Aviv
University. A cette époque il enseigna la Loi Administrative et la Loi de PLanning. Justice Grunis a remporté son degré LL.B. en 1968 de l' Université Hébraïque de Jerusalem, fut accepté par le barreau israélien en 1969. En 1972 il gagna un degré LL.M. de l' Ecole de Loi de l'Université de Virginie. En 1976 Justice Grunis fut recompense d'un degree D.Jur. par Osgoode Hall Law School, York University à Toronto, Canada. De 1967 à 1968 Justice Grunis servit comme employé juridique auprès de l ' Honorable Juge Shlomo Levin auprès du district de la Cour de Tel Aviv Le Juge Levin fut nommé plus tard auprès de la Cour Suprême et pris sa pension comme assistant président.
[ voici le reste de la biographie de ce studieux personnage:Justice Grunis' main areas of interest include Civil Procedure, Bankruptcy and
Constitutional Law. He serves as Deputy Director of the Israeli Institute of
Advanced Judicial Studies, where he is involved in continuing education for
judges.]
Professeur Amos Guiora
Amos N. Guiora est professeur de droit auprès de la Case Western Reserve University School of Law and director of the INSTITUTE FOR GLOBAL SECURITY LAW AND POLICY[!!!!!!!!!]. Auteur de : Global Perspectives on Counterterrorism (Aspen Publishers, forthcoming 2008), Professor Guiora écrit et donne des cours extensivement sur des sujetys tells que "Legal Aspects of Counterterrorism,"
"Global Perspectives of Counterterrorism," "Terror Financing," "International
Law and Morality in Armed Conflict," et "Educating IDF Commanders and Soldiers
on International Law and Morality." Le Professeur Guiora a présidé des seminaries sur la torture et le terrorisme,un tour de table sur la religion et la violence, ainsi qu’une simulation unique basé sur le bioterrorisme, "The Fifth Plague" au sein de Case School of Law. Avant de joindre Case en 2004,le Professeur Guiora a servi durant 19 ans dans le corps de justice des Forces de défense d’Israël (Lt. Col. Ret.).[ suite non traduite : He
held a number of senior command positions, including Commander of the IDF School
of Military Law, Judge Advocate for the Navy and Home Front Command, and the
Legal Advisor to the Gaza Strip. During his military service, Professor Guiora
was involved in many important legal and policy-making issues, including the
capture of the PLO weapons ship Karine A, implementation of the Gaza-Jericho
Agreement, the Israeli-Palestinian Interim Agreement, and "Safe Passage" between
the Gaza Strip and the West Bank. Professor Guiora graduated from Kenyon College
in 1979 (Honors in History) and from Case Western Reserve University School of
Law in 1985.]
Sheikh Humam Hamoudi
Sheikh Dr. Humam Hamoudi est né à Baghdad en 1952; il est marrié et père de deux fils et filles. Il a reçu son degré en psychologie en 1974,
Après quoi il a été détenu de 1975 à 1977. Il a reçu son M.A. en Psychologie de l’ Université de Baghdad aussi bien que son doctorat en économioe islamique [ reste des infos=. He established the Luwa' Al Sader paper, the piece tongue
of Late Syaed Moh'd Baqer Al Hakim. Post-Shaban Entifadha, he acted as the close
adviser of Late Al Hakim and was in direct touch with all political movements
initiated by Sayed Al Hakim. He was in charge of relations with the Gulf states
and USA, Head of The Supreme Council of Islamic Revolution in Iraq (SCIRI) in
different countries, head of the political organizations abroad , was a member
of Iraqi opposition delegation visited Washington D.C. in June 2002 and
represented Al Hakim and ( SCIRI ) in the opposition conferences. He was the
Secretary of Iraqi Shi'a Grievance Committee, and is a member of coordination
and follow - up committee for London conference, a member of Shurah Markaziah
(central consultancy) and head of Iraq-based organization in SCIRI , Member of
the Foundation National Conference, Member of the National Council, Member of
the Iraqi National Assembly and Member of the Iraqi Council of Representatives.
He is also a Secretary General of Iraqi Elites & Intellectuals, and Supervisor
of the Iraqi Center for Research & Future Studies, in charge of issuing a
quarterly magazine (Hiwar Al-Fikr). IL A ETE LE CHEF DU COMITE QUI A ECRIT LA CONSTITUTION IRAKIENNE]
L’Ambassadeur Feisal Istrabadi
[Biographical information for this speaker will be available soon.]
Dean Larry Kramer
Dean Larry D. Kramer was appointed the Richard E. Lang Professor of Law in 2004.
Prior to joining the Stanford faculty, Dean Kramer was the Associate Dean for
Research and Academics and Russell D. Niles Professor of Law at New York
University School of Law. He also has been Professor of Law at the University of
Chicago and the University of Michigan schools of law, in addition to serving as
a consultant with the New York, NY, law firm of Mayer, Brown, Rowe & Maw. Early
in his career, Dean Kramer was clerk to Judge Henry J. Friendly of the U.S.
Court of Appeals for the Second Circuit, and to Justice William J. Brennan, Jr.,
of the U.S. Supreme Court. He earned a JD from the University of Chicago School
of Law in 1984, having completed his undergraduate studies at Brown University,
where he received an AB in psychology and religious studies in 1980. Considered
to be one of the leading scholars in the country, Dean Kramer's areas of special
interest include Federalism, Separation of Powers, Constitutional Law, Federal
Courts, Conflict of Laws, Civil Procedure, and American Legal History. His early
writings were in the area of conflict of laws. Looking for a solution to the
intellectual logjam that had stultified the field since the late 1960s, Dean
Kramer's solution was to reconceptualize the problem in game theoretic terms-a
competition between states with overlapping interests. Beginning in the early
1990s, Dean Kramer turned from state-state conflicts to state-federal conflicts,
producing a series of articles on the question of federalism. At around the same
time, he developed an interest in history, and his work on the history of early
federalism has been widely cited and relied upon. His most recent work has
addressed the broader question of judicial review and the role of courts in a
constitutional democracy. In 2004, Oxford University Press published his book,
The People Themselves: Popular Constitutionalism and Judicial Review, which
promises to revive and alter the ongoing debate about the relationship of the
U.S. Supreme Court to politics.
Professor Mattias Kumm
Professor Kumm has studied Law, Philosophy, and Political Sciences in Kiel,
Paris, and Cambridge, MA, and has taught at the Fletcher School of Law and
Diplomacy, the European University Institute in Florence, and was an 'Ethics
Fellow' at the Kennedy School of Government before and a Jean Monnet Fellow at
Harvard Law School before joining New York University School of Law in Fall
2000. Prof. Kumm's research focuses on issues of European and comparative
constitutional law, international law and philosophy of law. Professor Kumm is a
member of the faculty Executive Committee of the Institute for International Law
and Justice, and Director of the LL.M.-J.S.D. program in international law.
Lord Lloyd of Berwick
Tony Lloyd (Lord Lloyd of Berwick) was born in London and brought up in
Cheshire. He was a scholar of Eton and Trinity College Cambridge, where he read
Classics. After Cambridge he spent an idle but happy year at the Harvard Law
School, followed by a summer touring California (and other States) in a borrowed
Buick convertible. In 1955 he was called to the Bar, specializing in commercial
cases. In 1967 he became a QC, and two years later was appointed
Attorney-General to the Prince of Wales. In 1978 he became a High Court Judge,
and from 1984 to 1993 was a member of the Court of Appeal. He presided over the
final successful appeal of the so-called Birmingham 6, who had been charged and
convicted of the Birmingham pub bombing. In 1993 he was promoted to the House of
Lords, where among other cases he took part in the extradition proceedings
relating to President Pinochet. EN 1995 IL LUI FUT DEMANDE PAR LE GOUVERNEMENT DE PREPARER UN RAPPORT SUR LA LEGISLATION ANTI TERRORISTE ( IRLANDAIS, BIEN SUR).DANS CE BUT IL VISITA LES USA, Canada, France et Allemagne. Le rapport fournit la base du rapport qui servi de base au « Terrorist Act 2000. » Depuis, iul s’est retiré comme Law Lord en 1999, il a joué une part active dans la législature, SPECIALEMENT EN MATIERE DE TERRORRISME ET DE LOI CONSTITUTIONNELLE[ mais quelles coïncidences !!!!!!]. His hobbies are music, especially opera, walking and do-it-yourself.
Professor John McGinnis
John O. McGinnis a travaillé en tant que clerc pour l’ Hon. Kenneth W. Starr, [ancien procureur special contre le president Richard M.Nixon]U.S. Court of Appeals for the District of Columbia. From 1987 to 1991, Professor McGinnis was deputy assistant attorney general in the Office of Legal Counsel at the Department of Justice. He is a scholar in both the area of constitutional and international law. Professor McGinnis has been appointed chairman of the government's advisory committee on free trade agreements and labor standards. The Office of the U.S. Trade Representatives also has added him to the roster of Americans who can be appointed as panelists to resolve World Trade Organization disputes. He is a past winner of Paul Bator award given by the Federalist Society to an outstanding academic under 40. He contributes regularly to both law reviews and popular journals.
Sir David Omand
Sir David Omand GCB is a visiting Professor at the Department of War Studies,
Kings College London.[voir l’article sur John Kerr] He was the first UK Security and Intelligence Coordinator and Permanent Secretary in the Cabinet Office, responsible for the professional health of the UK intelligence community, national counter-terrorism strategy and homeland security;. He was the Government s chief crisis manager for civil contingencies. He was Permanent Secretary of the Home Office for three years and
before that was Director (Permanent Secretary) of GCHQ, the UK s communications
intelligence Agency. Most of his career has been in the Ministry of Defence, and
as MOD Deputy Under Secretary for Policy he was particularly concerned with long
term strategy, with the British military contribution in RESTAURANT LA PAIX DANS L ANCIENNE YOUGOSLAVIE and the recasting of British nuclear deterrence policy at the end of the Cold War. He was Principal Private Secretary to the Defence Secretary during the Falklands Conflict and UK Defence Counsellor to NATO from 1985 to 1988. He served in total for seven years on the UKs Joint Intelligence
Committee in three different capacities. He is a Trustee of the Natural History
Museum, London.
Professor Michel Rosenfeld
Michel Rosenfeld is the Justice Sydney L. Robins Professor of Human Rights and
Director of the Program on Security, Democracy and the Rule of Law at the
Benjamin N. Cardozo School of Law of Yeshiva University. He has lectured
throughout the world and has been a Distinguished Visiting Professor at the
University of Toronto Faculty of Law and a recurring visiting professor at the
University of Paris I (Pantheon-Sorbonne), The Central European University in
Budapest, and Carlos III University in Madrid, among others. He specializes in
US constitutional law, comparative constitutionalism, and legal philosophy. He
was president of the International Association of Constitutional Law (1999-2004)
and is editor-in chief of the International Journal of Constitutional Law
(I.CON) published by Oxford University Press. His published books include:
Comparative Constitutionalism: Cases and Materials (2003) (with Baer, Dorsen and
Sajo); Just Interpretations: Law Between Ethics and Politics (1998); Habermas on
Law and Democracy: Critical Exchanges (1998) (co-edited with Arato); and
Affirmative Action and Justice: A Philosophical and Constitutional Inquiry
(1991) (designated 'outstanding book on human rights in the US' in 1992). He is
currently completing a book entitled The Identity of the Constitutional Subject.
Several of his works have been translated into many foreign languages. In 2004,
he was awarded the French Legion of Honor.
Professor Nick Rosenkranz
Biographical information for this speaker will be available soon.
Justice Sam Rugege
Justice Sam Rugege is Vice President of the Supreme Court of Rwanda. Justice
Rugege obtained the LLB at Makerere University in Uganda, LLM at Yale Law School
and D.Phil at Oxford University. He taught law at Makerere before being forced
to flee the terror of the Amin regime in the 1970s. He then taught at the
National University of Lesotho and University of Swaziland. During 1995, he was
a Visiting Scholar at Cornell Law School where he taught African Law. His last
teaching post before being elevated to the bench was in Cape Town, South Africa
as Professor of Law at the University of the Western Cape (UWC), where he taught
Constitutional Law and Land Law. While at UWC he was involved in the writing of
the 2003 Constitution of Rwanda which entrenches the independence of the
judiciary, the rule of law and the protection of human rights as well as
providing a unique system of power-sharing in government. He was appointed to
the Supreme Court in 2004. He is also the Principal Judge of the First Instance
Division of the Court of Justice of the Common Market for Eastern and Southern
Africa (COMESA), a regional court that meets on an ad hoc basis. He is currently
involved with the efforts to transform the judiciary in Rwanda which had lost
credibility through the years of misrule that culminated in the genocide of
1994. He is author of scholarly articles on law and society including those on
access to land, labor rights and customary law.
Professor Helen Stacy
As a scholar of international and comparative law, legal philosophy, and human
rights, Helen Stacy has produced works analyzing the efficacy of regional courts
in promoting human rights, differences in the legal systems of neighboring
countries, and the impact of postmodernism on legal thinking. Her recent
scholarship has focused on the efforts of Romania, Mexico, and Thailand to
improve their court systems and their policing as part of rule of law reforms.
In addition to her role at the law school, Professor Stacy is a senior research
scholar at the Center on Democracy, Development, and the Rule of Law at Stanford
University’s Freeman Spogli Institute for International Studies. She is also a
researcher with the European Forum at the Freeman Spogli Institute, a member of
the Committee in Charge of the Program in Modern Thought and Literature, and is
associated with the Center for African Studies. Before joining the Stanford Law
School faculty in 2005, Professor Stacy was a senior lecturer at Queensland
University of Technology School of Law, a senior prosecutor for the Director of
Public Prosecutions in London, and a legal officer for Shell Oil in Australia.
Professor Kathleen Sullivan
Kathleen M. Sullivan is the former Dean of Stanford Law School, where she is now
the Stanley Morrison Professor of Law. Before moving to Stanford, she was
Professor of Law at Harvard Law School. One of the nation's leading
constitutional scholars, she has published a wide range of law review articles
on freedom of speech, federalism, freedom of religion, separation of powers,
equal protection and the judicial role. She also edits the casebook
Constitutional Law previously edited by late Stanford Law professor Gerald
Gunther, and comments frequently on constitutional issues in such forums as The
New York Times, The Washington Post, The New York Review of Books, and the News
Hour with Jim Lehrer. Sullivan is also an active appellate litigator. Now of
counsel to Quinn Emanuel Urquhart Oliver & Hedges, she has litigated over 40
cases in federal and state courts and argued four cases before the United States
Supreme Court. Sullivan holds a B.A. from Cornell University, an M.A. from
Oxford University, where she was a Marshall Scholar, and a J.D. from Harvard Law
School, where she won the Ames Moot Court competition. She is an elected member
of the American Academy of Arts and Sciences and the American Philosophical
Society.
Chief Judge Deanell Tacha
President Ronald Reagan appointed Deanell Reece Tacha to the United States Court
of Appeals for the Tenth Circuit in December of 1985, where she currently serves
as a federal appellate judge. Judge Tacha became Chief Judge of the Tenth
Circuit on January 1, 2001. Named a White House Fellow in 1971, she was assigned
as special assistant to Secretary of Labor James D. Hodgson. The following year,
at the conclusion of her fellowship, she joined the law firm of Hogan & Hartson
as an associate in Washington, D.C. Two years later, she returned to Kansas to
engage in private practice. In the fall of 1974, she joined the University of
Kansas School of Law faculty and in 1981 was elevated to the university position
of Vice Chancellor for Academic Affairs. In 1992, Judge Tacha received the KU
Alumni Association's Fred Ellsworth Medallion for extraordinary service to the
university and received its most prestigious award, the Distinguished Service
Citation, in 1996. Judge Tacha was appointed as a United States Sentencing
Commissioner from 1994 to 1998. She chaired the Judicial Division of the
American Bar Association from 1995 to 1996. From 1990 to 1994 and again from
2001 to 2005, she served as chair of the United States Judicial Conference
Committee on the Judicial Branch. In the Fall of 2006, she became a member of
the Executive Committee of the United States Judicial Conference. Judge Tacha
has been a national Trustee of the American Inns of Court Foundation since 2000
and currently serves as the President of that organization. A native of Scandia,
Kansas, she received her bachelor's degree in American Studies from the
University of Kansas and her law degree from the University of Michigan. She and
her husband, John Tacha, have two sons and two daughters and reside in Lawrence,
Kansas.
Justice Stefan Trechsel
Stefan Trechsel was born in Bern, Switzerland in 1937, where he studied law and
was admitted to the Bar in 1963. After receiving his doctorate in 1966 and
becoming a "Privatdozent" (associate professor) in 1972, he taught criminal law
and procedure at several universities in Switzerland, including the University
of Fribourg and the law schools of Bern, Zurich, and St. Gallen. He has also
been invited to teach as a guest professor at UCLA, SLU, the European University
Institute in Florence, the Mediterranean diplomatic academy in Malta, and the
University of Lucerne. Justice Trechsel's early experience in the judiciary
included acting as a replacement investigating judge, the position of district
attorney in Bern, and activity as a defense counsel, mainly before military
courts and appointments as ad hoc judge to military courts. He has helped
prepare legislation in the areas of criminal law, criminal procedure, fiscal
penal law, and alien law, and he assisted the reform of legislation on criminal
procedure in several former communist countries, including Bulgaria, Russia, and
Tajikistan. From 1975 to 1999, Justice Trechsel was the Swiss member of the
European Commission of Human Rights, becoming its Vice President in 1987 and
President in 1995. He was charged by the Parliamentary Assembly of the Council
of Europe with preparing reports on whether Russia and Georgia fulfilled the
prerequisites for becoming Members of the Organization. He was also charged by
the Secretary General of the Council of Europe with deciding, as an independent
expert, together with Prof. E.A. Alkema, whether certain prisoners in Azerbaijan
were to be regarded as political prisoners. The United States called on him to
join their team in the LaGrand case before the International Court in The Hague.
Throughout his career, Justice Trechsel has participated in many national and
international conferences and presented papers on international and criminal law
and procedure, extradition and mutual assistance in criminal matters and human
rights. Since May 2006 he has been an ad litem judge of the ICTY, sitting in the
case of Prosecutor v. Prlic and others. His publications include Human Rights in
Criminal Proceedings (Oxford Univ. Press 2005).
Professor Clive Walker
Professor Clive Walker is Professor of Criminal Justice Studies at the School of
Law, University of Leeds. He has written extensively on criminal justice and
human rights issues. Since his PhD on the subject in 1982, his many papers and
books have focused upon terrorism and the law, including,The Anti-Terrorism
Legislation, published by Oxford University Press in 2002. In 2003, he was a
special adviser to the UK Parliamentary select committee which was considering
what became the Civil Contingencies Act 2004. A book commentating upon that Act,
The Civil Contingencies Act 2004: Risk, Resilience and the Law in the United
Kingdom, was published by Oxford University Press in 2006.
Professor Allen Weiner
Allen Weiner is a seasoned international lawyer with expertise in such
wide-ranging fields as national security law, the law of war, international
dispute resolution, and international criminal law. His scholarship focuses on
international law and the response to the contemporary security threats of
international terrorism and the proliferation of weapons of mass destruction.
For more than a decade he practiced international law in the U.S. Department of
State, where he advised government policy-makers, negotiated international
agreements, and represented the United States in litigation before the
Iran-United States Claims Tribunal and the International Court of Justice.
Professor Weiner is the codirector of the Stanford Center on International
Conflict and Resolution, an affiliated faculty member of the Center on
International Security and Cooperation, and a research affiliate of the European
Forum. Before joining the Stanford Law School faculty in 2003, Professor Weiner
served as legal counselor to the U.S. Embassy in The Hague and attorney adviser
in the Office of the Legal Adviser of the U.S. Department of State. He was a law
clerk to Judge John Steadman of the District of Columbia Court of Appeals.
R. James Woolsey
Biographical information for this speaker will be available soon.
ANCIEN DIRECTEUR CIA (!)CFR
(c) 2007 by The Stanford Law Review
FAIR USE NOTICE
Marek Tysis
+++++++++++++++++++++
Désolé pour la forme- elle ne sert qu’à montrer l’importance de ce séminaire dans la préparation du coup d’ état mondial futur |
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bip bip
Joined: 06 Nov 2006 Posts: 77
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Posted: Sat Jan 27, 2007 7:16 pm Post subject: |
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http://www.coe.int/T/F/Com/Dossiers/Themes/Democratie-droit/20030527_interv_Rubenfeld.asp
La démocratie par le droit
L’émergence de deux systèmes politico-judiciaires différents dans les affaires mondiales est possible, affirme un professeur de l’Université de Yale
Dans une interview accordée le 23 mai au Conseil de l’Europe, à l’occasion d’une conférence organisée à Göttingen sur le constitutionalisme européen et américain, Jed Rubenfeld, professeur à l’Université de Yale, souligne que “les pays d'Europe sont plus attachés que les Etats-Unis à un système international d'exécution, d'interprétation et de mise en oeuvre”. Mais, ajoute-t-il, les deux systèmes restent attachés aux mêmes valeurs fondamentales et il n'y a en fin de compte aucune raison pour que toutes les nations démocratiques soient absolument uniformes sur le plan du droit constitutionnel.
Interview (27.05.2003)
Question: Il existe un lien historique entre les systèmes constitutionnels européens et américain, mais il semblerait qu'il ait changé depuis la chute des systèmes communistes en Europe orientale. Comment expliquer cette évolution?
J. Rubenfeld: Il y a toujours eu des différences. Sans doute sont-elles simplement devenues plus apparentes après 1989. Envisageons deux types de divergences. Il y a celles sur des questions de doctrine telles que la différence entre la loi américaine sur la liberté d'expression et la législation européenne correspondante. Il est généralement reconnu que le système constitutionnel des USA protège davantage la liberté d'expression que celui de nombre de pays d'Europe. De même, en matière de religion, la constitution américaine assure une protection contre les institutions religieuses, contrairement aux systèmes constitutionnels de beaucoup de nations européennes. Le principal changement intervenu après 1989 ne concerne toutefois pas la doctrine, mais l'internationalisation croissante des protections constitutionnelles en Europe, notamment dans le domaine des droits de l'homme, qui n'a pas son équivalent aux Etats-Unis.
Pour comprendre ce phénomène, il convient de remonter avant 1989, et plus précisément à la Seconde Guerre mondiale. Au lendemain de la guerre, l'Europe développe une sorte de constitutionnalisme international qui confie les droits constitutionnels et d'autres principes importants à des institutions internationales, qui en viennent à assumer un rôle de droit de niveau plus élevé – un rôle constitutionnel – en Europe. Les mécanismes du droit international ont commencé à fonctionner comme une sorte de constitutionnalisme en Europe. C'est le phénomène qui ne s'est pas produit aux Etats-Unis. De 1945 à 1989, les USA n'ont pas affiché la même volonté de recourir aux structures internationales pour limiter leur souveraineté nationale. Ces différences ont été éclipsées pendant la Guerre froide, mais elles deviennent manifestes depuis 1989. Les Etats d'Europe affichent une plus grande volonté d'internationaliser les questions constitutionnelles. Ils s'engagent davantage sur la voie d'un système international qui prend la forme d'un droit constitutionnel auquel ils confèrent l'autorité de restreindre le pouvoir national et la souveraineté nationale. Telle est la différence que nous observons depuis quelques années. Elle est interprétée comme un unilatéralisme américain, ou un mépris des USA pour le droit international. En fait, cela résulte des différences entre les deux systèmes constitutionnels.
Question: D'après vous, l'interprétation de la peine de mort, de la liberté d'expression ou de la dignité humaine ne sont donc pas les seuls exemples des disparités entre les deux systèmes?
J. Rubenfeld: Il existe certes des différences sur les plans de la liberté d'expression, de la religion et de la peine de mort. Nous pourrions encore en citer quelques autres. Elles sont importantes, mais pas fondamentales. Ce ne sont pas celles qui provoquent actuellement l'inquiétude des gens. Ces craintes sont dues au fait que le système constitutionnel américain affiche une certaine tendance à ne pas accepter les engagements dérivés du droit international.
Question: Pensez-vous que la guerre en Iraq apporte un changement supplémentaire, notamment si l'on considère les désaccords survenus entre les USA et certains pays d'Europe sur le rôle du droit international?
J. Rubenfeld: C'est inquiétant. Il convient de déterminer si le cadre existant pour le recours à la force dans la gouvernance internationale est suffisant. Je pense que cette question est sur la table depuis la crise du Kosovo, quand le Conseil de sécurité n'a pas autorisé l'intervention de l'OTAN. Je ne pense pas que l'Iraq en soit le premier exemple. L'Iraq n'a pas marqué un changement brutal de cap. La situation était comparable à celle du Kosovo.
Question: L'Europe accuse les Etats-Unis d'agir unilatéralement en matière d'application du droit international. Pensez-vous que cette accusation soit justifiée?
J. Rubenfeld: En fait, les Etats-Unis sont moins engagés dans la forme internationale du constitutionnalisme que les Etats d'Europe. Ils le perçoivent comme de l'unilatéralisme. Il est indéniable que les Etats-Unis ont fait preuve d'un certain degré d'unilatéralisme en matière de droits de l'homme et dans quelques autres domaines. Ainsi, nous n'avons pas adhéré à des conventions internationales du domaine des droits de l'homme qui ont été signées par pratiquement tous les autres pays du monde. Nous avons refusé d'adopter le Protocole de Kyoto. Nous nous sommes retirés de l'accord avec la Russie concernant les armes de défense contre les missiles balistiques. Plusieurs mesures prises par les Etats-Unis ces dernières années révèlent leur scepticisme et leur inquiétude à l'égard du système du droit international. Mais les USA et l'Europe poursuivent tous deux les mêmes valeurs juridiques suprêmes que sont la prééminence du droit, les protections fondamentales des personnes, l'égalité devant la loi et la liberté individuelle. Par conséquent, il y a fondamentalement bien plus de points d'accord que de divergences sur les principes les plus chers aux deux systèmes. Mais les pays d'Europe sont plus attachés que les Etats-Unis à un système international d'exécution, d'interprétation et de mise en oeuvre. C'est ce que les pays d'Europe considèrent comme de l'unilatéralisme de la part des USA.
Question: Peut-on prédire l'émergence, dans un avenir prévisible, d'un système bicéphale ou de deux systèmes politico-judiciaires différents dans les affaires mondiales?
J. Rubenfeld: La possibilité existe. D'ailleurs, avec l'UE, ce système bicéphale existe déjà dans une certaine mesure. Si l'Union européenne poursuit sur la voie de sa réussite actuelle, vous disposerez d'un système européen complet de réglementation en matière de droits de l'homme et d'économie. Ce système sera différent des réglementations américaines en matière de droits de l'homme et d'économie.
Question: Ces deux systèmes peuvent-ils coexister sans conflits?
J. Rubenfeld: Les risques de confrontation sont fortement exagérés. Fondamentalement, les deux systèmes sont attachés aux mêmes valeurs. Il peut y avoir des inquiétudes et des préoccupations par moments, quand un des systèmes ne suit pas exactement les règles que l'autre aurait trouvé souhaitables, mais c'est à la fois naturel et viable. Des divergences existent certes entre les constitutionalismes des Etats-Unis et de l'Europe mais, en fin de compte, il n'y a aucune raison pour que toutes les nations démocratiques soient absolument uniformes sur le plan du droit constitutionnel.
http://www.coe.int/T/F/Com/Dossiers/Themes/Democratie-droit/default.asp
La Commission européenne pour la démocratie par le Droit a été créée au lendemain de la chute du mur de Berlin, en mai 1990. Plus connue sous le nom de Commission de Venise, ville où elle se réunit, elle a joué un rôle aussi essentiel que discret dans la mise en conformité des lois fondamentales des pays d'Europe centrale et orientale aux standards du patrimoine constitutionnel européen.
Organe de référence, la Commission a ainsi aidé à l'adoption de nouvelles constitutions mais aussi de lois aussi fondamentales que les lois sur les cours constitutionnelles, les codes électoraux, les lois sur les minorités et d'autres lois touchant aux institutions démocratiques de nombreux Etats membres du Conseil de l'Europe.
Depuis sa création, la Commission de Venise est intervenue sur plusieurs dizaines de constitutions et de lois fondamentales.
En 1988-89, quand la création de la Commission européenne pour la démocratie par le droit est proposée, son utilité est mise en question. A quoi pourra servir une telle instance dans une matière, le droit constitutionnel, jalousement gardée par chaque pays?
Les bouleversements de l'histoire vont très vite apporter une réponse concrète que même les pères de la Commission n'avaient pas envisagé.
En effet, après la chute du mur de Berlin, les pays d'Europe centrale et orientale, se tournent vers le Conseil de l'Europe pour adhérer, estimant que les valeurs de l'organisation, respect des droits de l'homme, démocratie pluraliste et Etat de droit, constituent le modèle qu'ils recherchent. Pour y parvenir, ces pays doivent impérativement engager des réformes de leurs lois fondamentales pour les rendre compatibles avec les standards juridiques énoncés par le Conseil de l'Europe.
Tout naturellement, ces pays font appel à la Commission de Venise pour bénéficier de son expertise. Cette dernière intervient alors non comme prescriptrice de solution mais comme consultant. Les projets de textes que lui soumettent les pays sont analysés et les points susceptibles de poser problème sont signalés.
La Commission ne dicte rien, n'impose rien mais souligne les éventuels imprécisions, risques ou aspects contraires aux normes du patrimoine constitutionnel européen. Au pays demandeur d'en tirer lui-même les conclusions et de trouver la solution adéquate.
Ce système à la fois souple et non directif remporte un immense succès puisque pratiquement toutes les constitutions des pays issus de l'ancien bloc communiste, y compris celle de la fédération de Russie, sont passées un jour entre les mains de la Commission. Il en va de même pour les lois relevant du domaine constitutionnel et portant, par exemple, sur les cours constitutionnelles, le droit électoral, les minorités ou d'autres aspects des institutions démocratiques. |
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marektysis Trustworthy Freedom Fighter
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Posted: Sun Jan 28, 2007 2:37 pm Post subject: |
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FAIR USE NOTICE
Nous avons vu dans le symposium qui va se tenir à Stanford trois éléments constitutifs , nécessaires et suffisants:
1)Un concept de constitutionnalisme Global
2) Associé avec un travail en cours sur le Moyen Orient ( trois juristes israéliens et trois arabes dont le concepteur en ‘ Chef’ de la constitution Irakienne),signe d’un travail continué sur le sujet malgré les échecs de Bush et Blair
3)Avec l’ aide de Woolsey,qui a fait d’ EURASIA le fer de lance de la politique US, dont le grand Moyen Orient
Nous allons regarder maintenant le paradoxe du travail de ‘constitutionnalistes europééens’ , leur hypocrisie manifeste et leur insuffisance.
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http://www.latimes.com/news/nationworld/world/la-fg-spy26jan26,1,5142010.story?track=rss&ctrack=1&cset=true
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LES OFFICIELS ALLEMANDS ONT LAISSE UN HOMME INNOCENT SOUFRIR A GUANTANAMO
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US law copyright-Fair Use Notice
BERLIN — Le récit de tortures et d’emprisonnement raconté par un homme dont la voix est écorchée et dont la barbe tombe sur la taille a secoué l’ Allemagne
Et son Parlement et initié le scandale du Renseignement Allemand [ dénoncé depuis des années par Marek] qui a impliqué le Ministre des Affaires étrangères Frank-Walter Steinmeier.
Le cas de fuites a montré que DES INJUSTICES PEUVENT DECOULER DE LA LUTTE CONTRE LE TERRORISME (sic)[En fait la Lutte contre le Terrorisme dès le moment où elle s’affranchit du contrôle du (des)Parlement(s) permet TOUS LES CRIMES QU ON NE PEUT APPELER ‘INJUSTICES’CAR LE MANQUE DE CONTROLE PARLEMENTAIRE EST EN SOI UNE FAUTE CRIMINELLE].
Cela a révélé à cette Nation, critique fréquente du traitement réservé par Washington aux suspects,[encore faudrait il que Berlin n’aide pas Washington à extrader ses nationaux vers les centres de torture US, comme cela a été le cas antérieurement] QUE SES PROPRES OFFICIELS POURRAIENT AVOIR PERMIS A UN ALLEMAND INNOCENT DE LANGUIR DURANT DES ANNEES DANS UNE CELLULE A GUANTANAMO.
[Quand on sait que Mrs Merkel est une ancienne apparitchik du parti Communiste Est Allemand, on peut concevoir que cela ne pouvait l’affecter, mais enfin..y a t’il encore des êtres humains au pouvoir en Allemagne ? On a vu l’atroce Schilly (Bilderberg) préparer une centralisation des pouvoirs de la Police en Allemagne qui évoquait la Geheime Statz Polizei dans son étendue et profondeur il y a deux ans et ceci pour lutter contre le ‘Terrorisme’, pouvons nous comprendre qu’une nation européenne qui connaît les DROITS DE L HOMME SE PLIE AUX DESIRS DE WASHINGTON, CAPITALE D UNE NATION EN COURS DE FASCISATION GLOBALE ET KELSENNIENE ?]
L’histoire commence en 2001 quand Murat Kurnaz, Turc né en Allemagne est arrêté au Pakistan d’être un suspect d’être militant. Il est transféré en Afghanistan, où les Interrogateurs Américains le pendent avec des chaînes Il est alors envoyé à Guantanamo et tenu là jusque fin août 2006 lorsqu’il est relâché.
IL N A JAMAIS ETE CHARGE DU MOINDRE CRIME
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Les documents de renseignement cites par les médias Allemands [ que je félicite de faire convenablement leur travail vis à vis du pouvoir, alors que les médias latins montrent surtout leur absence de courage] suggèrent que Kurnaz, un constructeur de bateau de 24 ans,AURAIT PU ETRE LIBERE DES ANNEES PLUS TOT !
Les dossiers indiquent que la CIA a offert de relâcher Kurnaz et de le retourner en Allemagne EN 2002. Une opératif du Renseignement Allemand notait
Que Kurnaz pourrait être persuade de DEVENIR INFORMATEUR ET INFILTRER DES RESEAUX ISLAMIQUES RADICAUX.
[Cher utilitarisme ! Pourquoi le BND ne pouvait il opérer ces infiltrations lui-même ?]
A l’époque où le sort de Kurnaz fut décidé, Steinmeier SUPERVISAIT LES AGENCES D ESPIONNAGE ALLEMANDE COMME CHEF D ETAT MAJOR du Chancelier Gerhard Schroeder.
Des documents qui sont examinés par un comité spécial du Parlement laissent entrevoir que Steinmeier et l’ancien directeur du Renseignement August Hanning ONT REPOUSSE L OFFRE DES USA. Il est peu compréhensible pourquoi ils ont refusé mais les officiels US ont dit ces derniers mois que des nationaux étrangers détenus à Guantanamo ne sont pas libéré souvent parce que leur pays craignent qu’ils puissent être des extrémistes [ ô, pouvoir des étiquettes !]
Et ne veulent pas de retour…..[quand on voit comment ils sont accueillis lorsque leur pays doit les reprendre….montre bien ce pouvoir de rejet par l’image]
La chance de faire relâcher devrait avoir été prise dit le législateur Max Stadler, un membre du comité spécial. "Je ne vois aucune raison sensible pourquoi le precedent gouvernement federal a raté cette chance ».
Steinmeier, qui est devenu le minister des affaires étrangères du Chancelier Angela Merkel en 2005, a nié que les USA planifiaient de rendre Kurnaz en Allemagne.
[niez, niez, il en restera quelque chose]
IL est attendu pour son témoignage devant le comité spécial en Mars.
Des éléments ( voir article en anglais) montrent que Steinmeier a soutenu de sang froid et anti constitutionnellement une collaboration secrète entre l’ Allemagne et la CIA durant les années Schroeder. Si ce mensonge entraînait le départ de Steinmeier du gouvernement, l’ Allemagne entrerait en crise.
Mais le mensonge ne constitue t’il pas en lui-même le signe d’une GRAVE CRISE ?
Marek Tysis |
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marektysis Trustworthy Freedom Fighter
Joined: 01 Nov 2006 Posts: 1581 Location: Brussels
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Posted: Sun Jan 28, 2007 8:33 pm Post subject: |
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BILDERBERG ET CONSTITUTIONALISME
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Je remercie bip-bip pour son texte daté de 2003, il est vrai. Depuis les USA ont rattrapé leur retard sur certains plans jusqu’à nier les droits constitutionnels des Américains par rapport aux droits du Commandant en Chef qui est allé jusqu’à espionner le courrier de son bon peuple et leur communications téléphoniques puisque Alberto Gonzales prétend que l’ exécutif en situation de conflit a tous les droits, tous les pouvoirs.
Pour le reste le hiatus demeure , y compris sur le droit international où les USA masquent leur responsabilité dans la pendaison de Saddam ( en tant que puissance occupante, ils sont responsables et non le soi disant gouvernement démocratique d’ Irak qui ne peut être considéré comme indépendant. Tout assassinat, toute guerre civile se déroulant sur le sol Irakien leur est automatiquement imputable, ce qu’ils préfèrent naturellement ne pas voir et comprendre).
LES AMIS DE KELSEN REUNIS A MADRID VEULENT REFORMER LE TRAITE EUROPEEN « A MAXIMA »
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On sait la contrariété qu’a été pour le Bilderberg et les Atlantistes l’ échec des référendums en France et en Hollande voici deux ans déjà. Mais l’ Atlante et Allemande Merkel entend relancer le texte Kelsenien afin de mener plus complètement le veau européen vers l’abbatoir mondial du droit international
Les dix huit pays qui ont ratifié le traîté ( en dehors de l’ Espagne, peu des pays ratificateurs sont passés par le référendum ce qui démontre leur culot anti démocrate.) veulent passer par un texte complet et non réduit.
Bref le Ministre des Affaires Etrangères Moratinos d’ Espagne, par son communiqué à l’issue de la réunion de Madrid remet le couvert renversé il y a deux ans.. Comme innovation il a proposé d’inclure une meilleure coordination des politiques économiques et le développement d’une espace social européen ( une cage à canari ?) et a pressé les autres états à faire part de leurs propositions.
Le premier écho est venu de Prague où Merkel se trouvait chez le président Klaus, très eurosceptique.
Celui ci a répondu NON a une relance du processus de relance de la constitution européenne et n’a pas fléchi ( ce uqi en fait un grand monsieur qui connaît son droit constitutionnel , lui).Klaus n’est pas favorable même à la présentation d’un nouveau texte. La veille, Klaus s’était rendu en Pologne pour s’entendre sur une position commune avec Lech Kaczynski, lui aussi eurosceptique qui lui a déclaré que la non application du traîté au sein de l’ UE N AVAIT PROVOQUE AUCUNE CRISE AU SEIN DE L UE,( ce qui est très finement noté et montre que l’ UE peut fonctionner parfaitement sans ce fumeux texte).Kaczynski est souveraineiste , c’est à dire qu’il prône une’organisation des Etats Européens’ à laquelle les Etats Européens ne céderaient QU UNE PETITE PARTIE DE LEURS PREROGATIVES.
Naturellement , le traité est requis pour la vingt huitième adhésion.
Il est à présent clair que l’ Espagne et autres bluffeurs tentent le forcing AU RISQUE DE LA CASSURE DE L UE EN DEUX.
Un âne ne butte pas sur la même pierre, mais il faut croire que les Internationalistes atlantistes qui ont patienté deux ans avant de forcer de nouveau sur la même pierre n’ont pas encore compris que leur forcing Kelsenien ne marchera pas avec les Polonais, Tchèques( et autres). Il va sans dire que si un candidat Français aux élections devait favoriser la solution de la négociation de la cession de souveraineté, non seulement il devrait être suivi par son peuple, mais sa position casserait l’ensemble du jeu de Bilderberg, CFR,Trilatérale au sein des institutions Européennes et permettrait des cessions de souveraineté voulues et équilibrées et l’ apparition de subsidiarités consenties librement. Ce processus engagerait plus les peuples A CREER UNE VERITABLE EUROPE, SELON LA VOLONTE DES PEUPLES ET NON CELLE DES LOBBIES.
Tout le monde sait ici que si j’étais français, j’appuierais Cheminade pour cette fin uniquement.Je ne dénigre aucun des autres candidats, mais je ne les ai pas entendus sur ces thèmes pourtant VITAUX pour nous européens.Si vous connaissiez certaines des déclarations de Besancenot, Voinet, Bove et Buffet sur ce point précis concernant l'alternatiuve à KELSEN, je vous remercie de poster sur ce topic.il est toujours bon d e connaitre SES VERITABLES AMIS EN TANT QUE PEUPLE.
Marek Tysis |
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marektysis Trustworthy Freedom Fighter
Joined: 01 Nov 2006 Posts: 1581 Location: Brussels
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Posted: Sun Jan 28, 2007 9:21 pm Post subject: DE LA PART DE VICFLAME- RFID ET ENCRE INVISIBLE |
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Source : http://technaute.lapresseaffaires.com/nouvelles/texte_complet.php?id=81,12399,0,012007,1324397.html&ref=nouvelles
La RFID se fait encre biologique invisible
Yves Grandmontagne
12 janvier 2007 - 07h28
Somark Innovation a présenté une technologie d'encre RFID, sans composant électronique et biocompatible.
Texte :
Une technologie RFID (Radio Frequency Identification) passive, sans puce et biocompatible, c'est la technologie que nous propose une jeune entreprise de la région de St-Louis, Somark Innovation.
Basée sur une encre, cette nouvelle technologie RFID peut être appliquée sur les humains et les animaux, et lue au travers du pelage, des poils et des cheveux. Elle fournit une empreinte biométrique synthétique sans qu'il soit désormais nécessaire d'implanter une puce.
Elle a été expérimentée avec succès aux États-Unis sur des bovins, pour les tracer dans le cadre de la lutte contre l'ESB, l'encéphalopathie spongiforme bovine, plus simplement appelée maladie de la vache folle.
Selon Mark Pydynowski, cofondateur de l'entreprise, l'encre peut être invisible ou colorée, et ne contient pas de métaux. En revanche et sans surprise, il n'a pas souhaité révéler sa composition, mais a tenu à affirmer comme certain qu'elle est 100% biocompatible et chimiquement inerte. Donc sans danger pour l'homme et les animaux.
L'encre est stockée dans une capsule à usage unique qui s'insère dans un applicateur réutilisable équipé de micro buses géométriques. Appliquée par collage ou tatouage, sans qu'il soit nécessaire de raser la fourrure, elle sèche de 10 secondes. Enfin, elle peut être détectée jusqu'à environ 1,2 mètre.
Le volume d'informations stockées dépend de la surface appliquée. Dans le cas des bovins, le département américain de l'agriculture a choisi un nombre de 18 chiffres, composé du «840» pour les États-Unis et d'un code unique réservé à l'animal.
Le tag peut être appliqué n'importe où, à un endroit choisi par l'éleveur. Et dans l'expérience menée c'est l'encre invisible qui a été choisie afin de limiter le risque de vol des animaux, puisqu'il est impossible de la repérer à l'oeil nu.
Les applications peuvent être multiples. Sur les animaux par exemple, animaux d'élevage, chiens, chats. Les militaires sont aussi particulièrement intéressés. Les soldats seraient étiquetés et pourraient s'identifier même dans l'obscurité. En cas de blessés ou de morts, quelque soit leur état, ils seraient identifiables, même chez les grands brûlés.
Une autre application imaginable, plus futuriste, porterait sur le marquage systématique des morceaux de viande. On peut ainsi imaginer qu'un jour le consommateur pourra scanner un Big Mac, identifier ainsi la bête qui a fourni la viande, et en interrogeant une base de donnée savoir si elle a ou non été nourrie aux hormones.
Avec tant de possibilités, la technologie de Somark Innovation devrait rapidement dépasser le niveau de l'expérience de laboratoire.
VICFLAME |
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marektysis Trustworthy Freedom Fighter
Joined: 01 Nov 2006 Posts: 1581 Location: Brussels
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Posted: Tue Jan 30, 2007 7:27 pm Post subject: |
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DUPOND AIGNAN SE POSITIONNE CORRECTEMENT
En plus de Cheminade, le candidat Dupond Aignan s'est positionné plus que correctement contre L HYPOTHESE KELSEN pour notre avnir en quoi je le félicité D AVOIR SENTI CORRECTEMENT QUEL ETAIT L ENJEU DE CETTE ANNEE 2007. Savoir si sa candidature ne sera pas récupérée est autre chose.MAis voilà un autre brave !
Marek |
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bip bip
Joined: 06 Nov 2006 Posts: 77
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Posted: Thu Feb 01, 2007 7:39 pm Post subject: |
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ça ne vous semble pas un peu bancal cette histoire d'argent pour compenser la pollution en CO2? Des africains viennent en avion pour assister à une conférence sur le climat ,on calcule le prix de la pollution
engendrée par leur voyage en avion et on leur donne de l'argent via une ONG(????)pour qu'ils achètent des fours écolos tout à fait rustiques!
A mon humble avis , une télé conférence aurait évité et la pollution et les frais de déplacements et les dépenses somptuaires qui vont souvent de pair. On croit rêver,on nous prend pour des idiots ,mais personne ne râle.
Environnement: la compensation carbone à la mode
PARIS (AP) - Leonardo DiCaprio, l'ancien vice-président américain Al Gore, les taxis londoniens... Le concept de "bilan carbone neutre" compte de nombreux partisans et non des moindres, mais est loin de faire l'unanimité. Concrètement, il s'agit de compenser ses émissions nocives de dioxyde de carbone en finançant la reforestation ou d'autres actions bénéfiques pour l'environnement.
Compenser les émissions de CO2 émises lorsque l'on prend l'avion, la voiture ou même lorsque l'on se marie est de plus en plus simple. Un nombre croissant d'entreprises proposent de calculer la quantité de carbone émise par de telles activités et le coût des mesures qui, en théorie au moins, permettront de réduire des émissions d'un volume équivalent ailleurs dans le monde. Quelques minutes passées sur Internet et une carte bancaire suffisent.
Mais selon ses détracteurs, le concept n'est pas forcément une bonne idée. Ils estiment qu'il donne l'impression erronée que l'on peut continuer à polluer comme avant et que ce genre d'initiatives individuelles peut suffire à résoudre le problème du réchauffement climatique, alors que des changements beaucoup plus profonds sont nécessaires.
Ils mettent aussi en garde contre le manque de contrôle et de transparence des entreprises qui proposent ce service, et soulignent qu'il vaudrait mieux que les populations réduisent leur pollution et demandent à leurs gouvernants de tourner la page des énergies fossiles.
Les entreprises qui surfent sur la vague du carbone neutre "tentent de gagner de l'argent en exploitant le sentiment de culpabilité des consommateurs", estime Jutta Kill, de l'organisation de défense de l'environnement SinksWatch. "C'est même pire que de ne rien faire", assure-t-elle. "Ceux qui comme Al Gore sont en position de donner l'exemple ne rendent pas service (à la lutte contre le réchauffement) en faisant la promotion des compensations de carbone de la manière dont il le fait."
Reste que ce filon peut se révéler lucratif pour les entreprises. La société Radio Taxis, qui gère une flotte de 3.000 véhicules à Londres, s'est autoproclamée en 2005 première société mondiale de taxis au bilan carbone neutre.
Le groupe compte compenser ses émissions en investissant dans des projets d'énergie renouvelable au Sri Lanka et en Bulgarie ainsi que dans des forêts en Grande-Bretagne et en Allemagne pour un coût annuel de 100.000 livres (151.000 euros). Son engagement séduit: la société a remporté de nouveaux contrats pour un montant de deux millions de livres (trois millions d'euros).
Selon le "calculateur de CO2" en ligne de la société française Climat Mundi, un vol aller-retour Paris-Londres pour une personne en classe économique produit 0,2 tonne de dioxyde de carbone. La firme propose alors à l'internaute de verser 4,09 euros dans un programme qu'elle finance afin de compenser les rejets induits par ce voyage.
"Aujourd'hui, ça reste encore socialement très acceptable d'aller passer ses vacances à l'autre bout du monde ou d'aller passer un week-end dans un autre pays d'Europe sur un vol low-cost", souligne Eric Parent, qui a lancé Climat Mundi en juin. "La prise de conscience du réchauffement, alliée au fait qu'on puisse maintenant compenser des émissions de façon individuelle, va à mon avis contribuer à rendre socialement beaucoup moins acceptable le fait de se déplacer sans compenser."
Pour les jeunes mariés ou leurs invités, le site propose un forfait spécial de 180 euros afin de compenser les neuf tonnes de CO2 qui, selon lui, sont rejetées par une fête de mariage réunissant 150 personnes et le voyage de noces.
Le gouvernement français a décidé de contribuer à un projet de Climat Mundi visant à fournir des foyers de cuisson consommant moins de bois à des populations d'Erythrée, pour compenser les émissions liées à la réunion du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) cette semaine à Paris.
Afin de contrebalancer les 1.100 tonnes de CO2 qui devraient être générées par la conférence, qui rassemble 500 experts venus du monde entier, il faudra, selon M. Parent, 360 nouveaux foyers à bois à haut rendement. AP
lma/v590/st
• Rubrique : Monde
http://fr.news.yahoo.com/01022007/5/environnement-la-compensation-carbone-la-mode.html |
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