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Bilderberg.org the view from the top of the pyramid of power
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vicflame Committed Poster
Joined: 30 Aug 2006 Posts: 4507 Location: Belgium
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Posted: Sat Oct 21, 2006 8:08 am Post subject: réponse... |
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Etant moi-même chrétien, je dois dire que l'une des choses qui me révulse le plus est ce FATALISME teinté de DOLORISME et qui cache en réalité un REFUS DE FAIRE QUOI QUE CE SOIT POUR AMELIORER LA SITUATION !
Les gens oublient un peu vite que Dieu nous a confié cette planète et ses ressources afin que nous en prenions soin, qu'Il nous a donné le libre-arbitre comme un cadeau divin et qu'Il nous a confié via Jésus le commandement de nous aimer les uns les autres.
Alors, je vous le demande, LAISSER POURRIR la situation SANS RIEN FAIRE sous le prétexte que "cela a été écrit", laisser les guerres tuer les gens, laisser les pollutions détruire la planète, laisser le contrôle total et la suppression des libertés s'installer (y compris la suppression du libre-arbitre via des puces implantables, par exemple), laisser régner les crapules maléfiques du Nouvel Ordre Mondial, cela ne constitue-t-il pas une série d'ABOMINATIONS absolument infâmes et insoutenables qui violent les commandements de Dieu ???
Pour que le Mal l'emporte, il ne suffit que d'une seule chose : que les gens de bien ne fassent RIEN. Et le problème, c'est ce qui est en train de se passer, car les gens d'aujourd'hui (chrétiens y compris) sont comme ces "bons Allemands" de la seconde guerre mondiale qui fermaient les yeux, se taisaient et se bouchaient les oreilles face aux atrocités des Nazis et ne voulaient surtout rien tenter ni rien faire !
Bonne réflexion et à plus tard, Vic.
P.S. : sorry pour cet interlude chrétien. Nous revenons à présent à davantage d'informations. |
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vicflame Committed Poster
Joined: 30 Aug 2006 Posts: 4507 Location: Belgium
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Posted: Sat Oct 21, 2006 8:54 am Post subject: BIENTOT UNE NOUVELLE BOURSE PAN-EUROPEENNE ??? |
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BIENTOT UNE BOURSE PAN-EUROPEENNE ???
Chers amis,
Les buts principaux du Nouvel Ordre Mondial maléfique sont simples :
1) Création d'un GOUVERNEMENT MONDIAL (cela peut faire rire au premier abord, mais avant de ricaner, réfléchissez : votre gouvernement national ne prend plus les décisions les plus importantes. C'est à présent la Commission européenne - un organe SUPRANATIONAL - qui décide des décisions politiques les plus critiques.)
2) Création d'une MONNAIE UNIQUE et d'une ECONOMIE MONDIALISEE (à nouveau, cela peut prêter à sourire, mais réfléchissez : combien de monnaies européennes y avait-il au tournant du 21e siècle ? Plusieurs dizaines ! ET combien en reste-t-il aujourd'hui ? Juste quelques-unes, dont surtout l'EURO ! Nous savons aussi que les USA, le Canada et le Mexique sont en train de se rapprocher pour ne plus former qu'une seule zone écnomique nord-américaine... Et que dire des forums économiques - Davos, par exemple - ou des instances économiques et financières mondialisées tels que l'OMC, le FMI, la banque mondiale etc. !)
3) Un CONTROLE TOTAL, une SURVEILLANCE PERMANENTE et une REPRESSION DE CHAQUE INSTANT SUR LES INDIVIDUS (voir à ce sujet les innombrables mesures et technologies liberticides qui ont été adoptées - soi-disant pour votre "sécurité" - depuis le 11 septembre 2001, qui piétinent au passage les constitutions nationales et les droits du citoyen, et qui sont reprises sur le topic "Contrôle des populations/RFID/Implants/Contrôle mental").
4) Une DIMINUTION DRASTIQUE du nombre de personnes vivant sur cette planète.
L'article ci-dessous est lié au projet de monnaie unique et d'économie MONDIALISEE.
Figurez-vous, en effet, que les différentes bourses européennes, qui ne sont plus gérées que par l'une ou l'autre société européenne (cf. Euronext), reçoivent à présent des pressions pour "s'unifier" ET NE PLUS CREER QU'UNE SEULE BOURSE PAN-EUROPEENNE (= valable pour toute l'Europe) !!!
Ceci peut laisser indifférent, au premier abord, MAIS IL S'AGIT UNE FOIS DE PLUS D'UNE MANOEUVRE ET D'UNE ETAPE DU NOUVEL ORDRE MONDIAL CAPITALISTE, MONDIALISANT, ULTRALIBERAL ET FASCISTE afin de se diriger petit à petit vers une ECONOMIE MONDIALISEE ET UNE MONNAIE UNIQUE !
L'article ci-dessous est donc important.
Je vous laisse le découvrir...
Bonne lecture, bonne réflexion, ET BONNE INSURRECTION, SURTOUT ! Vic.
Source : journal belge "Metro" ( http://www.metrotime.be ) du lundi 16 octobre 2006, p.7.
PRESSION POUR UNE BOURSE PAN-EUROPEENNE
BRUXELLES - Le conseil d’administration de Borsa Italiana soutient l’option d’une alliance éventuelle avec Deutsche Börse et Euronext au sein d’une bourse pan-européenne et a approuvé une déclaration d’intention en ce sens. Euronext, l’opérateur des bourses de Bruxelles, Paris, Amsterdam et Lisbonne a lancé en juin dernier une offre sur le New York Stock Exchange (NYSE), rejetant les avances de son concurrent Deutsche Börse.
Ce dernier a néanmoins maintenu sa proposition de rapprochement.
Le président français et la chancelière allemande ont pour leur part souligné jeudi qu’ils étaient favorables à une «solution européenne». Euronext est également mis sous pression par certains de ses actionnaires comme le britannique TCI Fund Management qui souhaite une fusion avec Deutsche Börse. |
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vicflame Committed Poster
Joined: 30 Aug 2006 Posts: 4507 Location: Belgium
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Posted: Sat Oct 21, 2006 10:53 am Post subject: NOUVEL ORDRE MONDIAL : LE SCHEMA !!! |
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!!! MEGA CAPITAL !!!
NOUVEL ORDRE MONDIAL : SES COMPOSANTES : LE SCHEMA !!!
Chers amis,
En cliquant sur l'image ci-dessous, vous verrez le schéma du Nouvel Ordre Mondial maléfique et de toutes ses composantes actuelles !
Ceci est un MUST ! Gardez bien ce schéma en mémoire, imprimez-le et sauvegardez-le sur disquette, sur le disque dur de votre PC, sur clé USB ou tout autre support !
Comme vous le constaterez, il existe PLUSIEURS SPHERES à ce nouvel ordre mondial : sphère militaro-scientifique, cercle extérieur, sphère du pouvoir militaire et policier (services secrets, agence de renseignement, intelligence), sphère du pouvoir économique et financier...
Notez bien les noms et instances que l'on y trouve : Bilderberg, Commission trilatérale, Club de Rome, Skull & Bones, Bohemians Club (aussi appelé Bohemian Grove), CFR (Council on Foreign Relations), Jason Group etc.
Toutes ces instances FONT PARTIE DU NOUVEL ORDRE MONDIAL !!!
Vous constaterez AUSSI que la COMMISSION EUROPENNNE est reprise dans ce schéma !
Sans oublier les MULTINATIONALES et les BANQUES !
Ce schéma est vraiment important ! SAUVEGARDEZ-LE !
L'image (à agrandir en cliquant à plusieurs reprises), ci-dessous...
Vic.
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EIR
Joined: 21 Oct 2006 Posts: 1
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Posted: Sat Oct 21, 2006 11:02 am Post subject: |
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désolé si ça n'est pas en lien avec ce qui précède.
John Train et le gouvernement secret des banquiers
Depuis plus de vingt ans, le financier John Train est le coordinateur d'opérations de renseignement «privées» vouées à réduire au silence Lyndon LaRouche. A travers cet article, nos lecteurs apprendront à connaître le réseau dans lequel il opère aux Etats-Unis et en Europe.
Le 23 avril 1983, une invraisemblable collection d’agents du gouvernement américain, de journalistes et de bailleurs de fonds ultra-conservateurs se retrouvaient à Manhattan, au domicile du banquier John Train, un soi-disant «intellectuel» anglophile jusqu'au bout des ongles. L’ordre du jour de cette réunion et des deux suivantes tenues au même endroit en automne 1983 et au printemps 1984, était le lancement d'une campagne de diffamation contre Lyndon LaRouche, parallèlement à l'enquête frauduleuse menée contre lui par le gouvernement américain depuis janvier 1983, sous couvert de «sécurité nationale». Cet effort devait aboutir, en 1986, à un impressionnant raid policier paramilitaire dans les bureaux de sociétés d'édition liées à LaRouche, ainsi qu'à son domicile de Leesburg, en Virginie. Cette intervention était orchestrée de façon à provoquer une fusillade dans laquelle LaRouche devait être assassiné. Suite à ce raid, différentes poursuites judiciaires furent entamées au niveau fédéral et d’Etat, toutes plus fallacieuses les unes que les autres, aboutissant à la condamnation de LaRouche et de certains de ses collaborateurs, ainsi qu'à la mise en faillite illégale de différentes publications et entreprises proches de son mouvement, y compris une fondation scientifique sans le moindre but lucratif.
La campagne pour éliminer LaRouche était déjà menée depuis plusieurs mois par des individus comme Henry Kissinger, James Jesus Angleton, Jay Lovestone, Sydney Hook et Leo Cherne, mais un évènement décisif, intervenu exactement un mois avant le premier « salon » tenu chez John Train, devait rendre d'autant plus pressant l'aboutissement de cet effort et faire accélérer les choses.
L’Initiative de défense stratégique
Le 23 mars 1983, le président américain Ronald Reagan annonçait en effet, dans une intervention télévisée diffusée dans tout le pays, son projet d’Initiative de défense stratégique (IDS), qui allait être caricaturalement baptisée «guerre des étoiles» par une surprenante alliance médiatique anglo-américaine et soviétique, puis sabotée de l’intérieur par des cercles de droite autour de l’Heritage Foundation, du général Danny Graham et de James Jesus Angleton.
De quoi s'agissait-il ? Avec ce projet, le président Reagan proposait aux dirigeants soviétiques de collaborer à la mise au point d'un bouclier défensif global contre les armes nucléaires. Il n'en fallait pas plus pour que l’appareil associé à Kissinger et à Angleton comprenne que l’impensable venait de se produire : une idée conçue par LaRouche au milieu des années 1970, dont il avait fait la pierre angulaire de sa course à l'investiture présidentielle démocrate en 1980, avait été entièrement reprise à son compte par le Président des Etats-Unis. Soudainement, dans les derniers instants du discours télévisé du président Reagan, fut ébranlé tout l'édifice de la doctrine de Destruction mutuelle assurée (en anglais MAD, qui veut dire «fou»), constituant la clé de voûte du règne de la terreur appelé «guerre froide».
A en croire un témoin oculaire, jusqu’au moment où le président Reagan prononça ces mots, même son chef de cabinet James Baker III ignorait que le chef de l'Etat allait réellement proposer ce projet de défense anti-missiles balistiques que la Maison Blanche étudiait depuis plus d'un an – et ce, en dépit de l’opposition véhémente de la plupart des conseillers présidentiels, dont Baker lui-même, le vice-président Georges H.W. Bush et le secrétaire d’Etat Georges Shultz. Baker était convaincu d'avoir supprimé du discours les paragraphes portant sur la défense anti-missiles balistiques avant qu'on ne le présente à Ronald Reagan pour approbation finale, mais il ignorait que le conseiller présidentiel à la sécurité nationale, William Clark, avait entre-temps rejoint le Président et qu'ils avaient tous deux réintégré les paragraphes en question – à l'insu de James Baker. On court-circuita ainsi la garde prétorienne et l’histoire fut faite.
Les dessous de cette histoire sont encore plus révélateurs. Sous l'égide tout d’abord de la CIA puis du Conseil national de sécurité (NSC), Lyndon LaRouche menait officieusement des négociations secrètes avec des responsables soviétiques afin d'explorer les possibilités d’une collaboration bilatérale pour mettre au point des systèmes de défense basés sur de «nouveaux principes physiques» -- des armes à rayons -- capables de détruire des missiles balistiques à ogive nucléaire, une fois lancés. Certes, les systèmes de détection et de lasers de pointe qu'il faudrait déployer pour détruire les missiles en plein vol représentaient un grand défi scientifique pour les Etats-Unis, l’Union soviétique et les autres pays développés, mais la perspective d’en finir avec l’ère de la «terreur thermonucléaire» était si prometteuse, et la science et ses applications technologiques si clairement à portée, que le projet de Lyndon LaRouche eut un impact immédiat sur un président Reagan qui déplorait depuis des décennies le règne de la doctrine de destruction massive, qui tenait en otage le genre humain.
De 1981 jusqu’au printemps 1983, LaRouche se rendait souvent de New York à Washington pour y rencontrer un diplomate soviétique de haut rang, Evgueni Cherchnev, en poste à l’ambassade. Après chacune de leurs discussions, LaRouche en rendait compte à Richard Morris, l'adjoint extraordinaire de William Clark au NSC.
Lors de sa déposition au procès expéditif de LaRouche à Alexandrie en novembre 1988, Morris évoqua sept projets de sécurité nationale encore classés secrets, pour lesquels la Maison Blanche de Reagan avait requis la collaboration de LaRouche. En tête de la liste figuraient les entretiens officieux avec des responsables soviétiques devant mener à l’annonce de l'IDS, le 23 mars 1983.
Cette intervention changea le cours de l’histoire. Même si le président Youri Andropov devait rejeter la proposition de collaboration faite par Ronald Reagan, donnant ainsi le départ de «la course aux armes à rayon», la dynamique déclenchée par la collaboration Reagan-LaRouche sur l’IDS allait entraîner, à la fin de la décennie, la dissolution de l’Union soviétique et du Pacte de Varsovie. Alors qu'Andropov rejetait l’offre de Reagan, LaRouche lança une mise en garde claire : si Moscou persistait sur la même voie et si les Etats-Unis développaient effectivement des armes à rayons basés sur de nouveaux principes physiques, alors le système soviétique s’effondrerait sous le poids de son effort pour se doter à lui seul d'une défense anti-missiles balistiques, combiné aux failles culturelles et économiques inhérentes au système communiste soviétique. Avec la chute du mur de Berlin en 1989, cette prévision de LaRouche s'avérera juste à son tour.
Train à la rescousse
Dès mars 1983, la réaction de Kissinger, d'Angleton et de leurs maîtres de l’establishment anglo-américain fut instantanée : il fallait éliminer LaRouche par tous les moyens nécessaires et possibles. Pour ouvrir la chasse -- au sens propre comme au figuré -- les médias lancèrent une charge massive en vue de préparer la population aux attaques brutales qui devaient suivre contre LaRouche et ses associés. En outre, la campagne de diffamation lancée à partir du «salon de Train» allait inciter le ministère de la Justice (DOJ) à mettre en examen LaRouche et un grand nombre de ses collaborateurs pour des chefs d'accusation complètement fallacieux. Cependant, comme le montra le raid du 6 octobre 1986 sur Leesburg, mené par 400 agents du FBI, de la police nationale et locale, certains ennemis de LaRouche avaient en tête l’idée d'assassinat, et non ce long processus judiciaire.
L’homme à qui la droite de Wall Street et de la City fit appel pour téléguider l’assaut contre LaRouche était donc John Train. Au moment de convoquer la première des trois réunions de la «cellule anti-LaRouche», un mois jour pour jour après le fameux discours de Reagan, Train avait derrière lui plus de trente ans d’expérience dans la propagande noire et la guerre culturelle, pour le compte de l’establishment néo-conservateur anglo-américain.
Au début des années 1950, Train avait fondé et dirigé la Paris Review, un des fleurons des revues littéraires du Congrès pour la Liberté Culturelle, une organisation parrainé par le renseignement britannique et la CIA. Cette revue était un des éléments d'une attaque en règle contre la culture classique européenne, favorisant la littérature existentialiste la plus perverse, l’art post-moderne dégénéré et des expressions musicales et chorégraphiques sorties tout droit du «Kulturkampf» de Weimar. Il constituait le pan culturel de la «re-nazification» de l’Europe et des Etats-Unis après-guerre, au cours de laquelle bon nombre d’anciens banquiers et politiciens nazis et fascistes furent de fait réhabilités par les Anglo-Américains et recyclés en «anti-communistes» acharnés.
Petite mise au point
Bien que la plupart des manigances de Train au cours des cinquante dernières années aient bénéficié de l'étroite complicité des responsables de la CIA et du renseignement britannique, notamment James Jesus Angleton qui fut longtemps directeur du contre-espionnage de la CIA, ce serait une grave erreur de le qualifier d'«homme de la CIA». Pour le journaliste Sol Sanders, de Business Week, qui fréquentait à l'époque le «salon anti-LaRouche», John Train est le «dernier des old boys de la CIA à Wall Street», mais il correspond mieux au profil du «tory américain», terme utilisé par le président Franklin Roosevelt pour décrire la faction traître de Wall Street qui reste fidèle à l’oligarchie financière anglo-américaine et déteste la Révolution américaine ainsi que la Constitution des Etats-Unis. Pour elle, le gouvernement doit se contenter d'être un instrument utile au service du pouvoir des «Familles».
**** OP CUT
Citons au passage une anecdote révélatrice remontant à l'époque où Train était étudiant à l’université de Harvard : au cours d'une commémoration du voyage à cheval du patriote Paul Revere, notre étudiant anglophile fit irruption sur scène, vêtu de l’uniforme britannique rouge et vociférant des insultes à l’encontre des révolutionnaires américains, sous les acclamations d'une bande de camarades.
********
Les liens étroits de Train avec la CIA et d’autres services de renseignement (SR) remontent à la purge radicale opérée, au lendemain de la mort de Franklin Roosevelt, au sein de l'Office of Strategic Services, l'ancêtre de la CIA. A cette occasion, la plupart des patriotes américains, hostiles à l'oligarchie, furent exclus de toute position importante dans la communauté du renseignement américain.
Nous en sommes redevables à Allen Dulles, à James Jesus Angleton et à une foule de mandarins anglophiles moins connus dans les SR, entièrement dévoués au pouvoir oligarchique. Pour les deux premiers, leurs liens avec le fascisme européen d'avant la Deuxième Guerre mondiale, et davantage encore avec la plus insidieuse et plus puissante Internationale synarchiste, en font des atouts majeurs de l’oligarchie anglo-américaine au sein des institutions dirigeantes des Etats-Unis. Comme LaRouche l'a fait remarquer, on a affaire à un gouvernement secret de banquiers qui a infiltré et renversé le gouvernement légitime.
La généalogie de Train comme «tory américain» remonte au XIXème siècle, à l'époque où l'entreprise familiale, Enoch Train and Co., proliférait dans le commerce d’opium, en Nouvelle Angleterre, et aussi aux premières années du cartel banquier J.P. Morgan à Wall Street et Londres. Le grand-père maternel de Train était un partenaire fondateur de Morgan et ami personnel de J.P. Morgan, en charge du boursicotage sur les chemins de fer de la Drexel Morgan. Un grand-oncle, Charles Francis Train, escroc de haut vol et fondateur du Crédit Mobilier, se retrouva sur les barricades de la Commune de Paris en 1871, après avoir pillé le projet de chemin de fer transcontinental dans les années 1860.
En 1961, John Train épousera Maria Teresa Cini di Pianzana, de Florence. Selon un proche de la famille, celle-ci défendait sans vergogne le prince Valerio Borghese, le «prince noir» qui mènera de nombreuses tentatives de putsch fasciste contre le gouvernement italien à la fin des années 60 et au début des années 70. Officier de Marine pendant la Deuxième Guerre mondiale, Borghese était un inconditionnel de Mussolini et devait rejoindre, vers la fin de cette guerre, la République de Salò pour combattre aux côtés du général nazi Karl Wolff contre les alliés et les partisans. *********OP CUT Signalons que ce dernier conclura avec Allen Dulles, qui dirigeait le bureau de l’OSS à Berne (Suisse), un accord de «paix séparée» qui permit à de nombreux nazis de haut rang d'échapper aux poursuites après la guerre. Beaucoup d'entre eux rejoignirent l’Amérique du Sud, via la «route des rats», où ils furent actifs dans des coups d’État fascistes, des escadrons de la mort et des dictatures jusqu'aux années 70.******************
Pour revenir au prince Borghese, il fut arrêté par des partisans italiens après la libération de l’Italie, mais échappa à l'exécution grâce à l’agent Angleton, qui lui procura un uniforme de l’U.S. Army et l’envoya à Rome, où il fut interrogé par des officiers alliés, emprisonné, puis relâché en 1949 pour reprendre ses intrigues pro-fascistes.
La connexion Northcote-Parkinson
A son retour de Paris, John Train entrera comme associé chez Train Cabot, une société de placements de Wall Street. Peu après, il créera sa propre société d’investissement, Smith Train Counsel, spécialisée dans la gestion des grandes fortunes – dirigeant notamment les fonds vers une pléthore de projets d’extrême-droite.
A la même époque, Train devient aussi un collaborateur dévoué de l’économiste britannique Cyril Northcote Parkinson, un ardent défenseur du démantèlement des États-nations et de la restauration des monarchies. C'est ainsi qu'il travaillait sur le projet «Eurotopia» avec Alfred Heineken, le magnat de la bière hollandaise, projet qui prévoyait l'éclatement des nations européennes en 75 mini-États, dont chacun serait dirigé par une monarchie reconstituée. Dans une brochure publiée en 1992, Heineken écrivait : «Le professeur Parkinson a des doutes quant à l’édification d’une Europe unie rassemblant les nations actuelles, puisque la taille, la population et le poids économique de ces nations seraient totalement différents. Il prônait donc le partage de ces nations dans des Etats bien plus petits, de taille et d’importance égales, qui pourraient former une unité fédérale mieux équilibrée.»
Trois ans après la publication de la brochure d'Heineken sur Eurotopia, la Ligue du Nord, parti séparatiste italien, défendit un plan de fragmentation de l’Italie en de nombreux mini-Etats, plan tout à fait conforme à la carte élaborée par Parkinson et Heineken.
A en croire John Train, les plans de réforme de Northcote Parkinson pour les États-Unis étaient tout aussi radicaux. Il estimait que les fonctions du Président américain étaient «impossibles» à remplir, exigeant une quantité de travail équivalente aux fonctions combinées de la Reine d’Angleterre et de son Premier ministre. Par ailleurs, Northcote Parkinson pensait que les votes au Congrès devaient rester secrets, afin de donner aux députés une plus grande indépendance vis-à-vis de leur électeurs. Et, bien évidemment, à l'instar du projet féodal pour l'Europe, les États-Unis devaient être décentralisés en mini-États.
La plus belle gaffe publique de Northcote Parkinson fut sa visite en 1969 à la prison de Spandau, près de Berlin, où il dîna avec l’un des derniers criminels de guerre encore en vie, Albert Speer, ministre de la Production d’armes d'Hitler. «Speer prétendit qu’il avait découvert avant moi les principes que je défends», nota l'historien britannique dans son récit de leur rencontre. Sans doute avait-il raison...
En 1987, John Train, qui était alors pleinement impliqué dans l’opération anti-Larouche, créa le Fonds Northcote Parkinson, une fondation exonérée d’impôts opérant depuis les bureaux de Smith Train Counsel. La première trésorière du fonds, qui le resta pendant dix ans, était la «grande dame» néo-conservatrice Midge Decter, épouse du néo-conservateur de la première heure Norman Podhoretz et belle-mère d’Elliott Abrams, condamné dans l’affaire Iran-Contra, puis réhabilité par le gouvernement Bush actuel pour occuper le poste de directeur chargé du Moyen-Orient au Conseil national de sécurité. Pendant qu'elle était trésorière du Fonds Northcote Parkinson, Midge Decter était également directrice exécutive du Commitee for a Free World, membre du Commitee on the Present Danger, administratrice de la Heritage Foundation et collaboratrice de la Hoover Institution. Eutre figure de proue des néo-conservateurs, Jeane Kirkpatrick fut un certain temps conseillère au Fonds.
L'argent pour lancer le Fonds Northcote Parkinson (NPF) fut fourni par la Bradley Foundation, une des principales sources de liquidités pour tout le mouvement néo-conservateur. A titre d'exemple, il a financé l'effort pour remettre à l'honneur la doctrine du juriste nazi Carl Schmitt dans les facultés de droit américaines. En fait, le NPF sert à alimenter toute une gamme d’opérations sales – dont celles contre LaRouche.
Hormis les largesses des Fondations Bradley, Olin et Ford, le fonds Northcote Parkinson a également bénéficié de donations annuelles provenant de ISI Entreprises, une société de consultants sise à Chevy Chase, dans le Maryland. Or les seuls propriétaires de ISI sont Michaël et Barbara Ledeen, et le seul autre directeur en est Stephen Bryen, ancien directeur de l’Institut juif pour les Affaires de sécurité nationale (JINSA), qui fut accusé vers la fin des années 70 d'être un espion israélien, ce qui ne l'a pas empêché de devenir l'adjoint de Richard Perle au Pentagone sous la présidence Reagan. Michael Ledeen, autre protagoniste important de l’affaire Iran-Contra, se vante de défendre le «fascisme universel».
Le NPF finance également différents efforts de déstabilisation à l'échelle internationale, presque toujours en coordination avec le International Rescue Committee (IRC) et la Freedom House -- deux projets lancés et dirigés pendant longtemps par Leo Cherne, un ancien membre de l’Internationale communiste des années 20 et 30 aux côtés de Angleton et de Jay Lovestone. John Train lui-même, tout comme le synarchiste Felix Rohatyn de la Banque Lazard, est membre de longue date du bureau consultatif de l'International Rescue Committee.
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L’écrivain russe Alexandre Soljenitsine est membre du jury du NPF qui choisit tous les ans le lauréat du Prix de courage civil, doté de 50 000 dollars. Le même fonds se dit l'initiateur de la fondation Bulgarie libre et démocratique, dirigée par Dimitri Panitza, lui aussi membre du jury.
Parmi d’autres directeurs et membres du jury du NPF, on trouve des représentants de l’establishment britannique impérial. Mentionnons John Chipman, directeur de l’Institut international des Études stratégiques de Londres, et Edward J. Streator, membre du Conseil du fonds et ancien diplomate à l’ambassade américaine à Londres. Ce dernier est aussi le président de la Nouvelle Initiative Atlantique (NIA), un projet hébergé à l'American Entreprise Institute qui coordonne des opérations transatlantiques ultra-conservatrices et jouit du soutien de Margaret Thatcher, Kissinger et Shultz, ainsi que de Midge Decter et Jeane Kirkpatrick.
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Par ailleurs, John Train est l’un des six directeurs du Paul Klebnikov Fund, créé après l’assassinat à Moscou, en juillet 2004, de son gendre Paul Klebnikov, rédacteur du magazine Forbes à Moscou. Au conseil d'administration du Fonds Paul Klebnikov, qui dit promouvoir des médias «indépendants» en Russie et dans l’ancienne Union soviétique, on trouve Boris Jordan, l'un des oligarques les plus enviés dans la Russie post-soviétique de Boris Eltsine. ********OP CUTA travers son Renaissance Capital Group, ce Russe d’origine américaine a racheté des millions de titres de sociétés russes privatisées, qui furent distribués à tous les citoyens russes, lui permettant d'acquérir certaines entreprises lucratives pour une fraction de leur valeur. Aujourd’hui, Jordan dirige le Sputnik Group de Moscou.
Selon certains initiés, Boris Jordan et le gendre de Train faisaient tous deux partie du cercle des «Russes blancs» exilés à New York, qui étaient des relations de longue date de la famille Train. Les «Russes blancs» de New York se sont également avérés utiles pour James Angleton, durant sa longue carrière de chef du contre-espionnage de la CIA.
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Outre ses activités dans l'ancien bloc soviétique au moment des salons anti-LaRouche, John Train était le bailleur de fonds de l'Afghan Relief Committee, un projet de l'IRC et autre ramification du vaste appareil de renseignement privatisé qui menait les guerres clandestines du temps de Reagan. Ce comité, sis dans le bureau de Smith Train à Manhattan, soutenait le grand seigneur de la drogue afghan, Gulbuddin Hekmatyar, qui allait devenir un allié des Talibans et reste encore aujourd'hui l’un des plus impitoyables barons de l’héroïne en Afghanistan.
Le «salon anti-LaRouche» revisité
Dans le cadre de l'enquête menée depuis vingt ans par l’EIR, il a été possible de reconstituer, à partir de récits de témoins oculaires et d'archives de tribunaux, une bonne partie de ce qui s'est dit aux trois réunions de Train consacrées au mouvement de Lyndon LaRouche. Selon une interview accordée par Midge Decter en 1986, ces trois réunions faisaient partie d’un programme plus vaste dirigé par Train durant des décennies. Etant donné les liens unissant John Train au paranoïaque Angleton, il n’est pas surprenant que presque toutes les cibles de ses salons aient été qualifiées d'«agents du KGB» ou encore de «subversifs d'origine communiste». Ce fut aussi le cas de LaRouche.
John Rees, qui participa aux trois réunions du salon anti-LaRouche, gravitait depuis longtemps dans l'orbite de l’appareil Angleton-Train. Dans une interview, il a décrit l'opération contre LaRouche comme étant la continuation d'un projet antérieur visant l'Institute for Policy Studies, un think-tank de gauche basé à Washington, qualifié d'«écran» soviétique. En effet, accessoirement, le salon de Train inspira un livre de S. Steven Powell paru en 1987, Covert Cadre (en français, Cadres clandestins : à l'intérieur de l'IPS), dont, selon son auteur, l'une des sources essentielles était John Train, et notamment l'un de ses documents non publiés sur l’IPS.
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John Rees incarnait aussi la zone grise entre opérations officielles illégales et activités du renseignement privé. Il dirigeait l’Institut Maldon qui, d'après le fisc américain (IRS) et des brochures de l’Institut lui-même, était financé par Richard Mellon Scaife et l'Anti-Defamation League du B’nai B’rith. De plus, Rees était, selon des documents juridiques, un informateur du FBI à Washington (n° WF-5728-S).
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Qui côtoyait-il dans le salon de Train ? Des journalistes de «l’establishment», comme Sol Sanders, correspondant du Business Week et co-fondateur, avec Midge Decter, du Committee for the Free World, le réalisateur de NBC-TV Pat Lynch, Ellen Hume du Wall Street Journal, Eugene Methvin, rédacteur du Reader’s Digest, et Peter Spiro du New Republic.
On pouvait également y croiser Chip Berlet, ancien rédacteur-en-chef du magazine High Times, qui s'en était déjà pris à LaRouche dans un article intitulé «Il veut vous priver de drogues !», Dennis King, plumitif du peu recommandable Roy M. Cohn, avocat de la pègre new-yorkaise et ancien conseiller du tristement célèbre sénateur Joe McCarthy, et Russell Bellant, rédacteur de Counterspy, publication anti-CIA se prétendant à gauche. Depuis un an, ces trois-là avaient fait équipe pour forcer le Département de la Justice à ouvrir une enquête au criminel sur LaRouche. Au salon de Train, selon les récits de plusieurs témoins, King aurait été chargé d’écrire un livre sur LaRouche, avec promesse de financement. En fin de compte, son travail fut effectivement publié, avec des remerciements à John Train et le financement de la League for Industrial Democracy et de la Fondation Smith Richardson.
Selon plusieurs participants aux réunions de Train, quelques «messieurs proches du gouvernement» étaient présents. L’un d’eux était Roy Godson, à l'époque consultant auprès du conseil présidentiel sur les renseignements extérieurs (PFIAB), du Conseil national de Sécurité et de l’Agence de l’Information du département d'Etat (US Information Agency). Godson se disait «expert» en «mesures actives des Soviétiques», et il tenta de manière répétée – de concert avec l'ancien officier de la CIA Donald Jamieson et Herbert Romerstein, de l'USIA – de faire passer l'Executive Intelligence Review pour un projet soviétique.
Mais la liste de ces « salonards » ne s'arrête pas là. On trouvait également Mira Lansky Boland et Leonard Sussman de l'ADL, ainsi que l'écrivain d'extrême-droite Rael Jean Isaacs et l'héritier de la famille Mellon, Richard Mellon Scaife, qui finance l'ultra-droite américaine. Les fondations relevant de Richard Mellon Scaife ont régulièrement financé les projets de Train, de même que la campagne vicieuse contre le président Bill Clinton qui allait mener à une procédure de destitution à la Chambre des Représentants. Hillary Clinton avait parfaitement raison d'évoquer une «vaste conspiration de la droite» contre son mari, et Mellon Scaife en était le principal bailleur de fonds.
******* OP CUT
Virginia Armat, fidèle éditrice de John Train et ancienne rédactrice du Reader's Digest, a préparé un organigramme présentant (sur ordre) l'organisation de LaRouche comme une opération soviétique, qui défend «la mise en place d'une dictature américaine, une purge des Juifs et de toutes les influences britanniques, ainsi que la militarisation de la société».
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Entre la date du premier salon et la fin des années 80, chacun des journalistes participants avait publié au moins une énorme calomnie contre LaRouche, dans un important média écrit ou parlé. Le Wall Street Journal a même ouvert ses colonnes à Dennis King, le plumitif de Roy Cohn, pour qu'il dévoile des fuites provenant de l'enquête au grand jury ouverte contre LaRouche et certains de ses collègues en 1984.
La ligne présentant LaRouche comme un agent soviétique revêtait à la fois une dimension idéologique et pratique. Au début de son mandat présidentiel, Ronald Reagan avait signé les Ordres exécutifs 12333 et 12334, qui revenaient à autoriser les agences de police et de renseignement à confier à des citoyens ou à des organisations privées le soin de mener des actions contre ceux qu'ils considéraient comme des «ennemis de l'Etat». En vertu de ces deux ordres, d'innombrables opérations sales furent menées, dont toute l'affaire Iran-Contra, qui faillit faire tomber le gouvernement Reagan, ainsi que l'opération visant LaRouche et son mouvement politique.
C'est ainsi que le 6 octobre 1986, alors qu'un bataillon de policiers, appuyés par des unités militaires équipées de véhicules blindés et d'un avion, entourait la ferme où vivaient Lyndon et Helga LaRouche, le plan d'assassinat ne fut déjoué que grâce au télégramme adressé en urgence par LaRouche au président Reagan. Au lieu d'éliminer physiquement le dirigeant de l'opposition, on opta donc pour des procès en justice montés de toute pièce.
Le président Reagan, qui avait collaboré avec LaRouche sur l'IDS et d'autres programmes relatifs à la sécurité nationale, n'était de toute évidence pas au courant de l'opération. Preuve de plus que ce projet avait été lancé et conduit à l'insu du gouvernement, et avec l'aide de certains éléments dans les agences fédérales qui voulaient bien collaborer avec Train, Angleton, Kissinger, Cherne, Lovestone, etc.
En 1999, un certain Ted Morgan publia une biographie de Jay Lovestone, l'agent du Komintern qui allait changer de bord pour rejoindre la CIA. Ce livre révèle qu'au cours des années 1980, Lovestone rejoignit Angleton et Kissinger dans leur conspiration personnelle contre LaRouche. Peu après la publication de cette biographie, Morgan avoua à un enquêteur que sa source n'était autre que John Train !
Ça ne sort pas de la famille
Subsidiairement, la campagne de calomnies du salon voulait que le «communiste» LaRouche ait fait de son organisation une secte, endoctrinant les nouvelles recrues grâce à des méthodes de manipulation psychologique soviétiques.
Pour répandre la fable de la «secte LaRouche», Train se tourna vers un autre composant de l'appareil de renseignements public/privé : l'American Family Foundation (AFF), qui s'appelle aujourd'hui l'International Cultic Studies Association (ICSA).
L'AFF est née à la fin des années 70 de la réorganisation d'un réseau financé par la CIA et le Pentagone, regroupant des psychiatres, sociologues et autres experts en profilage ayant tous travaillé dans des programmes de recherche secrets sur les manipulations mentales et la consommation de stupéfiants psychotropes. Lorsque William Colby était directeur de la CIA (1973-76), il procéda au nettoyage des opérations les plus criminelles, mettant un terme aux «programmes noirs» de contrôle psychique, comme MK-Ultra et Artichaut. En réalité, ces opérations furent transférées au secteur privé, sous la direction d'agences comme l'American Family Foundation et le Cult Awarness Network.
Le suicide collectif perpétré à Jonestown en 1978, où un millier de membres du Temple du Peuple du révérend Jimmy Jones se donnèrent la mort, braqua les projecteurs sur le danger des sectes. Bientôt, des vétérans de MK-Ultra, comme le Dr Louis Jolyon West et Margaret Singer, se feront passer pour des «experts» en sectes dangereuses, offrant leurs services de «déprogrammeurs».
L'AFF bénéficiera de subventions de tout un réseau de petites fondations exemptes d'impôts, proches de John Train. Les Fondations Achelis et Boldman (toutes deux de la famille Bodman), sont dirigées par John N. Irwin III et Walter J.P. Curley, ancien ambassadeur américain en France. Le premier est le fils de John Irwin II, un adjoint de Henry Kissinger au département d'Etat et parent du fondateur d'IBM, Thomas "Pop" Watson, l'architecte de la proposition élaborée pendant la présidence de Truman, visant à faire de la CIA une agence de renseignement privée, dirigée par Wall Street et des multinationales américaines.
Achelis et Bodman financent aussi le Northcote-Parkinson Fund de Train et le SPES Trust de Londres, qui finance à son tour la branche argentine de l'AFF, Servicio Para el Esclarecimiento en Sectas.
On retrouve Train, John Irwin II et Walter Curley également dans la French American Foundation, une organisation élitiste de diplomates et financiers français et américains qui permit à Train de maintenir sa «French connection» depuis l'époque de la Paris Review, l'organe du Congrès pour la Liberté de la Culture. Edward Hallam Tuck, un ancien administrateur du Northcote-Parkinson Fund, fut président de la French American Foundation de 1988 à 1995.
Quant au directeur du Northcote Parkinson Fund, Edward Streator, il siège au conseil de la Ditchley Foundation, aux côtés de la baronne Liz Symons, ancienne ministre des Investissements internationaux de Tony Blair, amie de Lynne Cheney et protagoniste des sales opérations contre LaRouche menées récemment par l'AFF.
La «mère» anglaise
Par-dessus tout, John Train fait partie d’une espèce singulière d’anglophiles fanatiques («American Tory»), pour qui l'attachement à l’oligarchie financière de Londres et aux institutions de renseignement et de police du Commonwealth britannique est primordial. Une source connaissant bien les opérations de Train le traitait d'«accessoire» de l'IISS de Londres. En outre, son empire financier personnel est plus basé en Grande-Bretagne et sur le continent européen qu’aux États-Unis.
********* OP CUT
En 1984, le Train Smith Counsel, société de Wall Street appartenant pour 75 % à John Train, subit une restructuration financière dans le cadre de laquelle l'English Association Trust (EAT) de Londres en acquit une part majoritaire de 50 %. Filiale du groupe English Association PLC, l'EAT est spécialisé dans l'acquisition (souvent hostile) d'entreprises américaines par des sociétés britanniques. A l'époque, l'English Association Group appartenait à 100 % à la banque d'Etat suédoise PK Banken.
Suite à la restructuration de Train Smith Counsel, Train lui-même devint membre du conseil d'administration de l’EAT, dont deux des directeurs britanniques rejoignirent le conseil de la société new-yorkaise : Richard Cox-Johnson and Roderick Macleod.
En 1993, Train Smith Counsel, rebaptisé Train Babcock Advisors, subira une nouvelle métamorphose : une part majoritaire sera achetée par une autre institution financière dans les hautes sphères de la City de Londres : le Concord International Investment Group, un joint-venture à 50/50 de Mohamed Saleh Younes et de la banque Baring Brothers. Au moment du rachat, Younes était le PDG de la filiale new-yorkaise de la banque et directeur de Baring Brothers and Co. de Londres. Celle-ci sera acquise par la suite par ING, un conglomérat bancaire et d'assurance néerlandais.
Égyptien d’origine, Mohamed Saleh Younes obtint sa maîtrise de management MBA à la Harvard Business School en 1963 et travailla pour de nombreuses banques en Europe avant d’être propulsé à la tête de Kidder Peabody International, une société affiliée à J.P. Morgan, et de devenir fondateur du groupe Concord en 1986 avec Baring. |
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rocket
Joined: 21 Oct 2006 Posts: 10
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Posted: Sat Oct 21, 2006 12:12 pm Post subject: |
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Mais je vois aucun prevention dans tes textes..
Par contre parler du contexte que les ordi sont des dangers la oui
Et la télé aussi..
Mais tu me parle de truc que je vois pas que je ne connais pas donc à quoi bon
Tu parle que d'un ordre mondial...
Mais le diable c'est pas juste un ordre mondial c'est tous...
Car tous se qui vient pas de dieu vient du diable donc réfléchie...
Et toi tu veux qu'on fasse la guerre avec des armes mais la vrai guerre est en esprit ..
Il faut faire connaitre a tous le monde que jesus à exister et qu'il va revenir bientôt..sauver les gens en leur parlant de dieu et non pas d'ordre mondial..tu ne fais que ramener la haine et la haine c la guerre...
amen la paix bye |
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vicflame Committed Poster
Joined: 30 Aug 2006 Posts: 4507 Location: Belgium
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Posted: Sat Oct 21, 2006 1:34 pm Post subject: réponse... |
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Rocket,
PAS DE PREVENTION, DANS MES TEXTES ???
Alors, c'est que tu dois être avegle !
Je vous mets en garde contre des implants sous-cutanés, neuraux, cérébraux de contrôle total, contre les technologies et mesures liberticides, et je vous le signale de façon PREVENTIVE, AFIN QUE VOUS PUISSIEZ REAGIR CONTRE !
Je vous parle du Nouvel ordre mondial (ce qui semble allègrement te passer au-dessus de la tête) qui prépare L'ESCLAVAGE DE L'HUMANITE ET QUI DETRUIT LA PLANETE PETIT A PETIT AFIN DE VOUS EN AVERTIR, DE FACON A CE QUE VOUS PUISSIEZ REAGIR ET QUE L'ON ARRETE LES EXACTIONS INFECTES DE CE RAMASSIS DE GRANDS CRIMINELS !!!
Si CELA, ce n'est pas de la prévention...
Mais de toute manière, rocket, tu préfères apparemment de complaire dans l'INACTION, ou GEMIR et TE PLAINDRE face à cette situation qui "doit" soi-disant se produire "parce que cela a été écrit"... C'est de la PARESSE mentale et physique, rien de plus !
Moi, ce que je vous dis, c'est que si on ne VEUT pas que le pire se produise, il va falloir une REACTION de CHACUN d'entre nous : informer les gens, distribuer des dépliants, organiser des conférences, écrire des lettres ou signer des pétitions que l'on enverra aux responsables, mettre sur pied des manifestations...
Mais EN EFFET, si tout cela ne fonctionne pas, IL FAUDRA ALLER PLUS LOIN. Je ne dis pas cela pour "amener la haine", comme tu le prétends, mais parce que nous n'aurons PAS D'AUTRE CHOIX si nous voulons éviter la dictature mondiale ainsi que la suppression de toutes les libertés et de la vie privée !
Si tu as choisi de FERMER LES YEUX FACE AUX DANGERS et que tu penses qu'il suffira de prier et de prêcher pour éviter cela, tu te mets le doigt dans l'oeil !
Beaucoup de gens ont fermé les yeux face aux dangers et ont beaucoup prié, MAIS SANS AGIR, pendant la seconde guerre mondiale... Jésus n'est pas revenu pour autant... Le résultat ? DES MILLIONS DE VICTIMES INNOCENTES, ET DES CAMPS D'EXTERMINATION ET DE LA MORT !
Rocket, si tu souhaites que l'on expérimente A NOUVEAU ce genre d'horreur abominable et que l'humanité connaisse une ère de renazification, continue sur ta voie et ne fais rien, surtout !
Je vous mets le nez devant ce qui est en train d'être accompli en coulisse, devant ce que le N.O.M. vous réserve, devant la suppression des libertés par des lois iniques et des technologies effroyables qui suppriment toute liberté et qui sont mises en place EN CE MOMENT. Je vous mets aussi FACE A VOS RESPONSABILITES. Vous êtes bien entendu libres de réagir ou de ne pas bouger.
MAIS VOUS NE POURREZ PAS DIRE QUE VOUS N'AVIEZ PAS ETE PREVENUS DES DANGERS ET DE LEURS CONSEQUENCES !
Vic. |
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marek Trustworthy Freedom Fighter
Joined: 28 Aug 2006 Posts: 82 Location: Brussels
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Posted: Sat Oct 21, 2006 3:22 pm Post subject: |
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Merci EIR de ton remarquable post.
Je rappelle que le présent topic est consacré à des textes de fond, et que les débats peuvent être vidés sur le topic 'discussion libre'.Je souhaiterais que le ton soit neutre ici, même si des atrocités sont exposées.Une pointe d'humour ne dérange pas.De manière générale il faut apporter quelque chose.
En ce qui concerne Larouche, il faut bien avouer qu'il a été victime d'une erreur judiciaire 'volontaire' pour le discréditer en l'empêcher de gêner en l'empêchant de se présenter à l'élection présidentielle. Ce déni de justice à l'instigation des 'familles du Nord Est' des USA l'a conduit tout droit en prison pour une faute qui avait été commise par ceux qui l' accusaient. C'est un exemple parmi d'autres que nous ne vivons réellement pas en démocratie, ni aux USA, ni en Europe.
Marek |
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rocket
Joined: 21 Oct 2006 Posts: 10
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Posted: Sat Oct 21, 2006 4:18 pm Post subject: |
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Je compatis, fait pas attention c'est ma façon d'avoir un avis personell bon courage au moin c'est vrai toi tu preveint et c'est une bonne cause j'admire ton travail..je voulais juste poser mon avis j'espere ne pas trop brusquer.. |
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vicflame Committed Poster
Joined: 30 Aug 2006 Posts: 4507 Location: Belgium
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Posted: Sat Oct 21, 2006 6:18 pm Post subject: rocket... |
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Cher rocket,
Pas de problème. C'est OK, l'incident est clos. Si tu as des infos à poster (articles, dossiers), n'hésite surtout pas.
Amicalement, Vic. |
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marek Trustworthy Freedom Fighter
Joined: 28 Aug 2006 Posts: 82 Location: Brussels
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Posted: Sat Oct 21, 2006 8:33 pm Post subject: |
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VICTOR HALBERSTADT – STEERING COMMITTEE BILDERBERG
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US CODE COPYRIGHT ART 7 SS 107
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Professor of Economics, Leiden University
Member: International Advisors Group, Goldman Sachs & Co
Membre du bureau de surveillance de: KPN; TPG; Daimler Chrysler
Président du conseil International de DaimlerChrysler
Antérieurement
Secrétaire general honoraire des meetings Bilderberg ;de 1995 à 2003
Membre du comité d’investissement, ABP Pension Fund; 1972 - 2004
Membre de la Couronne du Social and Economic Council, The Netherlands
Président, International Institute of Public Finance 1980 - 2000
Informateur de la Reine 1987-90 [ en cas de crise politique, pour dénouer la crise]
Membre du Conseil du gouvernement en matière de défense 1981
Autres affiliations
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Présent à Bilderberg 2006 June 8th-11th
Présent à Bilderberg 2005 May 5th-8th
Participant, World Economic Forum 2004
Présent à Bilderberg 2004 June 3rd-6th
Présent à Bilderberg 2003 May 15th-18th
Présent à Bilderberg 2002 May 30th - June 2nd
Présent à Bilderberg 2001 May 24th-27th
Présent à Bilderberg 2000 June 1st-4th
Présent à Bilderberg 1999 June 3rd-6th
Présent à Bilderberg 1998 May 14th-17th
Présent à Bilderberg 1997 June 12th-15th
Présent à Bilderberg 1996 May 30th - June 1st
Présent à Bilderberg 1995 June 8th - 11th
Retrieved from "http://www.global-elite.org/index.php/Victor_Halberstadt"
[ Elitewiki oublie son activité de membre consultatif pour conseiller l’ancien directeur general Michael Moore de l’ OMC, son activité au titre de conseiller consultatif de Goldman Sachs Group et chez Fuji Bank et ses discours auprès du World Economic Forum en 2000 et 2003]
Halberstadt partage la plupart des vues économiques du Bilderberg dans la libéralisation que nous subissons tous. Ainsi en matière de poste, l’ Europe connaît une phase de libéralisation dont le professeur de l’ université de Leyden est partisan.
Marek va pratiquer sa méthode favorite pour pénétrer le personnage ; c’est à dire commencer à décrire la façon dont il pense et laisser par petites touches la vérité remplir en creux la physionomie ainsi dépeinte. Il en sortira un portrait plus ou moins juste selon les renseignements dont marek aura été pourvu par ses recherches ou celles qui viendront en appui à ce travail.
La Stratégie pour atteindre les buts de Lisbonne
( meeting annuel du Forum Economique Mondial de 2003)
[je vous laisse le plaisir de retrouver le détail de ce discours]
« Le BUT DE L UNION EUROPEENE est de devenir l’économie la plus compétitive du monde en 2010,ce qui est un but ambitieux.[ peuples d’ Europe , n’allez pas imaginer que l’Europe ait un autre but, il ne s’agit que d’économie et de libéralisme] Cela va t’il réussir? Plusieurs participants de cette session ont indiqué que l’ Europe souffrait de peur de changement comme étant le principal obstacle pour augmenter la compétitivité [ il faut être bien gras et nanti pour ne pas avoir peur, car le filet social devient un filet américain avec ce genre d’idée, c’est à dire l’égal d’un saut sans parachute ] et donc augmenter la croissance, l’efficacité et l’innovation.[ ce sont des présupposés qui justifient à postériori l’idée que ce changement est nécessaire. De nouveau dans ce genre d’idée, on ne part pas de la réalité pour l’adapter à ce qui existe, on décrit ce qui gêne et on veut le faire sauter pour que le ruisseau libéral coule du sommet à la mer, au lieu de prévoir des contournements qui permettent aux peuples de s’adapter à ce qui pourrait- pure supposition- s’avérer être une amélioration. Nous avons affaire à des dynamiteurs économiques qui, avec l’aide de leurs gouvernements veulent imposer à leurs peuples captifs- oui, à l’instar des populations communistes d’antan, nous peuples européens ,sommes captifs de cette pensée vicieuse et ringarde-, ce genre de raisonnement FINANCIER QUI NOUS REND INDEFINIMENT ESCLAVES DE NOS MAITRES DU NORD EST DES USA.]
+++A SUIVRE++++ |
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marek Trustworthy Freedom Fighter
Joined: 28 Aug 2006 Posts: 82 Location: Brussels
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Posted: Sun Oct 22, 2006 3:48 pm Post subject: |
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Alors que le Forum a été mis ‘down’ temporairement à la suite de la collaboration de Tony Gosling avec des journalistes anglais qui démontrent que Blair a menti (encore une fois) aux membres du parlement anglais qui lui demandaient s’il avait jamais participé à une réunion du Bilderberg,(voir son article sur le forum en anglais), nous poursuivons notre article..
VICTOR HALBERSTADT – STEERING COMMITTEE BILDERBERG
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US CODE COPYRIGHT ART 7 SS 107
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A cette époque, Victor Halberstadt, décrivait l’Union Européenne comme un chantier en signalant qu’il restait un travail considérable afin de remplir les objectifs de Lisbonne. Lors de même colloque, Francis Mer, Ministre de l’économie française qui peignait une image flatteuse de l’ Europe en signalant qu’un immense progrès avait été réalisé en Europe..
A ce même colloque, Peter Sutherland ( Bilderberg) devait , en tant que président de Goldman Sachs international et président de BP donner raison à Victor Halberstadt sur le point que le processus de Lisbonne n’était pas arrivé à son terme. Sutherland observait que l’ Europe devait faire des choix difficiles: "Le Business regarde vers l’intégration économique en tant que précurseur de l’intégration politique.[ Remarquez que Sutherland appuie le fait que c’est l ‘ économie qui crée le fait politique.]Nous n’avons pas un simple marché en finance, transport ou services postaux.A la fois le processus de Barcelone et de Lisbonne ont été décevants sur chaque plan." Il appelait alors pour un leadership plus fort et une politique publique visionnaire. Les sociétés européenes en ont assez d’un environnement complexe , des marchés de travail inflexibles, manque de résolution et de décisions , votent avec leurs pieds et s’en vont vers des cieux plus cléments. » [ encore une fois, ( nous sommes en 2003) si les sociétés multinationales s’en vont vers des ‘ cieux plus cléments’, le phénomène touche également les USA où les dérégulations ont cours depuis longtemps, et le vote avec les pieds est surtout un vote du portefeuille prémédité par ces transnationales, car les salaires US ou Européens ne peuvent être alignés avec ceux des Chinois. Evidemment, les propositions Bolkenstein ( bilderberg) apparaîtront au grand jour en 2005 mais étaient à l’étude dès 2004, pour faire naître ‘ce grand marché’ où les salaires seraient abordables pour ces messieurs, créateurs de l’ Europe politique qui devait suivre…et dans leur idée politique veut dire jouer au gardien des règles économiques]
Marek Tysis
+++ A SUIVRE +++ |
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Vitchilo
Joined: 30 Aug 2006 Posts: 33
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Posted: Mon Oct 23, 2006 6:00 am Post subject: |
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Est-ce que t'aurais de l'information sur Bernanke et ses liens avec Bilderberg, mais surtout, pourquoi il est là?
Je regardais les ``élections`` pour le candidat du parti Libéral du canada, les 3 candidats ont été à Bilderberg! Stephane Dion,Michael Ignatieff et le frère de Bob Rae est le bras droit de Desmarais...
Merci, quand on sait ça, on voit bien que même si Harper perd le pouvoir lors des prochaines élections, un autre gars de Bilderberg va prendre sa place...
La démocratie... une belle illusion.
Aussi, je voudrais te demander si tu partages l'opinion de cet article sur la séparation du Québec... Article
Parce qu'on s'enligne pour se séparer d'ici l'automne 2007. |
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marek Trustworthy Freedom Fighter
Joined: 28 Aug 2006 Posts: 82 Location: Brussels
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Posted: Mon Oct 23, 2006 9:34 pm Post subject: |
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Vetchilo,
Bien entendu, le projet d'intégration americano canadien mexico a l'air de considérer que le Quebec fait 'bande à part'.En ce qui concerne Bernanke, je termine d'abord mon topic pour m'intéresser à ce nouveau gourou...
Marek |
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Vitchilo
Joined: 30 Aug 2006 Posts: 33
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Posted: Mon Oct 23, 2006 9:42 pm Post subject: |
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Je viens de voir que Barack Obama aimerait bien se lancer pour la course à la présidence 2008... Il est un ancien agent du MI6, a des liens forts avec le Mossad et Bilderberg...
Democrates: Hilary Clinton et Barack Obama... Les 2 du même clan...
Républicains: Ça je sais pas encore qui sera les candidats... t'as des idées? |
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vicflame Committed Poster
Joined: 30 Aug 2006 Posts: 4507 Location: Belgium
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Posted: Tue Oct 24, 2006 5:08 pm Post subject: NOUVEL ORDRE MONDIAL : LES ARMES "NON LETHALES" !! |
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!!! NOUVEL ORDRE MONDIAL : LES ARMES "NON LETHALES", A ENERGIE DIRIGEE, ELECTROMAGNETIQUES ET A ONDES PULSEES, ET LE CONTROLE MENTAL !!!
Chers amis,
Voici la suite de l'article "Planet Earth as a weapon and target".
CETTE PARTIE EST SPECIALEMENT IMPORTANTE ! Car nous allons étudier les armes dites "exotiques" QUE LE NOUVEL ORDRE MONDIAL POSSEDE !!!
On nous y parle des ARMES "NON LETHALES", ELECTROMAGNETIQUES ET A ONDES PULSEES, ET DE LEURS EFFETS DEVASTATEURS ET MORTELS SUR LA SANTE !!! ON NOUS Y PARLE EGALEMENT DE LA REALITE DU CONTROLE MENTAL ET COMPORTEMENTAL !!!
Cet article vous permet donc d'effectuer le lien entre ce topic-ci et le topic concernant les puces implantables, la RFID, le contrôle des populations et le contrôle mental !!!
Je vous laisse découvrir la tradution exclusive en français que j'ai effectuée pour vous, ci-dessous...
Bonne lecture, ET BONNE INSURRECTION, SURTOUT !!! Vic.
Source : http://www.mindfully.org/Reform/2006/Earth-Weapon-Moret24feb06.htm
LA PLANETE TERRE EN TANT QUE CIBLE ET EN TANT QU'ARME - PARTIE 10
LA SECTE JAPONAISE AUM SHINRIKYO ET LES RECHERCHES SUR LES ARMES ELECTROMAGNETIQUES
Le 23 avril 1993, Aum Shinrikyo, la secte bouddhiste japonaise de la « Vérité Suprême », acheta un ranch d’ovins de 500.000 acres en Australie occidentale, près de Banjawarn. Ils vendirent le ranch et quittèrent soudainement l'Australie en octobre 1994. Les indications étaient qu'ils avaient fait des recherches pour trouver de l’uranium, avaient utilisé des produits chimiques et un laboratoire dans un but inconnu, et après qu'ils aient quitté l’Australie, des traces de gaz Sarin furent trouvées sur les moutons et la laine (d’après « Global Proliferation of Weapons of Mass Destruction: A Case Study on the Aum Shinrikyo » - « Prolifération mondiale des armes de destruction massive : Une étude sur le cas de la secte Aum Shinrikyo », sous-comité permanent des enquêtes des affaires du Sénat au gouvernement, rapport du personnel du 31 octobre 1995). Des membres tardifs de cette secte furent impliqués dans l'attaque au gaz Sarin du métro de Tokyo en 1995. Le chef fut arrêté et condamné à Tokyo tandis que j'étais au Japon durant l'été 2003. J'ai rencontré des journalistes japonais qui avaient suivi l'histoire et qui connaissaient personnellement des membres de la secte, dont de nombreuses personnes étaient des scientifiques.
Un membre du projet Manhattan, le Dr. Fred Wood, et Alden Bryant, le Secrétaire-Trésorier du New Energy Movement (mouvement de l'énergie nouvelle) m'ont averti par rapport au grand danger que la technologie des armes exotiques russes représente et ont dit que cette technologie avait été louée par l'Aum de Russie. Aum recruta des disciples au Japon, en Russie, en Australie, au Sri Lanka, aux Etats-Unis, et visita la Yougoslavie. Des liens (de la secte Aum) aux Yakuza (Mafia japonaise) à travers le trafic de drogue étaient allégués dans les médias japonais.
Une enquête du Congrès sur Aum Shinrikyo en 1995 a signalé que leur intérêt dans les armes de destruction massive était lié à des événements du genre Armaggedon qu'ils projetaient de mettre en scène contre les intérêts du Nouvel Ordre Mondial :
« Elle [la secte Aum] prétend que les Juifs projettent des massacres semblables dans d'autres parties du monde afin de mener à bien un sinistre complot en vue de réduire la population mondiale de trois milliards de personnes d’ici l'an 2.000. La secte Aum a également lié les Juifs à ses autres ennemis à l’intérieur de la société japonaise – « l’aristocratie noire » des « internationalistes » japonais comprenant un certain nombre d’anciens et de récents politiciens et hommes d'Etat japonais. »
La secte prétendait avoir 65.000 membres, dont environ la moitié en Russie. Le gouvernement japonais a estimé leurs capitaux à $1 milliards. De nombreux disciples de la secte Aum possédaient une grande connaissance dans les domaines de la science et de la technologie et étaient diplômés des meilleures universités du Japon. La secte avait dépensé plus de $400 millions en matériel informatique, acheté presque intégralement à une compagnie de Taiwan. Leur secte acquit des armes conventionnelles mais était davantage intéressée par les armes de destruction massive et voyait apparemment la Russie comme source d’armes plus exotiques et bien plus mortelles.
Lorsque la douma russe a mené une enquête sur la secte, le parlementaire russe Vitaly Savitsky, Président du Comité des affaires religieuses de la douma dit à ses camarades parlementaires que « son comité suspectait sérieusement qu'Aum Shinrikyo avait été aidée lors de sa pénétration en Russie par les services d'intelligence russes. »
De février à avril 1995, Aum envoya une bande de six membres au musée Tesla à Belgrade, ancienne Yougoslavie, afin de faire une révision de la thèse originale de Tesla et d'autres papiers de recherches concernant « les systèmes d'arme de Tesla » qui se concentrent sur l'amplification des ondes.
Nikola Tesla était un scientifique qui effectua des expériences dans les domaines des perturbations atmosphériques, de l'électromagnétisme, de la dynamique des fluides et de la géodynamique au début des années 1900, et qui découvrit le courant alternatif. Bien que Marconi ait gagné le prix Nobel pour inventer la radio, Tesla gagna plus tard un procès, clamant qu'il avait été l'inventeur légitime. Lorsqu’il mourut aux USA en 1943, tous ses papiers furent saisis par le gouvernement des USA et furent classifiés.
Les membres d'Aum ont étudié la recherche sur l'enroulement Tesla, utilisé pour le courant alternatif, ainsi que d'autres inventions et expériences. Ses premières expériences (à Tesla) avec des fréquences résonnantes étaient des expériences qui permettaient de créer des tremblements de terre. On prétend qu’il a dit qu’avec sa technologie, il pourrait « fendre le monde » en deux. Tesla avait développé un « pistolet à rayon » dans les années 30 qui était en fait un accélérateur de faisceau de particules. On a rapporté que ce pistolet était capable d’abattre un avion à 200 miles de distance, et il (Tesla) prétendait avoir inventé le bouclier Tesla que rien ne pouvait pénétrer.
En avril 1993, la secte Aum dit aux Australiens que la propriété en Australie devait être utilisée afin de « mener des expériences au profit de l'humanité ». Le 28 mai, juste 35 jours après l'achat (de la propriété), un météore étrange ressemblant à une boule de feu, une explosion, et un tremblement de terre de magnitude 4 furent signalés dans le secteur. En septembre 1993, une compagnie de front pour Aum fut employée afin d’importer en Australie de l’équipement électrique comprenant des transformateurs, des convertisseurs statiques, des générateurs, du câblage coaxial, des batteries, des appareils de mesure et des outils, et du matériel de protection.
Plus tard, un géologue a appelé Harry Mason visita le secteur et fit une recherche dans cette région semi-désertique afin de trouver des cratères de météore. Il a découvrit sur base d’interviews avec les résidents que :
« … les gens avaient entendu la boule de feu avant de l’avoir vue ; c'était une grande boule de feu sphérique rouge-orange avec une très petite queue conique bleuâtre; la vitesse était celle d’un Boeing 747 ; la boule de feu volait apparemment de façon parallèle à la courbure de la terre en une « trajectoire courbée » à basse altitude (environ 2000 mètres) sur une distance d’au moins 250 kilomètres ; la boule de feu se courba vers le bas en direction du sol et disparut derrière des arbres ou de basses collines ; puis une énorme explosion aveuglante d’énergie de couleur bleue-blanche illumina la nuit comme s’il faisait jour. Les observateurs pouvaient voir à plus de 100 kilomètres dans chaque direction au niveau du sol ; une fusée de couleur rouge fut alors tirée verticalement vers le ciel et une énorme onde sismique frappa les observateurs ; une explosion très bruyante s’ensuivit, et qui fut entendue dans un couloir de 250 kilomètres sur 150 kilomètres ; des dégâts mineurs de tremblement de terre furent rapportés jusque 150 kilomètres au sud-est. »
(Harry Mason, « Bright Skies Part I », magazine Nexus, mars-avril 1997).
Il y avait beaucoup d'irrégularités qui indiquaient que ce phénomène était très différent de tout ce qui était connu auparavant. Depuis l'événement de cette boule de feu en 1993, des milliers d’apparitions et d'émissions semblables d’énergie lumineuse se sont produits en Australie. Le Dr. Bertell rapporte que les trajectoires de la boule de feu passent près de quatre complexes militaires : Showa et Mizuho au Japon, et à Molodezhnaya et Novolazarevskaya en Russie. On suspecte également la péninsule du Kamtchatka, en Sibérie, d'être l’une parmi une série émetteurs d’armes électromagnétiques de l’ex-Union Soviétique autour du monde.
UNE GUERRE ÉLECTROMAGNÉTIQUE NON DÉCLARÉE
Le travail de conception commença sur les missiles anti-balistiques (ABM) en 1946, à l'université du Michigan, pour l'interception des missiles à longue portée. L'Union Soviétique commença également le développement de la défense par missiles anti-balistiques après la deuxième guerre mondiale, surtout de la recherche théorique, entre 1948 et 1951. A partir de 1967, l'URSS commença à travailler sur des projets de systèmes de détection précoce, de défense de l’espace, ainsi que sur un système pour le contrôle de l'espace extra-atmosphérique. Ceux-ci devinrent les composants principaux de la défense spatiale et par missiles anti-balistiques de l'Union Soviétique.
Amélioré à partir du radar au-dessus de l’horizon, le radar transhorizon Soviétique « Iron Yard » Duga-2 fut conçu en 1970 pour détecter les missiles ennemis dans un délai de deux ou trois minutes, et fut testé avec succès chez Novaya Zemlya. Chez Nikolaev, le radar construit comprenait 26 énormes émetteurs (chacun avait la taille d'un bâtiment de deux étages).
« L'antenne de transmission avait 210 mètres de large et 85 mètres de haut. L'antenne de réception avait 300 mètres de large et 135 mètres de haut. Le champ des antennes abritait 330 émetteurs d'environ 15 mètres chacun. Ces radars ont sûrement dû détecter de façon fiable les lancements de groupe de masse de missiles balistiques intercontinentaux depuis le territoire des USA. »
Le 4 juillet 1976, le 200e anniversaire des Etats-Unis, la première infrastructure de ce type a débuté des opérations à Kiev et a toujours été sur les ondes depuis. Les puissantes transmissions électromagnétiques étaient un signal transmis à des fréquences allant de 3.26 à 17.54 mégahertz, et étaient modulées par impulsions à un taux de plusieurs fois par seconde. L'émetteur de 2 MégaWatts a au début interféré avec les communications, et les opérateurs de radio-amateur l'ont perçu partout dans le monde, mais des corrections furent effectuées de sorte qu'il passe les fréquences vitales pour les avions et les vols transocéaniens alors qu'il se déplaçait à travers son spectre de fonctionnement.
Deux infrastructures similaires de plus furent construites plus tard près de Tchernigov et Komsomolsk-Na-Amur. Les équipements à Kiev et à Komsomolsk-Na-Amur fournissent la couverture du territoire des Etats-Unis. Une plus petite infrastructure de puissance moindre chez Nikolaeyev près d'Odessa fournit la couverture du territoire de la Chine.
Le 18 juillet 1977, le gouvernement des USA débuta un partenariat secret avec les Soviétiques et le nom de code secret qui lui fut donné aux USA était Project Woodpecker (Projet Pivert). Les USA envoyèrent une équipe de scientifiques en Russie avec un aimant de 40 tonnes et autre matériel et équipement scientifique pour des recherches et développements ultérieurs.
Le centre de recherches principal pour ce projet a été le laboratoire nationale Lawrence Livermore. Un financement secret dirigé par la CIA et la NSA (agence de la sécurité nationale) fournit un appui ainsi que la collaboration par le ministère de la défense et la NASA depuis le début du projet. En janvier 1995, la publication de la récompense du laboratoire de Livermore State a annoncé qu'une équipe de 21 membres du Project Woodpecker avait reçu le Médaillon du Sceau de la Communauté de l'Intelligence en 1994 pour « son travail sur un projet classifié afin d’améliorer les techniques de rassemblement de l’information. »
Le directeur adjoint de la CIA et le directeur de la NSA présenta la récompense au quartier général de la CIA à Langley, en Virginie. La récompense couronna le succès de l'équipe :
« … sur une série de problèmes techniques d'une énorme complexité, ayant pour résultat une capacité opérationnelle extrêmement puissante qui peut être utilisée pour recueillir de l'information à partir de sources uniques non exploitables par tout autre moyen. »
La publication du laboratoire déclara qu’en 1985, l'équipe de ce projet avait commencé un travail sur des études de faisabilité. Le produit final fut livré au commanditaire (sponsor) du projet en 1992, juste au moment où la guerre froide se terminait.
Le 22 juin 1995, le Dr. Armen Victorian reçut une réponse du bureau d'Oakland du ministère de l’énergie (DOE) par rapport à son lancer appel pour demande liée à la liberté de l’information (FOIA) sur le Project Woodpecker :
Dans sa décision du 5 mai 1995, Oakland déclara qu'une recherche avait été conduite pour des documents sensibles à la demande de Victorian, mais qu'aucun registre n'avait été trouvé en tant que résultat de la recherche. Oakland déclara spécifiquement que l'information concernant le Project Woodpecker avait été détruite.
En 1952, une réunion secrète se tint au Nouveau-Mexique entre des scientifiques russes et américains au laboratoire de Sandia, qui fait partie du programme sur les armes nucléaires. Un échange d'information sur les risques biologiques des micro-onde et des fréquences électromagnétiques, et les niveaux de sécurité, ne fut pas une réussite complète. Les Russes reconnurent publiquement les risques, mais les Américains ne les prirent pas au sérieux. Peu de temps après cela, les Russes initièrent un programme de 30 ans, bombardant l'ambassade des USA à Moscou avec des micro-ondes, provoquant les décès de trois ambassadeurs des USA ainsi que des maladies auprès des employés. Le « Moscow Signal » (« signal de Moscou ») découvert par la CIA en 1962, était utilisé par les Russes sur les employés d'ambassade des USA afin d’examiner les effets de résonance électromagnétique (REM) de bas niveau.
En avril 1976, le secrétaire d'état Henry Kissinger envoya le télégramme suivant à l'ambassade des USA à Moscou, qui a résumait les conclusions de l'étude du signal de Moscou :
« Objet : Dangers des rayonnements, des ondes UHF (ondees à fréquence ultra haute) et des ondes électromagnétiques »
« Ayant commencé en 1960, l'Union Soviétique a dirigé des faisceaux de rayonnement à haute fréquence sur l'ambassade des USA à Moscou qui étaient calculés non pas afin de prendre des renseignements, mais afin de provoquer des effets physiologiques sur le personnel. Les effets que les Soviétiques comptaient provoquer auprès du personnel (au moins dès 1960) incluaient :
(A) Des malaises
(B) De l’irritabilité
(C) Une fatigue extrême.
A ce moment, les Soviétiques croyaient que les effets induits étaient provisoires. Plus tard, on a pu vérifier que les effets n’étaient pas temporaires. Définitivement liés à un tel rayonnement et aux ondes électromagnétiques UHF/VHF, on trouve :
(A) Des cataractes
(B) Des changements sanguins qui induisent des crises cardiaques
(C) Des tumeurs malignes
(D) Des problèmes circulatoires, et
(E) Une détérioration permanente du système nerveux.
Dans la plupart des cas, les répercussions ne deviennent pas évidentes avant un long moment après l’exposition – une décennie ou plus. »
(Macintosh de William, Project Pandora, http://www.geocities.com/adrian9999999999/pandora.htm).
Les Soviétiques furent apparemment les premiers à employer l'électropollution ou énergie dirigée avec des intentions malveillantes. A partir de 1955, la marine des USA menait des expériences d'EMR (résonance électromagnétique) avec les UHF (fréquences ultra-hautes) dans le but de viser des individus, des foules, ou des armées. Les effets (de ces armes) pouvaient être augmentés ou diminués, et aujourd'hui elles s'appellent les « Non Lethal Weapons » (armes non mortelles ou NLW).
En 2004, « un contrat militaire pour une étude sur la douleur provoquée par des projectiles à énergie pulsée (PEP), contrat fortement rédigé par la marine des USA pour le développement des armes non létales avec l'université de Floride, révèle des détails intéressants concernant les armes à énergie dirigée fonctionnant par micro-ondes pulsées.
« … des décennies de recherche et l'investissement d’incalculables millions de roubles dans le domaine de la psycho-correction ont produit la capacité de modifier le comportement sur des sujets disposés ou non, ajoutent les experts. Les experts russes, y compris George Kotov, un ancien général du KGB, rapportent également une liste de logiciels et de matériel liés à leur programme de psycho-correction, liste qui pouvait être obtenue pour la modique somme de $80.000. Dans la mesure où il est devenu possible de sonder et de corriger les contenus psychiques des êtres humains, en dépit de leur volonté et de leur conscience, par des moyens instrumentaux ; les résultats ayant été obtenus peuvent sortir de la commande et être utilisés dans des buts inhumains afin de manipuler la psyché. »
(Barbara Opall, Defence News, du 11 au 17 janvier 1993). |
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