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BILDERBERG 2007
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marektysis
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Joined: 01 Nov 2006
Posts: 1581
Location: Brussels

PostPosted: Sun Oct 14, 2007 5:14 pm    Post subject: Reply with quote

Cher Tous,
C'est avec consternation que je vois la liste elitewiki traiter comme liste de participants à Bilderberg 2007, la liste erronée émise par le journaliste contractuel de l' American Free Press. Je vous conjure de considérer cette liste comme fausse et ne considérer que la liste de Maximus publiée normalement en tête de topic .Il est inimaginable que les londoniens d' Elite Wiki aient pu tomber dans ce panneau, sauf infos erronées ou mauvaise lecture.Pour ma part, je suis la liste Maximus qui émane de Maya Banck, secrétaire du groupe de Bilderberg et qui a été émise APRES LA REUNION.

Marek
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pop-corn



Joined: 26 Sep 2007
Posts: 192

PostPosted: Sun Oct 14, 2007 8:11 pm    Post subject: Reply with quote

je ne sait pas si je suis sur le bon topic pour poster ça

_____________

je ne retire rien du document mais une bonne partie merite d'y porter son attention , pour ce qui est de l'occulte , il ne doit pas en soustraire la partie qui nous interesse justement


Ce document contient, entre autres, une confidence d’A. Greenspan,
qui a quitté la direction de la Banque centrale américaine après avoir placé toutes les dynamites nécessaires pour réduire, financièrement, les Etats-Unis en charpille.
mais surtout une conférence de presse, Sergei Glaziev « Nous n’allons pas réaliser un Nouvel Ordre Mondial sans le payer de sang, de paroles et d’argent ».
Arthur Schlesinger, Jr. Dans la revue du CFR Foreign Affairs de juillet/août 1995.

L’élite du KGB donne des clés importantes pour anticiper l’avenir « Depuis les jours de Spartacus, Wieskhopf, Karl Marx, Trotsky, Rosa Luxemberg, et Emma Goldman, cette conspiration mondiale n’a cessé de croître. Cette
conspiration a joué un rôle reconnaissable défini dans la tragédie de la révolution française.
Elle a été le moteur de chacun des mouvements subversifs du XIX
e siècle. Et maintenant, pour finir, cette bande de personnalités extraordinaires des enfers, des grandes villes de l'Europe et de l'Amérique, a saisi le peuple russe par les cheveux pour devenir les maîtres incontestés de cet énorme empire ».
Winston Churchill, déclaration à la presse de Londres, en 1922.

Lors d'une conférence de presse tenue le 5 février 2004 à Moscou, l’économiste russe Sergei Glaziev, membre de la Douma (parlement) et président de l’Institut National pour le Développement, déclarait que
la Russie devrait prendre l'initiative de créer un nouveau système monétaire pour remplacer le système dollar défaillant de l'après-1971. Ses remarques étaient une réponse à la question de savoir
comment la politique étrangère russe pourrait avoir davantage d'influence.

A cette époque, Glaziev expliquait que « dans la politique mondiale actuelle, la première priorité qui donnerait à la Russie un rôle dominant est la création d'une nouvelle architecture du système financier mondial. Sous la pression de l'émission excessive de dollars au cours des trente dernières années, le système financier mondial s'effondre.

Il est très proche d'un crash ».

Sergei Glaziev avançait encore que, pour diverses raisons, la Chine ne prendrait pas l'initiative de créer un tel système. Mais « la Russie peut et devrait le faire ». Enfin, il avouait avoir discuté de ce sujet avec Romano Prodi, le dirigeant de l'Union européenne, et que les Européens soutiendraient cette création tandis que les Chinois comme les Indiens la
veulent.

Conclusion : la refonte du système monétaire international, précédée d’une débâcle des bourses mondiales, ne doit intervenir qu’à la condition
EXPRESSE que la Russie soit « globalement » prête à assumer le rôle d’acteur majeur du scénario peaufiné par les hauts initiés : une nouvelle guerre mondiale où la Russie, catalyseur de l’union des pays islamiques, envahira l’Europe de l’Ouest en pleine débâcle économique et surtout au moment où le krach alimentaire aura produit ses effets pervers…

A la suite de la crise du « subprime » aux Etats-Unis et du chamboulement survenu sur le marché du « carry trade », que LIESI avait anticipés depuis fort longtemps et tout dernièrement dans son numéro 138, deux
semaines avant que l’orage n’éclate, Serguei Glaziev revient sur la scène et donne d’autres « clés » importantes afin d’appréhender la suite des
événements…

En effet, le 23 août 2007 à Moscou, lors d’une nouvelle conférence de presse, Sergei Glaziev adressait un « message » aux dirigeants industriels de Russie afin qu’ils se préparent au séisme monétaire qui commence à secouer la planète.

Pour commencer, S. Glaziev a exposé les dimensions réelles de la crise financière en cours. Avant tout, il a identifié les principaux symptômes de « la phase d’autodestruction des bulles financières du dollar et du
yen », puis il a évoqué la dévastation des institutions financières internationales par leur implication dans le système du yen carry trade. « La situation sur les marchés financiers équivaut à une crise économique permanente, donc personne ne devrait être surpris par la dévaluation actuelle du dollar ou l’absence de croissance industrielle au Japon ».

Non seulement, l’économiste russe rejoint l’analyse exposée par LIESI dans le précédent numéro, mais il donne des chiffres que seuls les initiés connaissent. Et, en cela, le « message » est limpide…

« En 1971, le système de la Réserve Fédérale aux Etats-Unis et la Banque du Japon, ont pompé leur monnaie dans l’économie mondiale [...] La Banque nationale du Japon a imprimé autant d’argent que le
Japon et ses voisins pouvaient en absorber ».
Depuis cette époque, a-t-il dit, « la Réserve Fédérale américaine a émis 2 milliards de dollars par jour, pour atteindre en août 2007 dix fois
cette somme somme. [...] Mais toutes les pyramides financières ont une fin, tôt ou tard ».


Puis S. Glaziev a lancé un avertissement destiné aux « gestionnaires » de la Russie : les officiels financiers russes sont insuffisamment préparés à la crise qui arrive. Même dans le court terme, la Russie a perdu 30 milliards de dollars à cause de la dépréciation de la monnaie américaine pendant que 45 % des 120 milliards de dollars du Fonds de Stabilisation russe
sont exposés à des pertes encore plus importantes.

Pour le court terme, Glaziev a appel appelé à accroître les réserves d’or de la Banque centrale russe et à libeller les exportations de pétrole
russe en rouble. Il a ajouté que le rouble « pouvait être transformé en monnaie de réserve pour les pays de la CEI, d’Europe et la Chine »…

Le message de S. Glaziev est limpide pour les hommes d’affaires russes. Le compte à rebours est déjà commencé…
Dans une telle perspective la désignation surprise par Moscou de « son candidat » à la tête du FMI devient très logique... Ajoutons aux informations déjà livrées par LIESI le commentaire du ministère des Finances russe publié le 22 août : « Nous estimons que M. Tosovsky serait la bonne personne au bon endroit au bon moment ».

Cet homme, qui dirige depuis sept ans l’Institut de stabilité financière auprès de la Banque des règlements internationaux, à Bâle [Suisse], devient ainsi le second candidat déclaré.

Quelques jours après la déclaration de Sergei Glaziev, le député-gouverneur Gennady Melikyan est monté au créneau et a commenté la dernière statistique du Département des relations extérieures et publiques de la Banque centrale de Russie : le volume des réserves de change de la Fédération de Russie s'élevait à 413,8
milliards de dollars US au 24 août 2007, contre 414,7 milliards au 17 août 2007. Selon G. Melikyan, les autorités russes sont confrontées à d’importantes fuites de capitaux, conséquence de la faiblesse de l’économie américaine et des problèmes immobiliers des Etats- Unis.

A titre d’exemple, il a relevé que des fonds spéculatifs internationaux avaient dégagé des liquidités afin de les rapatrier outre-Atlantique… à Wall Street. De fait, le rouble se trouve en difficulté et la Banque
centrale russe doit vendre BEAUCOUP de dollars US pour racheter du rouble…

Les Russes sont d’excellents joueurs d’échecs et LIESI n’est pas dupe de la « manœuvre »… Les membres du « bloc de commandement russe » sont parfaitement avertis du plan dévoilé à Lénine sur l’île de Capri par
Gorki et Cie, des « initiés » de haute volée qui pactisaient couramment avec les forces occultes. Voilà pourquoi Lénine affirmera, lors d’un discours prononcéà Bakou, en 1919 : « "Dans un premier temps, nous
détruirons les empires des pays capitalistes. (Cela fut réalisé à la suite des deux Guerres mondiales, n.d.l.r.)
Dans un second temps, nous occuperons ces empires. (Pour réaliser ce second point il importait que la France abandonnât ses colonies à Staline ! n.d.l.r.)

Dans un troisième temps, nous créerons une crise économique sans précédent.
Dans un quatrième temps, nous créerons une crise sociale telle que l'Europe tombera comme un fruit mûr ».
Bien évidemment, Lénine était incapable d’inventer un tel plan sur une durée aussi longue.
Ce plan lui avait donc été « soufflé » par ses « maîtres ».???? Que dire
aujourd’hui ? Nul besoin d’être fin analyste pour découvrir la logique froide avec laquelle le troisième point est en cours de réalisation… « une crise économmique sans précédent »… Toute personne qui réfléchit et analyse le comportement des marionnettes de Washington et de Moscou perçoit avec une certaine frayeur qu’une force toute puissante imprime sa
décision souveraine aux familles oligarchiques de l’Ouest, lesquelles, pour les moins initiées d’entre elles, tentent de se dépêtrer dans cette crise des
« subprimes »…
Ce n’est pas en effet Moscou qui a dynamité le système capitaliste mais les acteurs des familles oligarchiques de l’Ouest ! Il existe des complicités flagrantes entre les « ennemis » déclarés et nous ne sommes d’ailleurs pas les seuls à percevoir ce jeu infernal où les peuples sont les
victimes d’hier et de demain. En 1976, par exemple, Larry P. McDonald, membre du Congrès américain, avait découvert, en partie seulement, le jeu sournois opéré entre les familles est/ouest. Il avait alors
prononcé ces mots incroyablement justes : « La conduite des Rockefeller et de leurs alliés doit aboutir à la création d’un gouvernement mondial combinant le super-capitalisme et le communisme sous le même
toit, tous deux sous leur contrôle... Suis-je en train de
parler de conspiration ? Oui, je suis convaincu de l’existence d’un tel complot international ; les vieilles générations l’ont planifié, incroyablement mauvaises dans leur intention ». Résultat : il sera
éliminé, étant l’un des passagers du fameux vol 747 coréen abattu par les Soviétiques… A son arrivée, il devait prononcer un important discours prouvant ses allégations.

En cette fin d’été, notre équipe rédactionnelle affirme que l’élite du KGB (devenu FSB) sait que le vent tourne en sa faveur… La Russie devient puissante et de l’Occident approche de la « grande crise » !

On voit bien que tout ce manège financier estival est virtuel et qu’il suffit, comme en 1929, que quelqu’un ordonne le dégonflement immédiat des « bulles » pour imposer la quatrième partie du plan dévoilé par Lénine
à Bakou. Et ce quelqu’un n’est autre que ce que LIESI a choisi d’appeler : le « Comité X », le grand-père de l’une de nos sources ayant été en contact avec l’un des douze ». Comme il nous l’a laissé entendre avant que nous prenions nos distances, ce pouvoir dépasse les intérêts partisans des familles oligarchiques : il s’agit d’un Pouvoir occulte.

Ce n’est pas tout. En 1952, Felix Frankfurter, membre de la Cour Suprême des Etats-Unis confiait : « Les vraies règles à Washington sont le respect de la Puissance Invisible, et ses manœuvres dans les coulisses ». Quelques années auparavant, le 26 juillet 1936, dépité, Joseph Kennedy, père de JFK, confiait au new York Times : « Cinquante hommes dirigent
l'Amérique, encore ce chiffre est-il un maximum ».

De sombres perspectives pour
l’Angleterre

LIESI a dit que l’Angleterre connaîtrait bien des désagréments dans les temps futurs. Menaces de terrorisme, destruction des récoltes de blé, inondations majeures, déclenchement de fièvre aphteuse, etc.,
nous en sommes au « hors d’œuvre » ! De notre point de vue, nous considérons que le scandale BAE Systems a été dévoilé par le Kremlin1. Nous n’avons pas le droit d’être plus prolixes… En outre, LIESI pense
que cette opération de déstabilisation entre la City, Wall Street et les dignitaires d’Arabie saoudite, engagée par Moscou, rentre précisément dans ce cycle de grandes perturbations internationales et économiques.

Déclin de l’Occident et arrogance de Moscou

Cet été, une grande étape a été franchie. Qui, par exemple, il y a quelques mois, imaginait la Russie opposer son propre candidat à celui du bloc de l’Ouest pour la direction du FMI ? Pourtant, fin 2006, LIESI
publiait un ouvrage intitulé « 2007 – Fin du monde unipolaire des Etats-Unis ». Que voyons-nous s’esquisser progressivement ?

Fin août, LIESI prenait connaissance des graves difficultés de la société pieuvre américaine de capital risque, CARLYLE GROUP. Il faut relever que cette multinationale de la finance internationale, dont les familles BUSH et BEN LADEN figuraient parmi les actionnaires en septembre 2001, avait spéculé à la baisse les titres des compagnies aériennes sur Wall
Street quinze jours AVANT l’accident du « 11 septembre », empochant des sommes astronomiques du fait de l’effondrement de ces
titres. Le 28 août, nos relations
américaines nous adressaient ce message : « Le Carlyle Group s’est engagé à accorder un prêt pouvant atteindre 100 millions de dollars à sa société de gestion Carlyle Capital Corporation, cotée depuis début juillet
sur Euronext Amsterdam, qui en a déjà utilisé 10 millions. Ce prêt devrait lui permettre, a indiqué son président, CEO et CFO John Stomber, de couvrir ses appels de marge.
Bien que près de 95 % de ses actifs sous-jacents soient des titres adossés à des hypothèques notés AAA et donc garantis par le gouvernement américain, la juste valeur de ces actifs a décliné en raison de la diminution actuelle de la demande pour cette catégorie de titres sur le marché,
a-t-il indiqué ».

1 Il ne faut pas négliger aussi le fait que le Kremlin dispose d’éléments stratégiques concernant les événements du 11 septembre 2001. Ce sont les Russes qui, par exemple, laissèrent filer des photos satellites établissant la preuve physique qu’aucun avion n’avait percuté le Pentagone : le « trou » béant qui y figure ne pouvait en aucun cas
correspondre à l’intrusion d’un avion de ligne.

Depuis le premier numéro de LIESI, fin 2001, immédiatement après que l’attentat organisé par la « machinerie d’Etat US » fut exécuté, conformément à ce que certains hauts initiés nous avaient d’ailleurs
confié, LIESI AFFIRMAIT que la Russie allait remonter la pente ! Nous le disions dans un désert d’indifférence,mais c’est une habitude. Comme l’annonce que nous faisions en mai 2003, « prophétisant » une canicule
« anormale ». Comme encore les trois avertissements que nous donnions à propos de la disparition politique d’Ariel Sharon au cours de l’année qui l’a précédée. A ce propos, le numéro 116 donnait des explications
précises quant aux commanditaires. Aujourd’hui, non seulement la Russie se dresse face à l’Occident mais, chose incroyable, le 25 août, le directeur
exécutif du Fonds monétaire international pour la Russie, Alexei Mojine, a mis en doute les compétences de l'ancien ministre français « DSK »
dans un entretien au quotidien Financial Times. « Il n'y a rien dans le CV de M. Strauss-Kahn qui montre clairement qu'il a les qualités techniques pour accomplir le travail », a lancé M. Mojine. Alexeï Koudrine, le
ministre russe des Finances, affirmera pour sa part d’un ton acerbe : « Le système de sélection est injuste envers les autres grands pays du monde, y compris des membres du G8. Le choix devrait être fait de façon
professionnelle ».

LIESI ne peut s’empêcher de relever et de faire remarquer que le russe a choisi LE journal de la City pour ridiculiser le socialiste français !
Et le 28 août, de sa propre initiative, le Financial Times est revenu à la charge dans un éditorial au ton sévère. « Le Fonds a besoin d'une personne intellectuellement crédible à sa tête.
Mais personne ne peut soutenir que M. Strauss-Kahn est le candidat le plus qualifié dans le monde de par son expérience, son intelligence ou sa formation », pouvait-on lire dans le quotidien. Et d'enfoncer le clou : « Il est le mauvais candidat, choisi de la mauvaise façon »…

Puisque les Russes font valoir que DSK n’est que le laquais des puissances d’argent de Wall Street, on ne peut s’empêcher d’évoquer le Parti Socialiste et le travail de sape réalisé par le mondialiste chevronné
qu’est M. Rocard. On ne peut pas mieux travailler que lui à la désintégration du PS. Tout cela est bien logique puisque M. Rocard est un trotskiste convaincu… Or, LIESI n’a t-il pas affirmé que les futurs maîtres de l’Elysée seront les trotskistes ?

Les amis de Poutine savent ce qu’il convient de faire…

Le milliardaire Abramovich a acheté un petit gisement d'or dans la région russe de Chukotka. John Mann, un porte-parole moscovite de l’une des sociétés d’investissement d’Abramovich a confié que son groupe
avait également acquis une autre société minière aurifère dans le cadre d’un projet d’investissement très important… En fait, après la dissolution programmée de l’URSS, les leaders russes et chefs de mafia ont
massivement investi dans le domaine aurifère…
Bien évidemment, il ne s’agit que de prête-noms !
Derrière, le véritable gestionnaire n’est autre que le puissant KGB, devenu FSB, perestroïka obligeant ! Ces individus sont les marionnettes de familles puissantes dirigeant la Russie au sein du « bloc de
commandement russe ». Ce sont elles qui gèrent indirectement le trésor du KGB…

Les Chinois se délestent ENFIN du dollar US !

Avant de boucler ce numéro, nous recevons cette information exceptionnelle, confirmant notre analyse et le ton de la ligne éditoriale. Les autorités chinoises ont suivi le « signal » donné par la Russie et
viennent de procéder à des liquidations importantes de dollars US… Selon plusieurs sources américaines – dont un contact attaché à la Reserve
Federal de New York – la Chine va rendre le dollar US de plus en plus vulnérable. La Chine a vendu 48 milliards de dollars sur le marché des changes au cours de cet été. Même si les dignitaires de Pékin ne lisent
pas LIESI, ils savent ce qu’il convient de faire puisqu’ils ont converti leurs dollars US en or sonnant et trébuchant !

Hans Redeker, responsable du secteur devises chez BNP Paribas, a qualifié cette information de « réelle surprise » et que cela témoignait d’une « véritable inquiétude de la part des banquiers centraux ». Selon
lui, les banques centrales qui fuient le dollar US sans provoquer de panique ont fait le choix de ne pas convertir la monnaie américaine en une autre devise.
Pourquoi ? Parce que nous asssistons à un KRACH MONETAIRE et, comme LIESI l’a toujours affirmé, l’OR seul va devenir la monnaie de référence. Pour la plupart, les banques centrales étrangères achètent des
lingots sur le marché de la Comex, à Londres…

Le dollar US s’effondre et le krach viendra d’Asie…
Le graphique ci-dessous le confirme en traduisant l’effondrement du dollar US contre le yen. En 1971, il fallait 350 yens pour 1 dollar US et aujourd’hui… 115 ! Demain, nous passerons très probablement en
dessous de 100 et puis cela craquera et les banques occidentales seront fermées.

Avec un tel système monétaire, l’élite des Etats-Unis s’est comportée en « despote » sur le monde qu’elle a pillé et réduit à l’indigence pour certaines populations.
Voilà qui explique les liens intimes entre les capitalistes et les communistes déclarés. Voilà encore pourquoi les « néo-con » sont… d’anciens trotskystes !

Dans les mois à venir, l’Empire états-unien va s’effondrer, laissant place à un autre paradigme : celui de la guerre et du chaos universel. Que les gens soient d’accord ou pas avec LIESI ne changera strictement
rien à la réalité de demain, car nous savons de quoi nous parlons. Néanmoins, nous sommes optimistes pour la suite. C’est là une autre histoire sur laquelle on reviendra en temps et en heure.

« Dans le siècle à venir, les nations comme nous les connaissons seront désuètes : tous les Etats reconnaîtront une seule autorité globale. La
souveraineté nationale n’était pas une si grande idée après tout ».

Strobe Talbot, secrétaire d’Etat adjoint du président Clinton,
Times du 20 juillet 1992.

Fin août, LIESI a été surpris de la publication d’un article du Figaro reprenant l’avertissement que Benn Steil avait donné dans son article « The End of National Currency », paru dans l’organe de propagande du CFR
(la société secrète mondialiste la plus influente aux Etats-Unis) en mai dernier : le Foreign Affairs.
Rappelons qu’il y a quelques années, c’est par l’intermédiaire du Foreign Affairs que le CFR avait préparé la médiatisation du « choc des civilisations » de S. Huntington en vue du paradigme post-2001. Ici, avec
Benn Steil, c’est encore la même stratégie, mais du point de vue monétaire.

Revenons donc à l’article du Figaro, signé G. Vuillemey.

Le Figaro n’est certainement pas un journal destiné à l’élite mondialiste. Il s’agit plutôt d’un moulin à propagande utilisé pour fabriquer les « psychologies de masse » ! Et voici les éléments les plus intéressants…

« Les banques centrales européenne et américaine viennent d'injecter des centaines de milliards d'euros dans les circuits bancaires afin d'éviter que
des banques soient en situation de cessation de paiement. Ne sommes-nous pas en train de contempler les dégâts d'une nouvelle “ défaillance des marchés financiers ”, lesquels, poussés par l'appât du
gain, accordent des prêts fort hasardeux à des taux très élevés ?
Nous sommes donc en présence d'un système où les banques commerciales cherchent à se faire rémunérer l'argent de leurs déposants en le prêtant, le risque étant pour une large part supporté par les épargnants.

Cette déresponsabilisation est accrue par le rôle de prêteur en dernier ressort conféré aux banques centrales, lesquelles préservent les banques commerciales et les fonds d'investissement de la faillite, en créant de la
monnaie en période de crise.
De cela, il résulte une hausse générale des prix - l'inflation - qui se fait au
détriment du pouvoir d'achat des citoyens, mais qui profite aux bénéficiaires du crédit, à savoir essentiellement l'Etat et les hautes sphères de la finance.

L'existence même de la banque centrale est donc une incitation forte pour les institutions financières à prendre d'autant plus de risques qu'elles ont l'assurance de ne pas avoir à assumer les conséquences de ces risques.

Est Est-ce à dire qu'il faudrait supprimer les banques centrales et, de facto, abolir le monopole public d'émission de la monnaie ?
Une telle idée n'est pas aussi iconoclaste qu'elle peut le paraître au premier abord.
Ce débat est d'une actualité brûlante en ces périodes de crises financières globales répétées, comme le souligne Benn Steil dans son article « The
End of National Currency », paru dans Foreign Affairs en mai dernier.

En quoi de telles monnaies auraient-elles pu nous permettre d'éviter la crise financière que nous traversons actuellement ?
Des banques qui émettraient leur propre monnaie auraient un intérêt
évident à veiller à la solvabilité de leurs prêts.
Une banque qui accumulerait des créances douteuses - ce qui est le cas de nombreuses banques actuelles qui sont fortement exposées au cours du subprime
- seraient immédiatement sanctionnées par leurs clients qui feraient le choix d'autres banques et d'autres monnaies.
Le libre choix est un puissant système de régulation des marchés financiers.

Par la détention d'un monopole sur l'émission de monnaie, les banques centrales imposent à tout citoyen d'un territoire donné l'usage d'une monnaie déterminée, détruisant ainsi tout lien de confiance entre offreur et demandeur de monnaie. Aucune régulation efficiente ne saurait être basée sur d'aussi fragiles principes.
Ainsi, puisqu'il semble que le monopole public d'émission de la
monnaie soit à l'origine de la crise que nous connaissons aujourd'hui, la question de son abolition mérite d'être posée ».

Cela se passe de tout commentaire… Notre rédaction réalise simplement que ses réflexions, affichées depuis quelques mois, confirment leur pertinence.
Encore une fois : convertissez vos avoirs en métal précieux et pas
en produits de « bulles » qui implosent actuellement…
Ce conseil, nous le donnons depuis 2001, lorsque l’once d’or se traitait à 300 dollars et que nous sommes à 695 dollars. Soyez vigilant cet automne…

Cela fait bien longtemps que tout est en préparation.
Dans le numéro d’avril l974 du Foreign Affairs, Richard Gardner écrivait : « Le Nouvel Ordre Mondial devra être construit depuis le bas plutôt que du sommet vers le bas... mais en fin de course, érodée pièce par pièce, la
souveraineté nationale nous reviendra bien plus facilement que ne le permettrait un assaut frontal »…
Préparant un recueil de citations d’hommes politiques, économistes, etc., prouvant qu’il y a bien un « petit complot », LIESI a trouvé cet extrait significatif du magazine Harpers, de juillet l958 : « Les personnes qui agissent sur tous ces groupes, dont le CFR, ont un objectif commun : ils veulent provoquer la reddition de la souveraineté et de l'indépendance nationale américaine.
Ils veulent en finir avec les frontières nationales, officiellement, pour augmenter des affaires et pour assurer la paix du monde. Obtenir ce qu'ils
cherchent à conquérir mènerait inévitablement à la dictature et à la perte de la liberté du peuple.
Le CFR a été fondé dans “le but de favoriser le désarmement et
la submersion de la souveraineté américaine et de l'indépendance nationale au profit d’un tout puissant gouvernement mondial” ».

Derrière le culte de Lady Diana…
les règlements de compte des « marchands d’armes »

Tandis que le prix des denrées alimentaires explose et que les vacanciers, de retour au travail, découvrent avec stupeur que les prix de certains biens de consommation vont grimper de 8 à 40 %, les médias
reviennent sur le mystère entourant la mort tragique de
Lady Diana, survenue dans la nuit du 30 au 31 août
1997, à Paris. Dix ans après, c’est toujours la version
officielle, concoctée par les services d’Etat, qui est
resservie à satiété. Pourtant, le fait que le seul témoin
pouvant faire la lumière sur cette affaire, le garde du
corps Trevor Rees-Jones, reste muet assurant être
devenu amnésique, tend à prouver que les autorités
françaises ont été contraintes au silence. Bien
évidemment, il y a eu des « compensations ».

Après avoir beaucoup lu sur le sujet, LIESI dégage des
éléments intéressants de la longue enquête menée par
l’écrivain et réalisateur, Francis Gillery. Selon lui, il ne
s’agit pas d’un accident mais d’un crime. En outre, le
personnage visé était le marchand d’armes Dodi Al-
Fayed et non la princesse de Galles. La focalisation sur
le personnage public de Lady Diana a écarté toute
réflexion sur les Al-Fayed. En ce sens, Mohammed Al-
Fayed, le père du défunt, a sans doute raison
d’évoquer un « complot », même s’il préfère ne pas
entrer dans les détails, laissant néanmoins entendre
qu’il en avait été averti à l’avance.

Francis Gillery est convaincu que le jour du drame,
Dodi Al-Fayed ne se promenait pas dans Paris, mais
était en route pour un rendez-vous précis afin d’y
conclure un contrat. Il relève encore un détail très
intéressant : le photographe James Andanson était
présent avec sa Fiat Uno au tunnel de l’Alma. Ce qu’il a
vu a été pour lui un choc et il s’est confié à l’écrivain
Frédéric Dard. Andanson a été retrouvé mort dans des
circonstances abracadabrantesques et Frédric Dard est
aussi décédé depuis… Des pressions terribles ont
ensuite été faites sur la veuve et la fille de F. Dard qui
ont été présentes à un repas en présence des deux
défunts. On leur a suggéré qu’elles avaient très
probablement mal compris le sujet de la conversation…
Et que dire de la fable selon laquelle le conducteur
Henri Paul était ivre. Francis Gillery a la preuve que
l’analyse sanguine a montré que « son sang était
saturé de monoxyde de carbone. Dans ce cas, ce ne
pouvait pas être son sang que l’on a expertisé car avec
un tel taux de monoxyde de carbone, il n’aurait même
pas pu tenir debout et encore moins se hisser au volant
d’une voiture ».

Finalement, seul Mohammed Al-Fayed pouvait contrer
cette forfaiture mais il a choisi de ne pas le faire. Cela
montre que le commerce des armes suppose la plus
grande discrétion. F. Gillery a alors cherché à contacter
Ashraf Marwan, l’autre grand négociant d’armes
égyptien qui « détenait toutes les clefs de l’affaire ».
mais ce dernier est « tombé » de son balcon le 27 juin
dernier…

Israël/S Syrie yrie : le torchon brûle

En écho à ce que nous écrivions dans le précédent
numéro, l'Agence de presse syrienne officielle Sana a
annoncé le 6 septembre que des avions israéliens
avaient bombardé des cibles non identifiées en Syrie.
Ces derniers ont alors essuyé des tirs de la DCA
syrienne et furent contraints de se débarrasser des
réservoirs de kérosène pour alléger leur charge et
augmenter leur vitesse.

L’armée israélienne n’a pas fait de commentaire tandis
que le porte-parole de l'armée syrienne mettait en
garde « le gouvernement israélien ennemi contre cette
aggression flagrante et se réservait le droit de réagir de
manière appropriée ». Pour les analystes, le démenti
des autorités israéliennes illustre l’échec de la mission
confiée aux chasseurs israéliens qui avait pour but de
localiser et de tester les armes, équipements et
systèmes radar nouvellement installés par l’armée
syrienne. Finalement, cet événement ne peut que
conforter les autorités syriennes dans la qualité de leurs
capacités militaires… Washington a refusé de
commenter ces informations.


Lettre d’Informations Economiques Stratégiques
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marektysis
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PostPosted: Mon Oct 15, 2007 8:11 pm    Post subject: Reply with quote

Très Cher popcorn,
Je te remercie de ton très long post.Il est un fait certain, malgré les injections massives de monnaie pour empêcher un credit crunch ( et j'y reviendrai) que la crise du subprime n'est pas terminée.Ce que l'on voit en coulisse a de quoi faire hérisser les cheveux.J'ai discuté récemment avec un banquier qui m'a fait part de la chance de sa banque de ne pas avoir été en possession de mauvais papier au mauvais moment.Ce même banquier un peu facétieux m'a dit que les injections de flux monétaires allaient aider la bulle immobilière à redémarrer en Europe d'ici l'année prochaine.Au fou !
Il est clair que le us dollar vit ses derniers moments sous cette forme ( en attendant l' Améro) et qu'il est normal que les Russes cherchent à valoriser leur monnaie . L'histoire du FMI a vu DSK le shabbataiste de service et Bilderberg devant l' éternel se mettre au service du capitalisme Us.Donc les russes ont été recalés devant l'exercice.
Je vais lire ton post à mon aise mais sache aque les propos de Winston Churchill ne l'ont pas empêché d'adresser des lettres admiratives à Benito Mussolini, lettres qu'il cherchera (pour les détruire) après la conclusion dus second conflit mondial. Ses propos antisémites ne l'ont pas empêché d'être débiteurs envers les banques juives.Donc cet individu hypocondriaque n'est certainement pas le bon personnage à citer dans ces pages ici. Pour les parties + intéressantes je reviendrais sur ton post.
Pour en terminer avec WC, sache que ce triste individu à aider à sceller la domination US sur l' Europe, entre autres crimes.Et ce n'est pas l' Angleterre qui a voulu des ghettos Juifs du continent.

Marek
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marektysis
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PostPosted: Mon Oct 15, 2007 8:13 pm    Post subject: Reply with quote

BILDERBERG 2007 Michel Barnier -

Ministre de l' agriculture en 2007,
Ancienne occupations: ministre des Affaires Etrangères en 2005,
Ancien membre du Conseil Européen en tant que membre du comité des ministres en 2005,

Trustee, 'Friends of Europe 2005' ( voir le topic 'Bonjour à tous' pour plus d'infos sur cette bande de conspirateurs)

Cofondateur et membre du comité du Club "Dialogue et Initiative"
Anciennes occupations :
Commissaire à la Politique Régionale de la Commission Européenne 1999 - 2004
Président de la Fondation pour l'action culturelle internationale en montagne -
FACIM (non ce n'est pas une blague)

Présent à Bilderberg 2006 June 8th-11th
Présent à Bilderberg 2007

Dialogue & Initiative
Commission exécutive :Jacques Barrot, Jean-Pierre Raffarin, Michel Barnier ;Dominique Perben

Michel BARNIER est né le 9 janvier 1951 à La
Tronche (Isère).

En 1972 il est diplômé de l'Ecole Supérieure de
Commerce de Paris.

De 1973 à 1999 il est conseiller général de la
Savoie et devient Président du conseil général
de la Savoie de 1982 à 1999. En 1978 il est élu
député (R.P.R.) de la Savoie, 2e circonscription
(Albertville) et de 1997 à 1999 il est élu
sénateur de la Savoie.
Dans le même temps, il exerce différentes
fonctions politiques. De 1978 à 1987 il est
coprésident du Comité d'organisation des XVIe
Jeux olympiques d'Albertville et de la Savoie.
De 1997 à 1999 il préside l'Association
française du Conseil des communes et régions
d'Europe. Depuis 2003, il est Président du Conseil du développement durable de l'UMP et Président fondateur du Club "Nouvelle
République". Il cofonde le club Dialogue et
Initiative en 1998 et est membre actif du bureau
de ce dernier.
Michel BARNIER a aussi occupé de nombreuses
fonctions ministérielles au cours de sa
carrière. De 1973 à 1978, il est membre du
cabinet des ministres de l'environnement, de la
jeunesse et des sports, du commerce et de
l'artisanat. En 1993, il est nommé ministre de
l'environnement.
Michel BARNIER s'est engagé très tôt en faveur
de la construction européenne. En 1995, il est
nommé ministre délégué aux affaires européennes,
et à ce titre, il sera le chef de la délégation
française pour la négociation du Traité
d'Amsterdam.
Nommé commissaire européen le 16 septembre 1999,
Michel BARNIER a la responsabilité d'animer la
politique régionale et de cohésion et est
chargé, par ailleurs, de la réforme des
institutions.
[Notez bien 'politique régionale et de cohésion, l'Europe aspirant comme les juristes nazis et autrichiens à la dévolution des pouvoirs nationaux vers l'instance dite ' supérieure' (théorie de Kelsen).
Lors du Conseil européen de Laeken, en décembre
2001[ ou conseil du rapt des Libertés populaires], Michel BARNIER a été désigné, avec son collègue António Vitorino, pour représenter la
Commission au sein du Praesidium [ de l' URSS ?]de la
Convention sur l'avenir de l'Union présidée par
Valéry Giscard d'Estaing.^le Bilderberg, trilatérale etc..] C'est dans ce cadre
que Michel BARNIER a participé à l'élaboration
du projet [ antidémocrate] d'une Constitution pour l'Union
européenne.
Michel BARNIER devient ministre des affaires
étrangères en mars 2004.
Il est aussi l'auteur de : "Vive la politique
"(1985), "Chacun pour tous : le défi
écologique" (1990), "Vers une mer inconnue"
(1994), et " Notre contrat pour l'alternance " [heureusement que ce contrat n'est pas un contrat de mariage....]en 2001.

Je ne pouvais pas mieux décrire la carrière de Mr Barnier qu'en recopiant une des pages du site 'initiatives et dialogue'.

Nous constatons que Barnier a été invité à Bilderberg à deux titres :

Le premier est en tant que représentant de l' UMP, du courant majoritaire, parlant et entendant pour Mr Sarkozy que l'élite entendait mettre en place et secondement pour ses avis fort précieux en matière d'environnement.En effet les derniers meetings Bilderberg ont préparé ( par délégation s'entend)l'opinion publique au choc pétrolier et au remplacement de cette énergie fossile par du nucléaire ( présence de Lauvergeon en 2006). L'écologie est ce qui va permettre de faire passer la pilule, et le réchauffement climatique passe par toutes les sauces au sein d'organisme censés ne s'occuper que de néo libéralisme.Le prix Nobel de Al Gore est un exemple de cette infâmie.

Marek
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marektysis
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PostPosted: Tue Oct 16, 2007 7:43 pm    Post subject: Reply with quote

BILDERBERG 2007
MICHAEL BARONE
Présent à Bilderberg 2007

Michael Barone est né en 1944 à Highland Park, Michigan et est un analyste américain et un commentateur. Il est principalement connu pour être le principal auteur de l’ Almanach de la Politique Américaine,un travaildne reference concernant les gouverneurs US et les politicians fédéraux, et publié tous les deux ans par le ‘National Journal’. L’ Almanach contient de la documentation sur l’ histoire, la démographie ( un dada de Barone), et la culture politique ( la culture politique est à la culture ce que la musique militaire est à la musique de chaque état et du district congessionnel. Mr. Barone est un commentateur régulier de la television sur les elections US et les tendances politiques ( ah oui, tiens on désignera bientôt les candidats officiels des partis et mr Jordan Vernon était présent à Bilderberg aussi…peut être une coincidence ?)


Mr. Barone travaille pour le U.S. News & World Report et contribue à la chaîne Fox News Channel. Les vues de Barone sur le plan politique sont plutôt conservatrices.Il a affirmé ne pas être croyant malgré qu’il ait des sympathies envers les croyants socialement conservateurs ( c’est politiquement correct envers les sympathisants de Bush et de Cheney).

Un des thèmes communs de Barone concerne l’immigrationé peut être parce qu’il est descendant d’immigrés italiens , il adopte des vues optimistes sur l’immigration contemporaine des mexicains .Selon lui, cela a des parallèles ( sauf que l’ Italie ne s’est pas diverse aux USA comme le Mexique est en train de le faire…) avec l’immigration italienne et que les immigrants courants et futurs du Mexique peuvent devenir américanisés, juste comme les italiens l’ont été.( peut être que les américains pourront être hispanisés ?)
Il est auteur de plusieurs livres :
« Notre pays : la formation de l’ Amérique de Roosevelt à reagan(Free Press,
1990)
“Les nouveaux américains : ‘Comment le melting pot peut fonctionner à nouveau (Regnery Pub., 2001)
« Amérique dure, douce Amérique :La bataille pour le future de la Nation (Crown Forum, 2004)
« Notre première révolution:Le remarquable soulèvement anglais qui inspira les pères fondateurs (Crown Publishers, 2007), une histoire de la révolution glorieuse de 1688 et comment elle mena à la Révolution Américaine.( Ah Vic, il a existé une époque où les Révolutions étaient bien vues !)


Michael Barone est sorti de Cranbrook Schools en 1962. Il reçu une note B.A. de
Harvard University en 1966[ Ah la Ivy League !] et une notation J.D. de l’ école de droit de Yale en 1969..Malgré que son point de vue politique est au centre droit il se présenta pour le poste de maire démocrate dans les années 1960.

Nous pouvons considerer que Barone a fait partie du panel qui a traîté du thème ‘immigration et terrorisme’,’ 'qui sera le prochain président 'et quelle devra être sa politique’ ou /et d’un troisième topic concernant Israel ( encore et toujours).

A demain
Marek

+++ ASUIVRE+++
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pop-corn



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PostPosted: Wed Oct 17, 2007 12:54 pm    Post subject: Reply with quote

je vois qu'il y a un topic sur les tratègie de bilderberg , d'ou je déplace mon post, désolé Very Happy
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Maximus
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PostPosted: Fri Oct 19, 2007 3:39 am    Post subject: Reply with quote

http://www.worstlobby.eu/2007/vote/info/1/worstlobby_fr
Vicomte Étienne Davignon
Distingué pour ses fonctions de conseiller sur les questions de développement de l’Afrique auprès du Commissaire au Développement de l’UE Louis Michel, alors qu’il siège au conseil de surveillance de Suez – une multinationale qui cherche à développer ses activités commerciales dans les domaines de l’eau et de l’énergie en Afrique.

Ce printemps, la Commission Européenne a publié pour la première fois une liste avec les noms et les mandats des conseillers spéciaux auprès des Commissaires de l’UE, 55 au total. La liste révélait que le vice-président et actionnaire de Suez Étienne Davignon conseillait le Commissaire au développement Michel sur « sa politique pour l’Afrique et notamment sur le rôle du secteur privé dans le développement économique de l’Afrique sub-saharienne ». M. Davignon et le Commissaire Michel prétendent tous deux qu’il n’y a pas de conflit d’intérêts entre le rôle de conseiller spécial et le fait de siéger au conseil de Suez, la plus grosse multinationale de l’eau au monde. Davignon détient 11.111 actions, soit plus de 472.000 euros au cours actuel (octobre 2007), de Suez, une entreprise dont les activités comprennent également l’électricité, le gaz naturel et le traitement des déchets. Suez a de clairs intérêts commerciaux en Afrique et entend renforcer ces derniers.

Interrogée à propos de ce conflit d’intérêt, la Commission Européenne changea de ton et déclara que le travail de Davignon ne concernait « qu’exclusivement les affaires européennes » et qu’il « ne délivrait pas de conseils concernant les travaux d’infrastructure en Afrique ». Le jour suivant, une autre déclaration empressée fut faite par le Commissaire Michel pour tenter de clarifier ces réponses contradictoires. Elle précisait que Davignon avait pour tâche « d’inclure le secteur privé dans les politiques de développement ». Davignon lui-même réagit avec fureur lorsqu’un journal belge fit état de critiques concernant son double rôle de lobbyiste et actionnaire de Suez d’une part, et de conseiller spécial auprès de la Commission Européenne de l’autre. « Le rôle d’un conseiller ne peut être que de nature générale » écrivit Davignon dans une réponse écrite. Il n’y « a donc pas lieu de parler d’un recoupement avec les responsabilités professionnelles que j’observe par ailleurs. »

Au cours de l’été 2007, après des mois d’incertitude, il devint clair que le Commissaire Michel avait ré-engagé Davignon comme conseiller spécial, en dépit de nombreuses questions en suspens sur ce qui apparaissait comme un conflit d’intérêts.

Si vous pensez que les conflits d’intérêt sont une chose sérieuse et doivent être résolus, votez pour le Vicomte Étienne Davignon pour l’attribution du Prix du Pire Lobby 2007.
Documents à l’appui

EU adviser’s role questioned, Andrew Bounds, Financial Times, 6 mars 2007

Campaigners Counter Privatisation Source, InterPress Service, 30 mars 2007

Davignon ‘Special Adviser’ on African Development: Conflict of Interests?, Corporate Europe Observatory, 31 mars 2007

Chronologie de la controverse sur le conflit d’intérêts de Davignon (en anglais), Corporate Europe Observatory, mars 2007
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vicflame
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PostPosted: Fri Oct 19, 2007 6:39 am    Post subject: Reply with quote

Une fois encore, nous voyons le PRIVE (l'industrie multinationale, pour être précis) se mêler de POLITIQUE. Twisted Evil

Il est donc évident que le volet social sera TOTALEMENT ABSENTdu programme pour l'Afrique sub-saharienne, ou en tout cas sera minime et hypocrite. Car c'est la LOI DU MARCHE (ULTRALIBERALISME MONDIALISTE) qui règne !!! Twisted Evil Mad

Il aurait été bon que certains journaux, magazines et revues fassent le lien entre Davignon et Bilderberg. Quitte à ce que Davignon en fasse un caca nerveux. Laughing Evidemment, il ne fallait pas compter sur ces putes de journaleux pour attaquer Davignon... Mad

Ce sinistre individu est en train de convoiter les ressources en matières premières (cuivre, diamants, uranium etc.) de ces pays pauvres. Surprised

Il va "aider" les pays s'Afrique sub-sahariennne ? Rolling Eyes Certes... ils va aider à les DETRUIRE, à les VOLER et à les EXPLOITER ! Twisted Evil

Vous pouvez aussi vous rendre compte de la CORRUPTION INFÂME qui a lieu au niveau du monde politique, et notamment au niveau des organes supranationaux (commission européenne), en la personne de M. Louis Michel, qui ACCEPTE et trouve tout à fait "normal" que l'industrie vienne "donner son conseil" (= dicter sa volonté) en politique ! Mad Mad Exclamation Ces corrompus sont totalement VENDUS aux gros industriels et à la politique atlantiste, sans compter (évidemment) aux organes du N.O.M. Mad

QUAND VA-T-ON FINIR PAR ARRÊTER CES TRAÎTRES ET CES CRAPULES QUI METTENT EN DANGER L'HUMANITE ? Confused Mad

Vic.
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marektysis
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PostPosted: Fri Oct 19, 2007 7:53 pm    Post subject: Reply with quote

Merci Maximus pour tes infos très précieuses. Je ne pense pas que ce soit un Honneur pour Davignon de travailler avec Louis Michel, l'homme qui travaille en Afrique pour les intérêts du groupe Forrest. Forrest n'est pas un ingrat. Les nombreux voyages de Michel au Congo (ex zaïre) auraient à voir avec de multiples vistes à un diamantaire à knokke le Zoute, me suis je laissé entendre par une mauvaise langue...sans doute une perfidie de jaloux.
Marek
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Maximus
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PostPosted: Fri Oct 19, 2007 11:14 pm    Post subject: Reply with quote

sinon pour la liste eronné de Estulin, vraiment beaucoup de monde croient que c'est la vrai, je l'ai vu sur syti.net et dans un article d'agoravox notemment

dans un sens ce n'est pas si grave etant donné que ces gens y sont déjà allé, mais quand même c'est dommage

et faut pas atttendre d'estulin quelque chose !
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marektysis
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PostPosted: Sat Oct 20, 2007 4:32 pm    Post subject: Reply with quote

Max, pour ma part, que dire de quelqu'un qui aurait reçu la liste officielle avant tout le monde et qui ignorerait le lieu de réunion? un falsificateur.

Voilà pourquoi il faut étudier Bilderberg sur base des listes officielles tout en sachant qu'il s'agit d'un forum US Europe reposant sur l' OTAN et que ses visées ne pas forcément bénéfiques pour les citoyens des USA et de l' Europe.Alors un gars qui déclare savoir qui va venir et qui ne sait pas où est un falsificateur. Comme il n'a jamais caché ses liens avec les anciens du KGB ( par liens de sang) et qu'il raconte dans son livre en espagnol ( qu'il m'a gentiment dédicacé) que pour rencontrer un bilderberger il a du se faire couvrir par des gens armés ( vous imaginez qui), on nage en pleine mystification. Un bilderberger qui veut parler le peut et est assez intelligent pour ne pas requérir un tel cirque de mesures de protection.Si vous avez remarqué, Estulin parle de ce qui s'est dit mais payé par American Free Press, il n'a pas oser venir en Turquie.

Que dire de plus? sinon que ce personnage ajoute des falsification et gêne le travail des chercheurs. Je te remercie d'avoir publié la liste correcte mais je plains de nouveau les anglophones de recevoir de telles contre vérités. A qui le crime profite? on se le demande.


Marek
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marektysis
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PostPosted: Sat Oct 20, 2007 4:38 pm    Post subject: Reply with quote

BILDERBERG 2007

PAULSON ( SECRETAIRE US AU TRESOR) EST PRESSURE PAR LE G7 D AIDER LE US DOLLAR
******************************************************************************
US CODE ART7 SS 17
http://www.bloomberg.com/apps/news?pid=20601087&sid=aiXgH4EYAOe0&refer=h...

Un ancien maître de l’ Univers comme Henry Paulson ne se trouve pas souvent sur la défensive. Lors du meeting international ( G7) de Washington, il le sera assurément.

Sous la pression des gouvernements Européens qui veulent qu’il abandonne sa politique non interventionniste à la régulation financière et à la dépréciation du US dollar, l’ancien chef éxécutif de la Goldman Sachs Group Inc. Pourrait consentir à la première demande tandis qu’il résisterait à la seconde.

Les USA ne sont plus à même de répondre par un ‘non’ plat aux suggestions émanant de l’ étranger déclare Brad Setser, un ancien official du trésor et maintenant un member du Council on Foreign Relations de New York.

Alors que Paulson, 61 ans, se prepare à accueillir le groupe des sept ministres des finances à Washington le 19 Octobre 2007, sa capacité de résister a été minée. Il lui manque l’autorité de la chaire que les USA avaient dans les récentes années alors que l’économie US était la plus forte du monde industrialisé et le trouble des marchés US en Août a terni sa réputation en tant qu’autorité financière..

"Vous avez un secrétaire au trésor qui vient de Wall Street ,et qui est suppose connaître les marchés," dit John Kirton, directeur du groupe de recherche du G-8 l’ Université de Toronto et qui est un ancien membredu gouvernement Canadien. "Nous n’avons jamais entendu qu’il ait eu les rênes de la situation.

Les nations européennes mènent la charge contre lui.. Avec un Euro qui atteint un sommet contre le US dollar, les Européens sont expulsés des marchés internationaux.

"Les Ventes des exportateurs Allemands sont en train de tomber dramatiquement aux USA.," déclare Anton Boerner, président de l’ association BGA des exportateurs et grossistes allemands. "Nous avons dépassé le seuil de souffrance."

La France a été particulièrement pugnace en demandant une action contre la hausse de l’ Euro, avec la ministre des finances Christine Lagarde, 51, poussant même la BCE à vendre la monnaie. Elle a aussi appelé Paulson de declarer haut et fort qu’il défend une politique de dollar fort.

Alors qu’antérieurement Paulson a dit et redit qu’un dollar fort est dans l’intérêt des américains, il déclare maintenant que la valeur des devises doit être fixée par les marchés….. Sous la présidence du président George W.[Caligula] Bush, le trésor n’est jamais intervenu sur le marché des devises que ce soit pour acheter ou vendre du dollar.

"La chose la plus importante pour les USA est de maintenir la position sur les devises," dit John Taylor, ancien sous secrétaire de Bush au trésor pour els affaires internationales et maintenant professeur à l’université de Stanford en Californie. Il dit que la rhétorique de Paulson a peu de chances de changer.

Paulson devrait pouvoir diminer la pression parce que les européens eux mêmes ne sont pas unis sur ce sujet.Malgré les plaintes des exportateurs, l’ Allemagne a déclaré qu’elle ne voulait pas affaiblir l’ Euro, avec le ministre des finances Peer Steinbrueck déclarant le 9 octobre que la hausse de la devise n’est « en rien sensationnelle »."

L’ Europe ne parle en rien d’un voix unique déclare Neil Mackinnon, chef économiste du hedge fund ECU Group Plc et lui même ancien officiel du trésor britannique. "Les américains peuvent prendre le point de vue de ne pas changer de tactique."

Ce qui est plus, la chute du us dollar a aidé a faire exploser les exportations US à un moment où l’économie US est en ralentissement à la suite du désastre du marché immobilier qui a ralenti l’expansion . Le commerce a ajouté 1.3 point à la croissance durant le second trimestre, sa plus grande contribution depuis 1996.

Paulson pourrait aussi hésiter de prendre une ligne un peu plus activiste sur le dollar dans le but de persuader les chinois de laisser le Yuan s’apprécier plus librement.

"Cela saperait la crédibilité de Paulson aux yeux des Chinois," déclare Michael Woolfolk, stratège sur devises de la bank of New York Mellon Corp. "Il hésiterait à susciter de telles critiques."

Cet argument pourrait être suffisant pour persuader les officials européens de ne pas insister. Eux aussi sont de plus en plus concernés quye la Chine ne permet pas au Yuan de s’apprécier davantage. Il s’est élevé de 10% contre le US dollar depuis juillet 2005,alors qu’il chutait de 5% par rapport à l’ euro.



L’ Europe pourrait avoir plus de chance d’influencer Paulson d’accepter un plus grand contrôle des marches financiers, et spécialement avec les législateurs US qui pressent de leur côté pour une action en ce sens. Alors que les avertissements de Paulson contre le fait de se précipiter dans les régulations, il a déclaré qu’ici et là ‘il y aurait du changement’

Cela contraste avec ses propos au meeting du G7 en septembre 2006é alors qu’il répondit aux politiques de Grande Bretagne, Canada,Italie et Japon de ne pas ‘s’en faire sur une chute de l’immobilier US’. En février 2007 il écarta une campagne Allemande de casser les hedge funds.

"Paulson semble un peu s’écarter de ses vues selon lesquelles il n’y a rien de mauvais avec les marchés, et que le moins de régulation il y aé le mieux cela vaut’," dit Edwin Truman, un ancien official de la Federal Reserve et du trésor US qui travaille maintenant au Peterson Institute for International Economics à Washington.

Les politiciens européens ont épinglé le plus gros du blâme pour la turbulence des marchés sur le manque de supervision US sur les prêteurs du marché des subprime.



Si les régulateurs US avaient regardé de près à qui ils prêtaient, "quelques uns des problèmes auraient pu être évités,"a déclaré le chancelier de l’ échiquier Alistair Darling à la BBC le 14 septembre

En réponse à une critique similaire du Congrès US, ,le president de la Fed Ben S. Bernanke est tombé d’accord avec les régulateurs de l’ état pour qu’ils collaborent sur la supervision et l’application aux prêteurs qui ne font pas partie du paysage bancaire.

L’ Europe pousse aussi pour un contrôle renforcé des agences US de notation qui dit elle a été trop laxiste en jugeant le crédit dans les prêts dits subprime… Paulson a été d’accord pour permettre au Forum dit de Stabilité Financière de fouiller et proposer des remèdes pour éviter la répétition du tumulte récent sur les marchés. Le forum, réunion de banquiers centraux et régulateurs fut créé dans la vague de la crise asiatique des années 1990.



Une task force dirigée par le gouverneur de la banque d’ Italie Mario Draghi [Bilderberg] présentera un plan de travail au G-7 cette semaine, avec un rapport final attendu en avril 2008.
"Les USA vont connaître de la pression," dit Raghuram Rajan, un ancien chef économiste four le Fonds monétaire International qui enseigne à present à Chicago. "Nous devrions reconnaître une partie de la responsabilité d’avoir change la manière dont les choses devraient être faites."


Traduit et agrémenté ( rarement) par Marek
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marektysis
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PostPosted: Sun Oct 21, 2007 4:36 pm    Post subject: Reply with quote

BILDERBERG 2007
MICHAEL BARONE- US NEWS & WORLD REPORT

Lisez attentivement cet article de Michael barone. Cet homme élabore les meilleurs almanach de la vie des USA.L’article que j’ai selectionné pour vous explique pourquoi il a été invite à Bilderberg ( en même temps de Vernon Jordan).Il vous dit à l’avance pourquoi le prochain président des USA sera de nouveau Républicain. Et un conservateur. Et pourquoi on évitera de nommer Ron Paul qui n’accepte pas le parrainage des banquiers et autres internationalistes.
US article copyright art 7 ss17




La démographie est la destinée
-----------------------------
Dans un article publié le 8 mai 2007, Barone nous rappelle qu'il est né à Détroit, alors une cité industrielle avec une population de 1,850,000 individus et qu'aujourd'hui cette même cité. n'en contient plus que 886.000., la moitié de ce qu'elle contenait en 1950.A cette époque la population des USA était de 150.000.000 de personnes, alors qu'aujourd'hui les USA ont 301 millions de citoyens.

Il nous dit que les gens aux USA bougent mais certainement pas au hasard.' Il est un lieu commun de dire que les migrations sont allées de la ceinture de neige ( le Nord Est) vers la ceinture du soleil, d'une zone industrielle du nord et du centre ouest bers l' ouest et le sud'. Barone poursuit en ajoutant 'l'image actuelle est beaucoup plus compliquée. Récemment j'ai regardé les estimations du cens pour 50 cités qui contiennent plus d'un million de personnes où vivent 54% des américains. Ce que j'ai trouvé est que vous pouvez diviser ces villes en quatre catégories avec des degrés différents et des sources de croissance de populations ou de déclin.Et j'ai trouvé des surprises intéressantes.Commençons avec les mégapoles côtières: New York, Los Angeles, San
Francisco, San Diego, Chicago (au bord du lac Michigan), Miami,
Washington et Boston. Cela est substrat que vous ne trouvez pas dans d'autres cités: Les américains s'en vont et les immigrants y entrent en grande quantité avec pour conséquence une très légère hausse de la population. Los Angeles, défini par le bureau du recensement comme les contés de Los Angeles et d'Orange a connu un flot vers l'extérieur de sa population de l'an 2000 , balancé par un flot vers l'intérieur d'immigrés Les chiffres sont les mêmes pour les huit villes ainsi définies ..Il y a quelques variations: New York connaît une fuite de sa population américaine de près de 8% et une immigration de 6%; San Francisco connaît une émigration américaine de 10% et une immigration de 7%.
Miami et Washington connaissent une sortie de citoyens américains de seulement 2%, plus que compensé par une immigration de 8% et 5%, respectivement.
Ceci est quelque chose que peu auraient prédits voici vingt ans. Les Américains quittent la ligne côtière de Californie et de la Floride du Sud, et ceci en grand nombre. Ils quittent nos plus grandes métropoles.. Ils quittent Boston et San Francisco, et après huit décades de mouvements vers Washington ,ils s'en vont. Le flot domestique vers l'extérieur de ces métropoles, cela fait 3.9 millions de gens, 650,000 par an. Le prix élevé des logements, les taxes chères, une certaine répulsion envers les immigrés, cela sont les causes conduisant les américains ailleurs.
Le résultat de ces mouvements est que ces mégapoles côtières forment une société à deux vitesses avec des gens qui constataient la hausse vertigineuse de leurs biens immobiliers ( jusqu'à récemment) et et une grande population immigrée payés avec des salaires bas et se battant pour monter l'échelle sociale. La division sociale à New York et Los Angeles commence à ressembler aux divisions sociales de Mexico City et São Paulo.

Les politiciens démocrates aiment à décrier ce qu'ils décrivent comme étant un trou économique qui s'élargit au sein de la nation, mais cela vaut certainement pour leur résultat politique, car ces zones sont celles où ont fait leurs meilleurs résultats (ces métropoles ont vote à 61% pour John Kerry) et où, dans des appartements décorés d'une façon exquise dans le quartier de Park Avenue ou leurs villas de Beverly Hills ils se font servir par des immigrés leurs hors d'oeuvres, ils gagnent le meilleur de leur argent.

La mauvaise nouvelle pour eux est que ces cités côtières ont connu une croissance de seulement 4% dans la période2000-2006, alors que la nation a crû de 6%. Les cités côtières des états suivants--New York,New Jersey, Massachusetts, Illinois perdront cinq sièges dans le recensement de 2010 , alors que la Californie aui a gagné des sièges dans tous les recensements depuis 1850, est prévue pour ne plus en gagner.

Vous constatez une autre image dans les 16 métropoles que j'appelle les villes champignon de l'intérieur qui ne touchent ni l' Atlantique ; ni le Pacifique. Leur population a crû de 18% en 6 ans.Ils connaissent un fort influx d'immigrants mais à l'exception de Dallas et de Houston,cette vague a été nourrie par des natifs américains

L'influx domestique a été de 19% à Las Vegas, 15% à l'intérieur
De l'intérieur de la Californie et les contés de San Bernardino ,où l'essentiel de la sortie de Los Angeles a été, 13% à Orlando et Charlotte, 12%
à Phoenix, 10% à Tampa, 9% à Jacksonville etc....

Cela constitue des dynamos qui conduisent la croissance de l' Amérique.Il y a moins de polarisation économique ici que dans les cités côtières, et un plus haut pourcentage de familles traditionnelles: croissance démographique de 6%, bien plus que les 4%des mégapoles côtières.
Le centre de gravité de la nation a bougé: Dallas est maintenant plus grande que San Francisco, Houston est plus grande que Detroit, Atlanta est plus grande que Boston, Charlotte est plus grande que Milwaukee. Les capitales des états qui étaient des villes moyennes peuplées par les employés du gouvernement dans es années 1950s--Sacramento, Austin, Raleigh, Nashville, Richmond-sont à present des centres de développement de haute technologie et d'autres business qui se développent. San Antonio contient plus d'américains que d'immigrés bien qu'elle soit proche de la frontière mexicaine. Les ville schampignons ont généré plus de 38% de la croissance de la population dans les années 2000-06.

Ceci est aussi un autre monde politique loin des cités côtières: les villes champignons ont voté à 56% pour George W. Bush en 2004. Texas, Arizona,
Floride, Georgia et Nevada-états dominés par les villes champignons sont projetées comme allant collecter 10 sièges supplémentaires dans le recensement de 2010.

Que pouvons nous dire au sujet de la ceinture rouillée,qui a tant souffert dans les années 1980? Les six cités concernées--Detroit, Pittsburgh, Cleveland, Milwaukee, Buffalo, Rochester-ont perdu de la population depuis 2000. Leur exflux domestique est de 4% n'a été partiellement compensée par un influx d'immigrants de 1%. Si le exflux semble plus petit que dans les années 1980, c'est parce que beaucoup de jeunes gens ont déjà quitté. L'accroissement naturel n'est que de 2%, plus bas qu'à Orlando ou Jacksonville dans la Floride plus âgée. Leur économique est malade et est loin d'être un moteur pour la nation. Ces villes ne sont plus le moteur qu'elles ont été voici 80 ou 100 années de maintenant.Ces villes continuent à voter démocrate, mais les 54% en faveur de Kerry sont loin des 61% des cités côtières.On prévoit queleurs états perdront six sièges lors du recensement de 2010 .


La quatrième catégorie est cella que j’appelle les ‘Cités Statiques’.Il y a 18 cités avec de l’imigration entre zéro et 4%, dont les trois quart sont constitués d’américains jusqu’à 3% et des exflux domestiques jusqu’à 1%.Ces villes tiennent économiquement mais ne surgissent pas de l’ avant et quelques unes sont en danger de tomber. Philadelphia fait partie de la liste ainsi que Baltimore, Hartford et Providence dans l’ Est.
Avec surprises, quelques cités de l’ Ouest qui ont été des villes champignon dans les années 1990 sont également dans cette catégorie: Seattle , Denver, Portland. Dans le Midwest, Minneapolis, St. Louis, Cincinnati, Kansas City, Columbus et Indianapolis font mieux que leurs voisins de la ceinture rouillée
.Dans le sud nous avons, Norfolk, Memphis, Louisville, Oklahoma City et Birmingham. En touté les villes statiques ont connu un influx de 18,000 personnes (.048%) et un influx d’immigrés de 2%. Politiquement c’est un bagage mixé, un peu plus démocrate que républicain: 52% pour Kerry, 47% pour Bush.


J’ai laissé deux villes atypiques de côté parce qu’elles sont seules. Une d’entre ele est New Orleans, avec un exflux d’‘américains;Elle perdait déjà de la population et attirait déjà les immigrants avant l’ouragan Katrina. L’autre est Salt Lake City,qui démographiquement ressemble aux USA des années 1950. Entre 2000-2006 sa population a grandi d’un robuste 10%.Mais elle connaît un exflux de 4% , balance par un influx d’immigrants de 4%.La croissance est liée là aux enfants. La croissance naturelle est là de 9%, le plus grand de n’importe quelle de nos villes cités, immensément plus grande que les 3% de San Francisco 3% ou les –1% de Pittsburgh. Politiquement, New Orleans fut coupée en deux en 2004, avec Bush menant à 50% contre 49%, alors que Salt Lake City, la plus petite partie de l’ Utah votait à 60% en faveur de Bush.

Et le reste de la nation? Vous pouvez trouver des villes plus petites qui ressemblent aux mégapoles de la côte (Santa Barbara, Iowa City), beaucoup qui ressemblent aux villes de l’intérieur(Fort Myers, Tucson)et à la ceinture rouillée (Canton, Muncie). Vous pouvez trouver des cantons ruraux qui perdent de la population (comme dans le nord du North Dakota) et au milieu de ces villes d’autres qui croissent rapidement (Fargo, Bismarck).
Mais avant tout, la nation derrière ces aires ressemblent aux cités statiques: 1% d’influx domestique, 1% d’influx d’immigrés, une croissance de 4%de la population . mais politiquement cela est plus républicain, et en ligne avec les décomptes électoraux des zones non métropolitaines :: 56% pour Bush, 42% pour Kerry.
Il y a vingt ans des analystes politiques ont raté les implications du large mouvement depuis la ceinture rouillée en direction de la ceinture du soleil;mais avec la Californie appuyant les democrates lourdement, ce paradigme semble obsolète. Ce qui est nouveau dans le magasin est un déplacement du poids de la petite ceinture rouillée qui appuye les démocrates et des villes côtières où les très riches et les très pauvres votent démocrates, vers les mégapoles de l’intérieur où la plupart des votants sont des républicains religieux mais où les immigrants votent démocrates.Les sieges du Congrès vont progressivement glisser de New York, New Jersey et Illinois vers le Texas, Florida, Georgia, Arizona et Nevada; A l’intérieur de la Californie,les sièges du Congrès vont glisser depuis la côte démocrate vers l’intérieur républicain


Traduit avec objectivité par Marek
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marektysis
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PostPosted: Sun Oct 28, 2007 6:22 pm    Post subject: Reply with quote

BILDERBERG 2007
Martin Bartenstein
****************************
Martin Bartenstein est né 3e 3 juin 1953 à Graz et est le ministre autrichien du travail et de la science (ÖVP).


Vie-Martin Bartenstein étudia jusqu'à son diplôme de mâturité (équivalent du Bac)à Graz de
1971 jusque 1978 Chimie au Franzens-Universität Graz. En 1978 il fut nommé dr en philosophie .En 1974 il passa un semestre dans l'université de Miami de l' Ohio. Près de la fin de ses études de chimie il travailla dans l'entreprise familiale Lannacher Heilmittel GmbH un ipl de conduite universel.
Jusqu’en 1980 Cette fonction jusque 1995 depuis 1986 conduisit et ensemble avec ses études du collège, à suivre Wolfgang Leitner, le fabriquant de générique et participant d ‘intérêts dans les génériques ..
Depuis 1988 jusque1992 Martin Bartenstein fut le conducteur de la jeune industrie autrichienne et depuis 1992 Bartenstein est un représentant de l’ÖVP .
Bartenstein fut depuis 1991 jusque 1994 comme délégué au conseil national et porte parole de l’OVP de l’industrie au sein du même conseil et devint secrétaire d’état au ministère de l’état pour la science Dans ses fonctions il entreprit sous le convert de la présidence de la conférence de Montréal.. Depuis 1996 a t’il été le secrétaire national pour le le sous monde, jeunesse et famille et actif dans le combat contre les sectes et groupes para religieuxEn1998 fut il nommé conseiller de l’ UE sur la conférence relative au climat à Buenos Aires.
[ ce qui établit bien que des agendas sont continus et suivent bien les instructions des maîtres à penser du Bilderberg, afin de convaincre et de persuader les crétins de la base
que le monde est bien menacé de réchauffement planétaire, en suite aux excès de l’industrie pétrolière]


En 2000 il devint minister de la science et de travail. Cet ensemble de ces deux activités menèrent à la cration d’un ministère unique.. Bartenstein participa alors aux tables rondes de l’ OCDE pour le développement soutenable.

Comme nous le comprenons ; laprésence de Bartenstein au sein de Bilderberg est lié non au fontionnement du libéralisme au sein de l’ Europe mais bien à la fonction double de ministre de l’ économie et responsable religieux de la planète Gaïa allant avec le dévelopement économique..Encore mon article a t’il été abrégé par mon insuffisance de la langue allemande, espérant obtenir des lecteurs habituels du topic plus d’informations concernant ce cas atypique de ce membre de Bilderberg.Il n'en reste pas moins qu'encoire une fois un élément brillant a été capté par cet organisme du monstre froid qu'est Bilderberg.


Marek
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vicflame
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Joined: 30 Aug 2006
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PostPosted: Tue Oct 30, 2007 4:01 pm    Post subject: Reply with quote

CRISE ECONOMIQUE MONDIALE : LE DANGER EST TOUJOURS PRESENT. LES 5 ECUEILS MAJEURS A EVITER !!!



Chers amis,

Je vous présente aujourd’hui un article dont j’ai retiré intentionnellement les passages promotionnels.

Cet article est néanmoins fort instructif, et ce à plusieurs niveaux :

- Tout d’abord, il confirme bien qu’un tremblement de terre financier est toujours en cours… un tremblement dont nous n’avons pu sentir que les secousses préliminaires jusqu’à présent. Confused

- Il nous signale que les plus hautes autorités financières sont au courant.Twisted Evil

- Il passe en revue les magouilles financières qui se sont produite aux USA depuis les années ’70 (sous la responsabilité de crapules mondialistes du N.O.M., évidemment Twisted Evil ) et nous signale le danger de suivre aveuglément les mafieux des USA. Exclamation A l’heure où nos bourses sont dépendantes et liées à l’évolution de la bourse américaine (l’article ci-dessous nous l’explique bien), nos pourris de dirigeants s’orientent malgré tout de plus en plus vers le « modèle » américain, et ce à tous les niveaux… voilà qui devrait déclencher la sonnette d’alarme et provoquer une réaction ! Exclamation Mad

- Enfin, il nous signale les 5 écueils majeurs de cette catastrophe. Exclamation


Cet article semble donc être un must à lire, puisqu’il nous signale que l’écroulement économique est encore à venir (et est toujours d’actualité), et puisqu’il donne quelques conseils afin d’éviter aux investisseurs de se casser les dents sur les écueils financiers actuels. Wink

Ces 5 casse-gueule économiques à éviter sont :

1) L’immobilier (tout particulièrement l’immobilier de location)

2) Les actions américaines

3) Les investissements liés à la Chine

4) Le dollar

5) Les obligations à haut rendement (aussi appelées « junk bonds »)


Pour connaître les raisons pour lesquelles il faut éviter ces 5 secteurs, lisez donc l’article ci-dessousWink

Bonne lecture. Vic.



Source : http://www.edito-matieres-premieres.fr/

COMBIEN DE TEMPS AVANT L'EFFONDREMENT DU CAC 40 ?
N'ATTENDEZ PAS DE LE DECOUVRIR SUR VOTRE RELEVE DE COMPTE...



Cher investisseur,

Les fondations de l’économie américaine sont poreuses. Une secousse de plus, et l’édifice s’effondre sur le marché français – situé dans la zone à risque... Personne ne sait quand cela arrivera, mais les plus hautes autorités financières se préparent à une onde de choc terrible :

Le Directeur général du FMI déclarait lundi : « Ces derniers mois ont été marqués par un véritable séisme sur les marchés du crédit. (...) Mais tout risque de répliques n'est pas écarté, et ce n'est qu'avec le temps que l'impact de la perturbation qui s'est produite se fera pleinement sentir ».

Vous l’aurez compris : l’impératif aujourd’hui, est de ne pas baisser sa garde. C’est pourquoi vous devriez connaître en détails les 5 dangers qui menacent votre portefeuille, et disposer d’un moyen simple et efficace de protéger votre patrimoine – tout en continuant à accumuler les plus-values.

C’est ce que je vous propose de découvrir en poursuivant votre lecture – mais attention : chaque jour compte, alors n’attendez pas pour agir...


---------------------------------------------



Avez-vous l'une de ces bombes à retardement financières dans votre portefeuille ?

Cher ami,

Le 30 juin 2006, votre univers financier a changé -radicalement.
Aucune cloche n'a sonné. Aucune alarme ne s'est déclenchée. Personne n'est descendu dans la rue.

Et pourtant... depuis ce jour, le monde est bien différent pour les investisseurs. La principale tendance du dernier quart de siècle a pris fin.


Les conséquences de cet événement commencent seulement à se faire sentir aujourd'hui. Pendant un an, les autorités financières et économiques de la planète ont réussi à sauvegarder les apparences. Mais les chocs qui ont ébranlé les marchés en février/mars puis en juillet/août dernier ne laissent plus aucun doute : l'heure des bouleversements a sonné.

Voyez-vous, au cours des 25 dernières années, le système financier mondial -- de Paris à Hong Kong -- a été dominé par une seule chose : la banque centrale américaine. La Fed a inondé le monde de nouvelles liquidités et de crédit facile. Les taux d'intérêt -- le coût de l'emprunt, en d'autres termes -- a baissé à partir de 1980 jusqu'à la fin du premier semestre 2005.

Mais à présent... tout a changé. De véritables bombes à retardement financières sont désormais enclenchées.

Nous n'entrerons pas dans les détails économiques complexes de ce mécanisme.

Par contre, nous allons vous donner des instructions détaillées sur ce que vous devriez y faire, en vous disant précisément quoi ACHETER et quoi VENDRE pour profiter de la nouvelle tendance qui est en train de se mettre en place.

Voici notre premier conseil...



Bombe à retardement financière n°1:
L'immobilier...


... et plus particulièrement l'immobilier de location. Voyez-vous, le meilleur moment pour acheter de l'immobilier dans le but de le louer, c'est lorsque les prix sont bas en termes réels. Pour vérifier si les prix en question sont hauts ou bas, il faut examiner les taux d'intérêt.

A long terme, la baisse des taux représente le facteur de hausse le plus important pour les prix de l'immobilier. En toute logique, vous devriez donc acheter avant ce que l'on espère être une période prolongée de taux d'intérêt bas.

Le problème, c'est que ce n'est pas le cas en ce moment. Le moment de vendre est sans doute venu. Le krach du marché immobilier pourrait s'accélérer encore... et se transformer en débâcle générale, si bien qu'il sera impossible de vendre à un prix décent -- d'autant que la hausse des taux risque de se poursuivre.



La principale erreur commise par votre conseiller financier

Permettez-moi de faire une petite parenthèse pour vous expliquer "l'ensemble du tableau". Parce que, pour être tout à fait honnête, nos recommandations ne valent rien si l'on ne comprend pas les choses dans leur totalité. Bien entendu, de nombreux conseillers financiers ne se soucient même pas de penser à l'ensemble du tableau. Ils se fient au passé récent, ce qui est une grave erreur.

Tant que les banques distribuaient quasiment de l'argent facile, le reste semblait n'avoir aucune importance. L'idée, c'était juste d'ACHETER !

On achetait donc des actions, ou de l'immobilier, ou des obligations – et on avait de bonnes chances d'en sortir gagnant. Les analystes en sont donc venus à croire qu'il était complètement inutile de réfléchir à l'ensemble des conditions économiques et financières. "Dites-moi juste quoi acheter",
disaient-ils.

Malheureusement, il arrive toujours un moment où l'on devrait vendre la plupart de ses investissements, plutôt que de les acheter.

Je m'explique. Pardonnez-moi si ces explications sont un peu longues, mais c'est important.

Le boom boursier entamé en 1980 -- et qui s'est prolongé jusqu'à nos jours -- trouve son origine dans un étrange phénomène qui s'était produit neuf ans auparavant. Le 15 août 1971, les Etats-Unis avaient définitivement cessé de faire semblant qu'ils rembourseraient un jour leurs dettes en or. A partir de ce jour-là, les détenteurs de dollars firent confiance à la bonne foi et au jugement de la Fed -- et à rien d'autre.

Les Etats-Unis avaient soudain la permission d'imprimer de l'argent -- autant qu'ils le souhaitaient. Cela a eu des répercussions catastrophiques de l'autre côté de l'Atlantique. En France, l'inflation passa à 13% par an durant le premier mandat de François Mitterrand.

"On ne peut pas faire confiance à la monnaie papier", déclara la foule – et tout le monde vendit donc ses dollars, ses actions, ses obligations, tout.
Les prix des maisons s'effondrèrent. Pour se protéger, les investisseurs firent grimper le prix de l'or à plus de 800 $ l'once.

Tout était en place pour une énorme surprise. Paul Volcker entra en scène aux Etats-Unis et tordit le cou à l'inflation. Avec des taux d'intérêts grimpant jusqu'à 20%, il resserra les boulons et l'économie entra dans une récession. Les Américains étaient dans une telle colère qu'ils se rassemblèrent sur les marches du Capitole, à Washington, et y brûlèrent une effigie de Volcker.

Mais ce dernier tint bon, et ses réformes furent maintenues. Le dollar se stabilisa. L'inflation déclina. Et durant les 24 années qui suivirent, les taux d'intérêt chutèrent, jusqu'à ce qu'Alan Greenspan les amène à leur plancher de 1% en 2002.

Pourquoi est-ce que je vous dis tout ça ?

Parce que lorsque Wall Street éternue, la Bourse de Paris s'enrhume. Qu'on le veuille ou non, en France, nous sommes liés aux décisions prises à Washington.

Je voudrais donc que vous compreniez une chose : ce n'était pas une coïncidence ou un coup de chance, si le CAC 40 a grimpé en flèche à la fin des années 90, puis à nouveau durant ces dernières années. Pas plus que le boom de l'immobilier français n'était un hasard. Ces deux phénomènes sont les conséquences directes d'un monde dans lequel l'argent -- et le dollar américain est le roi de toutes les devises -- est devenu plus facile à obtenir. En général, lorsque les taux d'intérêt baissent, les actions et les prix de l'immobilier grimpent. C'est aussi simple que ça.

Et que se passe-t-il lorsque les taux d'intérêt grimpent ? Exactement le contraire.

Notre prochaine recommandation est évidente :



Bombe à retardement financière n°2 :
Débarrassez-vous des actions américaines... à quelques exceptions près !


En surface, les chiffres fondamentaux américains semblent plutôt sains... et le PIB des Etats-Unis a augmenté de 3,4% (en rythme annuel) au 2ème trimestre 2007. Les profits des entreprises sont eux aussi en hausse pour la plupart.

En apparence, tout va bien.

Sauf que les conditions fondamentales ont changé.

90% de la croissance du PIB américain provient des dépenses de consommation... et de l'immobilier -- dont je vous parlais plus haut : avec des prix en déclin, une chute libre des mises en construction et des invendus en hausse de 40% dans certaines régions... pensez-vous vraiment que la croissance américaine a encore beaucoup de souffle ?

Sans parler du marché de l'emploi, soi-disant "en pleine forme" ! Sur les cinq millions d'emplois créés ces derniers temps, pas moins de 40% concernent des secteurs liés à l'immobilier (construction, organismes de prêt, etc.)

Et que pensez-vous du fait que le gouvernement américain emprunte 1,2 milliards de dollars par jour -- pour nourrir notamment un déficit commercial de 68 milliards de dollars... et une dette de 76,62 milliers de milliards de dollars ?

Les faits sont là : la prospérité américaine a été nourrie par de l'argent facile et de la dette -- et la croissance peut disparaître aussi rapidement qu'elle est arrivée.

Que va-t-il arriver maintenant ? Inflation ? Déflation ? Quoiqu'il en soit, ça ira de plus en plus mal pour les actions.

Voyez-vous, il y a des choses que nous savons déjà... et des choses qui restent à découvrir. L'économie mondiale est-elle en train de s'enfoncer dans la déflation -- à cause des baisses de prix massives de la Chine et d'une gigantesque montagne de dettes ?

Ou alors... les banques centrales essayant désespérément de prolonger la partie, est-ce l'inflation que nous devons craindre ?

Nous n'avons pas de réponse exacte. Personne ne l'a. Mais nous avons une meilleure réponse que la plupart des gens. Ce que nous savons actuellement, c'est que l'économie mondiale est INSTABLE. Elle est instable parce que l'argent facile de la Fed a conduit à trop d'erreurs :

Trop de gens ont emprunté trop d'argent.
Trop de gens ont acheté des maisons dans lesquelles ils ne peuvent se permettre de vivre.
Trop de gens détiennent des actions ne valant pas vraiment le prix qu'ils ont payé.
Trop de gens aux Etats-Unis comptent sur l'épargne des étrangers simplement pour joindre les deux bouts.

Depuis le début des politiques d'argent facile, en 1980, le monde entier a été inondé de dette. On peut trouver un véritable Everest de statistiques et de données pour le prouver. Alan Greenspan, par exemple, a créé plus de liquide et de crédit que tous les autres présidents de la Fed – pris ensemble ! Ce nouvel argent ne s'appuyait pas sur l'or, ou les voitures, ou le blé, ou les tubes de dentifrice -- ou quoi que ce soit d'autre. Il a simplement été créé -- à partir de rien -- par la Fed... grâce à cet audacieux changement de politique en 1971.

Voilà une explication de cette idée : c'est comme si toute l'économie mondiale et ses marchés financiers réagissaient à de l'argent qui n'est pas vraiment là -- de l'argent bidon, en d'autres termes. Peut-on en vouloir aux gens de faire des erreurs ?

J'espère que je ne suis pas en train de vous perdre. Je sais que tout cela est un peu compliqué. Mais c'est le monde dans lequel nous vivons (…).



Le problème qui guette tout investisseur individuel

Quand il s'agit de suivre les nouvelles financières et boursières, je suis certain que vous connaissez le problème.

Une valeur excellente peut être enterrée quelque part dans les pages des Echos ou de La Tribune... ou être mentionnée en passant par le Figaro.
A moins qu'on ne trouve quelques bribes d'information sur investir.com tandis que BFM livre d'autres éléments.

Lorsque enfin l'investisseur individuel a rassemblé tous les morceaux du puzzle, ou que la véritable signification de cette information fait les gros titres... il est en général trop tard pour tirer le meilleur profit de l'investissement. On peut gagner quelques centimes, mais le conseil est trop "usé" et banal pour avoir un véritable impact sur vos profits.

Pareillement, si vous prenez un conseil hors contexte et investissez sans aucun recul, vous pouvez tout perdre. Le chaos qui a entouré la folie dot.com en était la preuve.

(…) voyons un autre investissement dangereux :



Bombe à retardement financière n°3 :
La Chine... du moins pour le moment...


Tout le monde recommande la Chine, ces derniers temps. Mais après des années d'expérience, nous avons appris que lorsque tout le monde pense la même chose... c'est que personne ne pense !

En plus, on sait que les informations en provenance de Chine ne sont pas fiables. Au mieux, elles sont biaisées. Au pire, ce sont de purs mensonges.

Nous avons donc envoyé l'un de nos correspondants en Chine, pour découvrir la vérité. Il est allé partout, a parlé avec quiconque savait assez d'anglais pour tenir une conversation, et a vu de ses propres yeux les événements radicaux et passionnants qui se déroulent en Chine.

La conclusion est simple : oui, la Chine est à acheter pour le long terme.
C'est la prochaine locomotive économique. C'est même l'économie du 21ème siècle.

Par contre, il ne faut pas acheter la Chine en ce moment. Voici pourquoi...

Depuis 2004, on a constaté une ruée frénétique vers la Chine. Rien qu'à Shanghai, le marché a grimpé de 130% en 2006 -- tandis que les actions chinoises dans leur ensemble ont augmenté de plus de 50%, malgré le fait que l'économie s'est développée de 9% seulement (!), et que les taux ont été récemment augmentés.

Dès que la consommation chutera aux Etats-Unis -- et elle ne manquera pas de le faire -- l'économie chinoise, nourrie par les exportations, sera heurtée de plein fouet. En même temps, une bulle se développe sur les marchés de l'immobilier (les prix à Shanghai et Beijing subissent une croissance à deux chiffres depuis quelques années maintenant, et les spéculateurs s'accumulent pour profiter du boom de la construction), tandis qu'un bon nombre de banques du pays sont dans un triste état, financièrement parlant.

A plus long terme, les choses ne seront pas faciles non plus. Pour commencer, réfléchissez au fait que la Chine n'a pas de système de retraite digne de ce nom. Mais d'ici 2025, elle comptera 220 millions de personnes âgées sans véritable filet de sécurité : la politique chinoise de l'enfant unique a laissé le pays sans réseau de soutien traditionnel.

Il faut également prendre en compte le coût de la santé publique dans le rapide développement de la Chine. Ce genre de croissance industrielle rapide a un impact considérable sur la population. Et il implique de grosses factures médicales pour l'avenir. Cela suggèrerait que l'avantage comparatif de la Chine, qui peut fabriquer ses produits à des coûts très bas, ne va pas durer.

La Chine présente également un risque politique : plus de 50% de la population chinoise travaille encore dans l'agriculture et vit sous le seuil de pauvreté. A mesure qu'elle s'enrichit et que ses agriculteurs vieillissent, on verra apparaître au minimum un problème économique. Au pire, on aura un conflit politique : l'intérieur rural contre les populations urbaines de la côte et des mégalopoles, peut-être. Ce n'est pas le moment de détenir des actions chinoises.

Pour résumer, les Américains ont acheté et les Chinois ont vendu. Les Américains ont emprunté et les Chinois ont prêté. Les Américains ont gaspillé leur capital pendant que les Chinois construisaient le leur. Tout le monde en a trop fait. Les Américains ont trop de dettes. Les Chinois ont trop de capacité. La prochaine étape ne sera drôle pour personne...mais la Chine devrait s'en sortir bien mieux que les autres à long terme.

(…)


(…) des tendances de long terme dangereuses... comme celle-ci :



Bombe à retardement financière n°4 :
Le dollar


Les Etats-Unis ont d'énormes problèmes économiques. Leur dette publique se monte à 8.500 milliards de dollars -- avec 1,2 milliards de dollars quotidiennement empruntés que leurs dirigeants empruntent pour nourrir leur fièvre dépensière. On estime que le déficit budgétaire devrait se monter à
205 milliards de dollars "seulement" sur l'exercice 2007. Quant à la balance commerciale, elle est elle aussi dans le rouge : -295,5 milliards de dollars pour la première partie de l'année.

En termes simples, cela signifie que les Etats-Unis importent
substantiellement plus qu'ils n'exportent.

Le problème, c'est que depuis plusieurs années, ce déficit commercial est financé par les banques centrales asiatiques, qui ont acheté d'énormes quantités de bons du Trésor US. Dans les faits, les banques centrales asiatiques ont indirectement prêté de l'argent aux consommateurs et entreprises américains, leur permettant de continuer à consommer. Mais cela ne peut durer éternellement. En fait, les flux commencent déjà à ralentir.

Parallèlement, les étrangers achètent moins de titres libellés en dollars, si bien que la demande de dollars provenant de cette source chute elle aussi. C'est là une raison clé de penser que la dépréciation du dollar va reprendre.

Bien entendu, ce n'est que la partie visible de l'iceberg. Il y a plus à en dire -- beaucoup plus. (…)

Ce qui se passe pour le dollar est la conséquence de 1971 -- lorsque le Trésor américain a désolidarisé le dollar de l'or. Cela montre bien que les tendances peuvent durer très très longtemps. Tout cela était inévitable, prévisible et inéluctable. Lorsque les gens peuvent imprimer de la monnaie, ils finissent toujours par en imprimer trop... et la détruire. C'est ce qui s'est passé à chaque fois, tout au long de l'Histoire.

Le fusible a tenu pendant plus de 30 ans, mais tout est réuni pour que cette bombe à retardement explose prochainement. Sortez avant qu'il ne soit trop tard.



Bombe à retardement financière n°5 :
Les junk bonds


Les obligations à haut rendement -- ou "obligations de pacotille", ou encore "junk bonds" -- sont très chères. On les paie presque autant qu'une obligation gouvernementale "sûre".

Warren Buffett déclare que c'est "miraculeux", et il a profité de la hausse des prix pour vendre. Il a fait le bon choix. Aucune récompense ne justifie de prêter à des emprunteurs présentant un tel degré de risque. Mais il ne s'agit pas uniquement des obligations de pacotille : même les dettes normales des entreprises, qui rapportent en général 1,75% de plus que les obligations gouvernementales, ne rapportent plus que 1,29% supplémentaires en ce moment.

Ces rendements sont particulièrement inquiétants, étant donné que les rendements des obligations gouvernementales (c'est-à-dire les taux d'intérêt en général) ne sont plus dans une tendance baissière. Cela suggère que les marchés obligataires occidentaux sont devenus complaisants : des rendements bas reflètent qu'on n'attend pas de mauvaises nouvelles. Pourtant, les cours du pétrole refusent obstinément de redescendre, les mauvaises nouvelles en provenance du Moyen-Orient sont quotidiennes et les économies européennes s'enlisent.

La dernière fois que le marché s'est montré si complaisant, on était en 1996 -- juste avant la crise des marchés émergents en 1997 et le défaut sur la dette russe en 1998. Tôt ou tard, les mauvaises nouvelles vont tomber.
Et lorsque cela se produira, vous ne voulez pas vous retrouver avec des "junk bonds" en portefeuille.



Mais il y a aussi de bonnes nouvelles...

La bonne nouvelle est très simple : rien ne baisse sans que quelque chose d'autre ne grimpe.

Nous sommes convaincus que nous entrons dans une période d'intense confusion, à mesure que la tendance du dernier quart de siècle devient la tendance du prochain quart de siècle. Les gens vont se demander ce qui se passe. Ils se demanderont pourquoi les stratégies d'investissement qu'ils ont apprises au cours des deux dernières décennies ne fonctionnent plus.

Au cours de cette période -- qui durera probablement pendant encore un an environ -- les tendances majeures ne seront pas claires. La plupart des gens ne remarqueront même pas que le climat a changé.

Dommage pour eux. Parce qu'il y a beaucoup d'investissements à faire... et si vous les choisissez avec prudence, ils vous permettront d'exploiter avec profit cette période de transition.

Quels autres secteurs vont grimper ? Qu'en est-il du pétrole, par exemple ?

Le pétrole est en train de s'épuiser

Voilà une tendance de long terme ! Depuis deux siècles, le monde a extrait chaque année ou presque plus de pétrole que l'année précédente. Ce carburant a nourri la révolution industrielle et l'âge des machines en Occident.
Et voilà qu'en Orient aussi, on s'y met. La Chine, l'Inde et toute la région asiatique -- qui compte une population de trois milliards de personnes environ -- s'industrialise et se modernise à une vitesse foudroyante.
Le monde n'a jamais rien vu de tel. Ce qui signifie que la demande de pétrole va grimper en flèche au cours des prochaines décennies.

Mais nous avons un énorme problème.

Après 200 ans d'augmentation de la production de pétrole, le monde a finalement atteint sa limite. C'est du moins la théorie d'un groupe d'ingénieurs pétroliers, selon qui la production pétrolière mondiale a commencé à décliner -- et c'est sans retour.

A partir de maintenant, l'offre de pétrole va baisser -- alors même que la demande est sur le point d'exploser. Hmm... chute de l'offre... envolée de la demande. Est-ce que ça ne ressemblerait pas à une formule parfaite pour une hausse des prix ? Eh oui, c'est un classique, et nous pouvons vous donner des conseils spécifiques -- mais pas toujours évidents – pour en profiter. (…)
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