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marek
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PostPosted: Fri Oct 06, 2006 8:22 pm    Post subject: Reply with quote

Avé à toi, O Maximus ! Smile
++++++++++++++++++

Welcome on' la group Bilderberg en Français' in England ! Début en fanfare ! Poste nous vite tes autres découvertes sur Bildt, Davignon and co. On va faire du good business ici !

I am content !

Marek
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marek
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Joined: 28 Aug 2006
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PostPosted: Fri Oct 06, 2006 8:28 pm    Post subject: Reply with quote

HEATHER REISMAN- STEERING COMMITTEE OF BILDERERG
Us code art 7 ss 107

Parlant récemment devant le Club Economique de New York ; quintessence de l’ « élite » , Harper avait dur à démontrer comment le Canada avait plus à offrir aux USA en faisant face aux défis mondiaux en compagnie d’une puissance militaire et économique d'une telle brillance.

Cet argument était associé à un appel afin que l’ « élite » récompense le Canada US à la hauteur de son appui, en lui demandant d’accorder les demandes canadiennes sur une série de points, tout en réaffirmant l’importance géostratégique du Canada et de sa détermination de devenir une force sur la planète du business.

Harper a fait en guise d’introduction une allusion à la concurrence du tiers monde en demandant pourquoi le Canada devait se voir offrir une prévalence :

Mais l’essentiel de sa réponse enfantine fut de déclarer que le Canada était une force au service du bien dans un monde chaotique. Toutefois, son pays offrait une économie robuste et une industrie de l’ énergie qui est une des premières du monde; deuxièmement, n partenariat fort en construisant une amérique du nord très sécurisée [ de liberté il n’était point question]; et troisièmement une volonté commune d’avancer avec ‘nos alliés démocratiques’, 'nos valeurs' ‘communes’ dans le monde. Autant dire qu’en dehors du partenariat énergétique, Harper offrait sa soumission et celle du Canada aux familles du Nord Est des USA en tant qu’insecte politique dépendant des contributions financières de ces puissances ab inferno. Que pouvait il faire de plus sinon demander un appui renouvelé à ses électeurs. ? Mais ceux ci sont ‘joués ‘ par les médias et tout être politique réellement démocrate jouerait à ce jeux, de se faire proprement salir par la presse écrite et télévisée sans aucun recours possible et sans secours de la part d‘une justice que nous pouvoir qualifier dans tous les sens du terme de justice de ‘classe’ . Après tout, peu avant les élections, n’y a t’il pas eu ce genre de scandale dans la vie canadienne ?

Ainsi, l’appartenance au Club de Bilderberg peut aussi marquer une appartenance, comme on marque aussi les bestiaux, au fer rouge.

Nous passons maintenant au prochain Bilderberger 2006.

Marek Tysis
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Maximus
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Joined: 06 Oct 2006
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PostPosted: Mon Oct 09, 2006 5:22 pm    Post subject: Reply with quote

Fareed Zakaria et l'art des meetings secrets : Secret Iraq Meeting Included Journalists de Julie Bosman du NYT.

Invité en 98, 99, 2001 et 2003, Margaret MacMillan est l'auteur d'un livre ayant reçu un grand succés 'Peacemakers. The Paris Conference of 1919 and Its Attempt to End War' qui vient d'être traduit en français : voir ici et .
Pour quelqu'un ayant de fine connaissance du sujet, il y a peut être des trucs intéressants à dégoter.

George Soros compare la Maison Blanche au Nazis de CNSNews.
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vicflame
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Joined: 30 Aug 2006
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PostPosted: Wed Oct 11, 2006 12:50 pm    Post subject: TERRE EN TANT QU'ARME ET EN TANT QUE CIBLE - PARTIE 7 Reply with quote

LA PLANETE TERRE EN TANT QU'ARME ET EN TANT QUE CIBLE - PARTIE 7

L'AFFAIRE DU CHINAGATE (SUITE & FIN)

Alors que l'administration de George H. Bush mettait la guerre contre la terreur à la mode, les responsables de la Defense Information Agency (agence de l'information de la défense ou DIA) ont cru que la technologie nucléaire avait été transférée au Pakistan et ont commencé à enquêter (de ce côté). Les similitudes entre les armes pakistanaises et américaines constituaient un intérêt particulier. Un échange d'information régulier fut découvert entre la Chine et le laboratoire informatique de l'armée à l’Aberdeen Proving Ground dans le Maryland, échange d’informations qui eut lieu pendant les années 80 et le début des années 90 (sous les Présidents Reagan/Bush et Bush/Quayle). Au même moment, la CIA et les hommes définissant la politique des USA utilisèrent A.Q. Khan comme couverture, clamant qu’il menait secrètement un réseau sur le marché noir afin de distribuer des matériaux nucléaires à des pays tels que l'Iran, la Corée du Nord, la Libye, et la Malaisie, alors qu’il agissait simplement en tant que leur représentant. De nombreuses compagnies avec lesquelles il a fait des affaires sont contrôlées par le gouvernement. Des efforts afin de faire commerce des technologies nucléaires avec la Corée du Nord en échange de technologies de missiles furent approuvés par la plus haute autorité du Pakistan et des gouvernements saoudiens. Les Etats-Unis ordonnèrent aux pays qui détenaient Khan de « regarder mais de ne pas toucher », et il fut libéré. Le pakistanais Nazir Ahmed Vaid fut arrêté à Houston en 1984 alors qu’il essayait de faire passer 50 krytrons, des interrupteurs électroniques pour les armes nucléaires. Il reçut un traitement très spécial et fut emmené au loin en liberté surveillée et expulsé. Il continua à entrer dans le pays illégalement et à mener des affaires jusqu'en 2004, lorsque son fils fut averti par un agent des douanes qu'il y avait un ordre d’arrestation placé sur son père.

Durant les années 80, le membre du Congrès Charlie Wilson, qui travaillait avec la CIA, dit au Président Zia ul-Haq du Pakistan :

« M. le Président, en ce qui me concerne, vous pouvez fabriquer toutes les bombes que vous voulez. » (extrait de Joseph J. Trento, « Prelude to Terror: The Rogue CIA and the Legacy of America’s Private Intelligence Network » - Prélude au terrorisme : les ripoux de la CIA et le legs du réseau privé d'intelligence de l'Amérique).

Il est difficile de croire que la communauté de l'intelligence des USA était ignorante d'un projet secret massif de bombe atomique financé par le royaume de l'Arabie Saoudite à travers la banque BCCI qui avait fait faillite. Selon un rapport du Sénat, la banque favorite de George H.W. Bush fut également utilisée pour financer secrètement la résistance anti-Soviétique en Afghanistan, et la CIA a été au courant depuis les années 70 du programme nucléaire pakistanais lorsque Bush était directeur. Parmi les ennemis supposés de « l’axe du Mal » de George W. Bush, de nombreux « amis ennemis » de son père sont énumérés.

Le projet de bombe pan-islamique peut constituer l’une des plus grandes conspirations nucléaires de l'histoire moderne. Des révélations récentes impliquent l’enquête sur les armes de destruction massive de l'agent secret de la CIA Valerie Plame, sa présence durant les événements du Conseil Turco-Américain, et plusieurs voyages en Turquie. Le journal turc Huriyet a décrit sa visite comme une recherche des armes de destruction massive et, plus probablement, de leurs composants. Les e-mails transactionnels envoyés entre Asher Karni [homme d'affaires israélien en Afrique du Sud], Zeki Bilmen [homme d'affaires turc] de Ginza Technologies dans le New Jersey, et Humayun Khan [qui opérait pour l’armée pakistanaise] concernaient la fourniture d’oscilloscopes et d’oscillateurs (utilisés pour construire des missiles et des armes nucléaires), et de « triggered spark gaps » (employés pour déclencher les explosions nucléaires). En référence aux spark gaps, Bilmen a indiqué dans un autre email « … Aucune licence d'exportation n’est requise vers l'Afrique du Sud. Je pensais que vous pourriez être intéressés de le savoir. » Asher Karni, un citoyen israélien d'origine hongroise et résidant en Afrique du Sud, fut attrapé à l'aéroport de Denver en 2003 en train d’exporter 200 déclencheurs d'armes nucléaires vers le Pakistan, et fut condamné à 3 ans ½ de prison le 4 août 2005. En fournissant illégalement les composants nucléaires prévus par la Maison Blanche et le Pentagone grâce à l'intermédiaire Asher Karni, l'administration Bush et les néocons pro-Israéliens espéraient accélérer de dix ans le programme nucléaire de l'Iran. Le rôle de la Turquie dans les transactions nucléaires illicites et la vente des données militaires classifiées des USA implique la mafia Russo-Ukraino-Israélienne et leurs « amis » impliqués dans des activités apparentées.
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marek
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PostPosted: Wed Oct 11, 2006 7:41 pm    Post subject: Reply with quote

Cher Vic,
En ce qui concerne Khan, il travaillait bien pour l' "Agence" comme une fuite du gouvernement neerlandais l'a montré.
En ce qui concerne l'explication, elle est du deuxième ou troisième degré.

Demain je commencerais l' étude rasante de Victor Halberstadt, ancien steering committee de bilderberg. Je le ferai par épisode pour ne pas vous endormir... Smile

Marek
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vicflame
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PostPosted: Thu Oct 12, 2006 12:43 pm    Post subject: TERRE EN TANT QU’ARME ET EN TANT QUE CIBLE - PARTIE 8 Reply with quote

!!! LE NOUVEL ORDRE MONDIAL ET SES ARMES PLACEES DANS L’ESPACE. CONSEQUENCE : LA POLLUTION ORBITALE ET SES RISQUES ENORMES !!!


Chers amis,

Voici la suite de l’article « LA PLANETE TERRE EN TANT QU’ARME ET EN TANT QUE CIBLE », qui établit les moyens et les armes que les dangereux criminels du Nouvel ordre mondial utilisent déjà aujourd’hui. Surprised

Nous allons étudier en ce jour les projets imbéciles d’armes spatiales et surtout leurs conséquences funestes sur l’environnement et la santé des habitants de la planète. Shocked Exclamation

Car figurez-vous que, non contents de persister dans la pollution de la planète de façon « habituelle » (pollution du sol, de l’eau et de l’atmosphère) et de provoquer la mort et la maladie de millions de personnes, les MALADES qui dirigent le Nouvel ordre mondial ont DEJA commencé à polluer l’espace !!! Twisted Evil Surprised Et ce qui circule à haute vitesse dans l’espace à basse orbite finit par retomber sur Terre ! Alors, lorsque l’on apprend que des matériaux nucléaires mortels se baladent à très grande vitesse au-dessus de nos têtes et peuvent redescendre à tout moment (sous forme de débris, mais aussi sous forme de pluie ou de neige), on se dit que les pires scénario-catastrophe sont possibles… Crying or Very sad Sad

Encore une fois, on pourra « remercier » les hautes instances si « compétentes » et « intelligentes » de l’ONU, de la NASA ou de l’armée et des instances supérieures qui les dirigent (bref, les dangereux criminels du Nouvel ordre mondial) qui se bouchent les oreilles comme des gamins de merde et REFUSENT d’écouter les doléances et les sages conseils de certains scientifiques et astronautes qui leur disent pourtant que cette pollution spatiale est extrêmement dangereuse… Mad Comme d’habitude, ces enfoirés de dirigeants feignent ignorer les dangers et POURSUIVENT leurs projets guerriers et de domination absolue, aux dépens de l’environnement et de la santé des populations ! Mad Mad Mad

Le début d’article nous signale aussi une technique éprouvée du nouvel ordre mondial : faire travailler des gens ou des scientifiques de façon « compartimentée » ou sur un morceau précis d’une recherche beaucoup plus vaste et aux implications beaucoup plus larges. Exclamation Les scientifiques en question ne peuvent donc se rendre compte du projet général avec toutes ses implications. Confused

La partie ci-dessous nous pose, en dernier lieu , une question lancinante à laquelle la suite de l’article apportera une réponse… Shocked Suite au prochain épisode ! Wink

Vic.


LA PLANETE TERRE EN TANT QU’ARME ET EN TANT QUE CIBLE – PARTIE 8

DEVELOPPEMENT SECRET D'ARMES EXOTIQUES DE L'ESPACE /
EXPLORATION DE L'ESPACE DANS DES BUTS MILITAIRES



« Les histoires de couverture concernant ces projets doivent être crédibles et ne peuvent révéler quelque information que ce soit concernant la véritable nature du projet. » (Programme national de sécurité industrielle (ébauche), mars 1992, fourni par le ministère de la Défense des Etats-Unis pour les entrepreneurs industriels).

La « véritable nature » de ce projet est clairement la domination de l’espace et la guerre menées par les militaires américains.

Presque toutes les recherches atmosphériques entreprises par les USA depuis la deuxième guerre mondiale ont été menées par ou au profit des militaires sous la couverture légitime de « la recherche d'universitaire » et protégées d’un examen minutieux sous le sceau du secret. Les meilleurs et les plus brillants esprits ont été leurrés dans cette recherche, engagés dans des recherches compartimentées avec peu de connaissance de l'application à plus grande échelle.

La militarisation du « US Space Command : Vision 2020 » a été sanctionnée par le Congrès. Les militaires considèrent l'espace comme « la terre sacrée » et clairement, l’espace sera le prochain champ de bataille… ou est-ce que ceci serait juste une autre couverture ?

« Nous nous étendrons dans ces deux missions (le contrôle de l'espace et l'application de la force spatiale) parce qu'elles deviendront de plus en plus importantes. Nous combattrons des cibles terrestres un jour - des navires, des avions, des cibles au sol - depuis l’espace. Nous prendrons des cibles spatiales, depuis l'espace. Et cette commande débutera rapidement ; [les missions] sont déjà assignées, et nous avons écrit les concepts des opérations. Nous engagerons des véhicules de re-entry au milieu de l'espace avec un système de défense de l'Amérique du Nord basé sur des missiles ballistiques. C’est politiquement sensible, mais cela va se produire. Certains ne veulent pas entendre parler de ceci, et il est sûr que ce n'est pas à la mode… mais – absolument - nous allons combattre dans l'espace. »
(Général Ashy, commandant de l' US Air Force Space Command et commandant en chef du centre combiné Etats-Unis/Canada North American Air Defence Command (NORAD), le 5 août 1996).

Orbitant autour de notre monde à très grande vitesse (10 km/sec), essentiellement à des orbites basses et proches de la Terre, on trouve un grand nombre de satellites (le véritable nombre est classifié) et un gisement de débris de détritus spatiaux qui voyagent à des vitesses qui vont jusqu'à 17.000 milles à l'heure. En 1987, la pollution orbitale était composée de plus de 7000 objets de 10 centimètres, de 50.000 objets de allant de 1 à 10 centimètres, et de 10 à 100 milliards de morceaux de peinture qui sont maintenant en orbite. A partir de 2002, le US Air Force Space Command pistait 10.000 objets de 10 centimètres : « des satellites opérationnels ou morts, des fragments provenant de l'explosion de moteurs de fusée, des sacs d'ordures et des eaux d'égout congelées balancés par les astronautes, le shrapnel provenant des essais d'armes antisatellites, 34 réacteurs nucléaires et leurs noyaux de carburant (nucléaire), une clé à molette qui s’est échappée, le gant d'un astronaute et une brosse à dents ». Les navettes spatiales qui retournent sur Terre ont souvent des ébréchures et des fissures aux fenêtres. L'astronaute Edgar Mitchell a décrit comment un morceau de peinture a presque emporté la navette spatiale et déclaré qu’il est « presque trop dangereux à présent » de voyager dans l'espace. En 1987, le risque d'une collision préjudiciable pendant plusieurs années passées en orbite était de 1 sur 500. Le volume de débris double environ tous les 5 ans et pesait environ 3000 tonnes en 1997. Des morceaux de détritus de l'espace de 10 centimètres doivent être identifiés et pistés par de complexes ordinateurs militaires afin de les différencier d'une attaque de missiles. Chaque morceau de détritus de l'espace est signalé et enregistré chaque année à l'ONU.

En janvier 1978, lorsque Cosmos 954, un satellite soviétique à propulsion nucléaire, a chuté de son orbite sur le Canada, il a libéré des débris et de la poussière radioactifs, se frayant un chemin (nucléairement) contaminé sur 2.000 kilomètres de long. Ce n'était pas le premier. La sonde spatiale de la NASA New Horizons, qui est en route vers Pluton, est alimentée par un générateur thermoélectrique radioactif ou « RTG » contenant 24 livres (= 12kg) (environ 132.465 curies) de plutonium extrêmement mortel – essentiellement du plutonium 238, et environ 12% de plutonium 239 (c’est-à-dire le plutonium qui est utilisé pour les armes nucléaires). La connexion militaire liée à ce lancement est que des RTGs pourraient être utilisés secrètement pour les satellites orbitaux espions, mais les militaires n'admettront pas qu’ils les utilisent. Les plans militaires visant à employer dans l'espace les armes nucléaires et la propulsion alimentée par de l’énergie nucléaire devraient constituer un grand souci. L'espace à basse orbite est déjà contaminé par de l'uranium et ses produits qui se décomposent en provenance de tests atmosphériques. Il reste suspendu dans l'atmosphère jusqu'à ce qu'il se transforme en pluie ou en neige et tombe du ciel, et il se dépose alors dans l'environnement.

L'anneau d’ordures synthétiques, qui ne cesse de s’étendre et qui encercle la Terre à très grande vitesse, est une menace croissante pour les vaisseaux spatiaux et les satellites. Les objets « plus grande que 1 millimètre pénétreront probablement la peau d'un satellite ou d'un panneau solaire, ceux qui font plus de 1 centimètre provoqueront la dissolution des satellites, et ceux qui sont plus grands que 10 centimètres peuvent causer la fragmentation complète d'un satellite ». Le Comité des Nations Unies sur les utilisations pacifiques de l'espace extra-atmosphérique a rapporté en 1999 que 16.000 objets de l'espace étaient rentrés dans l'atmosphère durant les 40 années précédentes. Cela signifie environ un objet par semaine avec une section transversale d'un mètre carré.

Les militaires et les responsables de la NASA écartent les protestations des scientifiques et des astronautes selon lesquelles les armes dans l'espace pourraient laisser tellement de débris que l'espace à basse orbite en deviendrait inutilisable. Le danger de la pollution radioactive provenant d’armes nucléaires dans l'espace n'est jamais mentionné.

Dans un discours en avril 2002, l'astronaute Sally Ride a dit que les armes antisatellite seraient « désastreuses », en particulier à une distance allant de 150 à 400 milles du sol. Cette zone correspond à la zone qui comprend la navette spatiale, la station spatiale internationale, et les satellites de reconnaissance.

Pourtant, à la lumière des nouveaux missiles russes améliorés Topol et Bulova, et de l'échec complet des missiles américains antimissile basés sur terre, les armes placées dans l’espace sont la seule défense possible. Une bataille de haute technologie dans l'espace pourrait être catastrophique, comme le biophysicien John Primack le signale, parce que si un ennemi choisissait une basse technologie consistant à déverser « des charges géantes de roche ou de granules de métal dans l'espace » :

Aucune guerre réelle de l'espace ne devrait même être livrée. N'importe quel pays qui se sentirait menacé par l'Amérique qui commence à placer des lasers ou d'autres armes dans l'espace devrait seulement lancer l'équivalent en graviers pour détruire les armements sophistiqués. (Reportage « Scientist: Space weapons pose debris threat » - « Un scientifique déclare : les armes spatiales posent une menace liée aux débris », Richard Stenger, CNN, le 3 mai 2002).

Une bille se déplaçant (autour de la Terre) à 17.000 milles par heure, 10 fois plus rapidement qu'une balle de fusil, pourrait frapper un objet « avec la force d'un coffre-fort d'une tonne qu’on laisse tomber depuis trois étages ». Ceci pourrait mettre en place une série de collisions qui provoqueraient, en cascade, de plus en plus de collisions, laissant par la suite la zone orbitale inutilisable. Un autre exemple de l’ antique guerre de Mésopotamie réduisant des armes de pointe en poussière.

Alors, quelles sont les véritables armes et quel est le véritable but pour la militarisation de l'espace ?
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marek
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PostPosted: Thu Oct 12, 2006 8:02 pm    Post subject: Reply with quote

BILDERBERG 2007

ATLANTIS- UNE NOUVELLE UNION NORD AMERICAINE EFFACANT LES FRONTIERES ENTRE LE CANADA ET LES USA.
+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
Dans un récent article du Toronto Star intitulé ‘ Atlantica’
Se rapproche des USA, George Elliot Clarke constate que le
“Canada” éclatera rapidement après le départ du Quebec [ quel départ?],
avec les provinces atlantiques s’alliant rapidement avec le
‘New England’ et l’ état de “ New York” et “il y a toute raison
de s’attendre à ce que Atlantica [‘Océania’ disait Georges Orwell dans ‘1984’]
restaure son ‘ Age d’Or’. L’article qui suit explique ce qu ‘est ‘ Atlantica’…

[Mes nombreux lecteurs qui me suivent depuis quelques années savent de quoi il retourne lorsqu’on aborde les relations atlantiques. Une récente chronique sur le présent forum laissait entendre la quête des époux Schwartz afin de se voir accorder de beaux morceaux par les famiglie ( familles en italien) Nord Américaines.]


Atlantica et l’agenda secret de l’intégration continentale
+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
posté par ‘ Atlantic Socialist’
US code copyright art 7 ss 107
Source en bas de texte.


+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

Le concept Atlantique est une énigme pour la pluypart des gens des provinces atlantiques. C’est un agenda qui a mené les élites de la région à se mettre d’accord sur un consensus selon lequel le Canada Atlantique et et le Québec de l’ est doivent s’intégrer économiquement , socialement et politiquement s’intégrer avec le Maine, New Hampshire, Vermont et l’ état supérieur de New York pour former une entité simple cohérente.
Les principaux proposants de ce concept sont Brian Lee Crowley, Président du ‘ Atlantic Institute for Market Studies (AIMS)’, et Jim Quigley, Président du ‘ Atlantic Provinces Chambers of Commerce (APCC)’ et Vice-President de la « Bank of Montreal ».Ils ont fait la promotion du concept “Atlantica”
Aux leaders de la politique et du business de la région.

La plupart ne sont pas au courant des desseins qui entourent leur oeuvre, et détesteraient certainement, s’ils les connaissaient les conséquences néo conservatrices de leurs prescriptions pour le futur du Canada ‘ Atlantique’.

AIMS est un think tank du gros business, bien financé, où les plus riches familles du Canada sont représentées au conseil d’ administration, qui est basé à Halifax.

Dans un speech lors d’un meeting de l’ APCC le 29 mai 2004, Crowley a exposé sa vision de “Atlantica” qui contenait trois idées centrales.

La première est de transformer les Provinces Atlantiques et la Nouvelle Angleterre en une ‘économie intensive de transport’. Accomplir cela voudrait dire faire deux choses. Premièrement construire une autoroute de St. Stephen, NB à travers la Nouvelle Angleterre vers Cornwall ON, et Montreal.

Deuxièmement, agrandir le port d’ Halifax pour recevoir les cargo adaptés au canal de Panama. Crowley n’a pas tenu compte le fait que le monde connait
Une soif de pétrole. Aussi bien les routes commerciales qu’il veut construire évitent le Newfoundland et les régions francophones du New Brunswick.

La seconde idée centrale la plus alarmante est l’intégration continentale.


+++ A SUIVRE++++
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Vitchilo



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PostPosted: Fri Oct 13, 2006 4:01 pm    Post subject: Reply with quote

Oui marek, le départ du Québec... L'élection du parti québécois lors des prochaines élections d'ici mars 2007, et le référendum pour nous séparer du Canada.

Et un des gros problèmes, c'est que nous, la minorité francophone de l'amérique, on va se faire écraser par les anglais qui nous entourent vu que l'on est que 7.8 millions comparer au 325 millions d'anglais qui nous entourent... Et avec les plans des néo-cons, ils pourraient faire tout pour nous ``épurer`` comme l'ont fait les nazis avec les juifs. Vu comment ils ont régler le problème francophone en Louisiane... Mais ici, si on se sépare et que les anglais essaient de venir nous imposer leur merdes, ben ça va être un carnage.

Ils vont vouloir notre eau, notre électricité, notre pétrole et notre bois. Mais nous ne sommes plus les québécois des années 50 se faisant exploiter par les américains. Alors ils vont avoir une grosse surprise.
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marek
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Joined: 28 Aug 2006
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PostPosted: Fri Oct 13, 2006 6:44 pm    Post subject: Reply with quote

ATLANTIS- UNE NOUVELLE UNION NORD AMERICAINE EFFACANT LES FRONTIERES ENTRE LE CANADA ET LES USA.
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Cela suit un rapport dénommé ‘construire une communauté Nord Américaine’
[ “Building a North American Community”] rédigé par la “Task Force for the Future of North America” qui est une coalition ad hocdu’ Canadian Council of Chief Executes’, le CFR et leur contrepartie mexicaine ‘ the Consejo Mexicano de Asuntos Internationals’.[ Chaque pays sur la terre possède un tel institut, après un long travail de plusieurs dizaines d’années].Le document fait 41 recommendations qui se lit comme une liste de Noël en faveur des éperviers néo- conservateurs qui sont au pouvoir au sud de la frontière canadienne.

Les recommandations se centrent d’abord dans la création une armée INTEGREE ainsi que d’un appareil DE REPRESSION LEGALE qui dépasserait les notions des frontières nationales en construisant UN PERIMETRE DE SECURITE COMMUN POUR L AMERIQUE DU NORD [ la même opération a lieu en Europe sous le masque de lutte contre le terrorisme et expliquait la présence à Bilderberg de l’ancien ministre de l’intérieur allemand OTTO SCHILLY qui va mettre en suite de son action passée ,les données de la police aux mains des services secrets allemands et vice versa, situation inédite, même du temps du communisme, qui n’a eu qu’un seul analogue historique allemand : la GESTAPO du sinistre HIMMLER , ce qui pour un ancien défenseur de la bande de Baader Meinhof –Rote Armee Fraktion-ne manque pas de piquant.. ] .



Deuxièmement, ils appellent pour une extension de l’ accord NAFTA de sorte à ne pas avoir de barrière au ‘libre’ commerce libéral et l’harmonisation des règlements entre le Canada, les USA et le Mexique.

Beaucoup des recommandations de ce rapport ont été mises en route par le gouvernement canadien sous la conduite de Mr MARTIN qui a conduit les premiers pas vers cette harmonisation. Les recommandations, si augmentées détruiraient la souveraineté canadienne. Le Canada ne pourrait plus longtemps édicter ses propres lois en ce qui concerne la sécurité, santé, environnement et des tas d’autres juridictions.

Les plus redoutables des recommandations concernent la défense et la sécurité des frontiers QUI ETENDRAIENT LE ROLE DU NORAD EN UN ‘COMMANDEMENT MULTI SERVICE DE LA DEFENSE’ ce qui revient à dire UN COMMANDEMENT UNIQUE POUR TOUTE L AMERIQUE DU NORD.

Une autre de ces recommandation concerne l’énergie et verrait la fin du Canada en tant que nation souveraine et son passage sous le joug des USA. C’est très exactement ce qu’à dit Harper devant les ‘familles’ nord américaines ce qui me permet de donner à ce texte une très haute note d’authenticité.

La troisième idée centrale du concept “Atlantica” est la “construction régionale cohérente” [ en bref et pour résumer pour ceux qui ne me suivent pas depuis des années, disons que nos « amis » ‘Atlantistes’ veulent construire des Méta Ensembles continentaux et pour les solidifier , redonner du pouvoir à des sous ensembles régionaux beaucoup plus faibles que les nations et hors d’état de s’opposer à la volonté des Méta Ensembles. La Nation en tant que telle et comme pour confirmer la doctrine Kennan de 1947 , est et reste le concept ennemi et cette doctrine a été scrupuleusement suivie depuis lors par la diplomatie et les services secrets des USA.’ le nationaliste, voilà l’ennemi, pour résumer cette pensée ‘internationaliste’ et révolutionnaire]
Ces institutions remplaceraient les ‘anciennes’ structures [lire : nationales]et approfondiraient la relation géostratégique [ exactement ce que disait S.Harper voici quinze jours] entre le Canada Atlantique et la Nouvelle Angleterre..Beaucoup de cette impétuosité est venue du ‘ Policy Research Initiative (PRI)’ afin d’étudier les “Cross Border Economic regions” à travers des projets américains de recherche. [ Marek et beaucoup d’entre nous savent que ce n’est pas par hasard ,bien sûr et qu’on suit un canevas comme les acteurs déclament une pièce de théâtre]. Le PRI a fixé cinq tables rondes concernant les économies des régions frontalières de côte à côte [ ce qui revient à dire que le Canada serait dissous en cinq régions mixant Canada ,Alaska et USA d’aujourd’hui].[ J’invite le lecteur intéressé de vérifier tous mes dires et il constatera que cela est l’exacte vérité qu’on lui cache dans ses médias, mais avec peu de recherches il pourra en appréhender les contours]



Marek Tysis


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vicflame
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Joined: 30 Aug 2006
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PostPosted: Fri Oct 13, 2006 8:36 pm    Post subject: TERRE EN TANT QU’ARME ET EN TANT QUE CIBLE - PARTIE 9 Reply with quote

!!! LE NOUVEL ORDRE MONDIAL ET SES PROJETS D'ARMES DANS L'ESPACE : LES SATELLITES A ENERGIE SOLAIRE ET LE PROJET DE "GUERRE DES ETOILES" !!!


Chers amis,


Après avoir vu la pollution orbitale et environnementale que l'ensemble des projets spatiaux avait provoquée, nous allons voir aujourd'hui 2 exemples apparemment distants mais qui constituent une continuité du MÊME projet d'armement spatial : les satellites à énergie solaire et le projet "Star Wars" (Guerre des Etoiles) aussi nommé S.D.I. ou Strategic Defence Initiative (Initiative de défense stratégique). Shocked Exclamation

A nouveau, nous allons voir que ces projets extrêmement onéreux et qui sont subventionnés avec l'argent des contribuables et des citoyens permettent la SURVEILLANCE des populations, AINSI que la menace et la REPRESSION par les armes ! Surprised Twisted Evil Exclamation

Bonne lecture, bonne réflexion et BONNE INSURRECTION ! Mad Mad Mad Vic.



LA PLANETE TERRE EN TANT QU’ARME ET EN TANT QUE CIBLE – PARTIE 9


PROJET DE SATELLITE A ENERGIE SOLAIRE (1968)

Le programme de satellite à énergie solaire (solar power satellite ou SPS), vers la fin des années 60, a gagné l’appui des civils et des universités en tant qu’alternative à l'énergie nucléaire, mais servi de couverture pour les militaires pour la recherche et l'expérimentation continues sur l'ionosphère. Le coût projeté de l'électricité produite par ce projet était de $3000 par kilowatt comparé à $1100 par kilowatt pour l'énergie nucléaire. Ce fut un programme très onéreux dès le début, exigeant presque $800 milliards rien que pour les 60 satellites requis, et il doit avoir été évident pour certains qu'il ne serait jamais mis en application. Le coût entier du budget était 2 ou 3 fois plus grand que le budget entier du ministère de la Défense ! En 1978, le Dr. Rosalie Bertell faisait partie d’un government review panel, et découvrit l'ombre des militaires qui planait sur ce projet via un autre membre de ce groupe qui précisa qu'il y avait là une possibilité de développer une arme à rayon portée montée sur un satellite pour l'utilisation de missile anti-balistique. Une autre possibilité était qu'elle pourrait être employée pour un système de satellite de surveillance.

« Mon ancien voisin a travaillé pour TRW pendant de nombreuses années, assemblant les petites boîtes noires dans les sats [satellites] qu'ils lançaient. De façon intéressante, ces soi-disant satellites « météorologiques » disparurent soudainement. Mon voisin dit qu’il avait entendu suffisamment de conversations à TRW pour lui faire croire que ces satellites étaient devenus « furtifs » à des orbites élevées de 20.000 milles au lieu de leur orbite originale de 300 milles. Il n'était pas certain de la fonction des petites boîtes noires mais sa vague connaissance des systèmes laser et des composants qui y sont apparentés l'a mené à croire que ces satellites « météo » étaient en fait des armes laser pour une action préventive si cela s’avérait nécessaire… jusqu’à ce moment (le moment où ils seront utilisés pour une action préventive), on se perdra en conjectures quant à savoir quelle fonction ils exécutent réellement.

Les spéculations au sujet d'un rayon laser de grande énergie au sol qui pourrait détruire thermiquement les missiles ennemis entrants furent également abordées. A Livermore, la Californie, au milieu d’une nuit d’été en 1993, j'observai depuis mon arrière-cour un très grand rayon laser de couleur ambre d’environ 10 pieds (3 mètres) de diamètre, qui pointait tout droit vers l'atmosphère à partir du laboratoire Lawrence Livermore. Tout le trafic aérien fut détourné de 5 milles (à peu près 7,5 km) autour du faisceau. Lorsque je demandai à un étudiant en physique, qui travaillait au laboratoire et louait une chambre dans ma maison cet été-là, ce à quoi cela servait, il me dit « Oh, ils fabriquent une étoile, là-haut… »

Dans l'entrée du grand bâtiment des lasers du laboratoire Livermore, il y a une statue en bronze de Shiva haute de 10 pieds (environ 3 mètres), représentant la danse de l'univers. Le premier grand projet laser se nommait Shiva. Une tradition du laboratoire Livermore est que chaque (projet laser) est détruit lorsqu’un nouveau est construit. (Note du traducteur : Shiva est la déesse de la destruction).




L'INITIATIVE STRATÉGIQUE DE DÉFENSE (SDI) OU PROJET « GUERRE DES ETOILES »

Le comité des Nations Unies sur le désarmement a dit au Dr. Bertell, qui avait été préoccupée par des applications d'armes militaires, que tant que le SPS (satellite à énergie solaire) était appelé « énergie solaire », il ne pourrait pas être considéré comme un projet d'armement (d’après « Planet Earth: The Latest Weapon of War » - « La planète Terre : La plus plus récente arme de guerre », par Rosalie Bertell, Black Rose Books, 2001). Par la suite, le Congrès tua ce projet en raison de son coût. Mais il revint sous le nom de Strategic Defence Initiative (initiative stratégique de défense ou SDI) ou projet Star Wars (guerre des étoiles), comme on le nomma sous Reagan. Le coût pour la construction du système de défense « guerre des étoiles » fut estimé entre $100 et $1000 milliards. Les USA ont dépensé presque $30 milliards là-dessus, en dépit des objections des scientifiques, des alliés de l'OTAN, et des mouvements antinucléaires qui soulignaient que ce projet enfreignait les termes du Traité sur les missiles anti-balistiques de 1972.

Des chercheurs américains désillusionnés ont déclaré que ce projet « guerre des étoiles » était une fraude scientifique et que des données avaient été falsifiées ; Caspar Weinberg, ministre de la défense sous Reagan, a déclaré qu'il avait en fait été conçu pour tromper l'URSS et pour les forcer à une escalade dans les dépenses pour la défense militaire. En 1991, je fus approché au laboratoire Lawrence Livermore par un scientifique aux cheveux gris que je n'avais jamais rencontré mais qui semblait me connaître. Il dit :

« La guerre froide est terminée, nous avons regardé les livres (de compte) en URSS et ils sont en faillite. Lorsque l'Union Soviétique s'effondrera dans un an ou deux, vous serez viré. Nous avons seulement besoin de vous [les géoscientifiques] pour contrôler les essais des armes nucléaires mondiales. Nous démantelons l’armée et augmentons la communauté de l'intelligence d’au moins dix fois. »

En 1993, les financements du projet Star Wars, qui était officiellement terminé, furent transférés à l'Organisation de la Défense des Missiles Ballistiques, la troisième réincarnation du même projet depuis Reagan. A présent que c'était un projet compartimenté – défense laser, systèmes radar, la défense nationale des missile (NMD), et la navette spatiale - aucun de ces éléments ne semblait particulièrement alarmant jusqu'à ce que, comme le Dr. Rosalie Bertell le dit, les boucliers de l'espace ou boucliers plasma aient été considérés comme le véritable but derrière les réincarnations persistantes de ces programmes très onéreux.


Last edited by vicflame on Fri Oct 13, 2006 8:48 pm; edited 1 time in total
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marek
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PostPosted: Fri Oct 13, 2006 8:40 pm    Post subject: Reply with quote

ATLANTIS- UNE NOUVELLE UNION NORD AMERICAINE EFFACANT LES FRONTIERES ENTRE LE CANADA ET LES USA.
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Ce qui est omis soigneusement de cette vision d’ Atlantica sont les implications qu’elle entraîne pour le standard de vie des travailleurs du Canada. La phrase « pas de barrière tarifaire au commerce” est une terminologie pour empêcher tout contrôle du ‘gouvernement’, ou toute loi ou toute régulation gouvernementale qui puisse empêcher le business de faire des affaires et surtout du profit. Du gros profit..L’ APCC accueillait une conference à St Jean[ Saint John] du 8-10 juin 2006 [date de Bilderberg] intitulée “Reaching Atlantica: Business Without Boundaries“.[atteindre Atlantica: Business sans frontière]. Cette espèce de langage
Nous conduit à nous interroger sur ce qui est encore sacré en notre monde? Les instigateurs d’ Atlantica, comme Crowley, Jim Quigley et Dennis Savoie sont déjà occupés à vouloir supprimer les salaries minimums, privatiser les soins de santé, restreindre l’assurance de l’ accès à l’emploi, dénier le droit à l’existence des syndicats et fermer les communautés rurales.Les sponsors de la Conférence étaient la ‘ Bank of Montreal’ [de nouveau] et Irving Oil.

Ce qui est encore plus déplaisant est que le concept d’ Atlantica n’offre aucune idée pour les industries de ressources de base qui ont été toujours l’ activité traditionnelle du Canada Atlantique Durant des siècles..[ on se souvient de la supplique et le ton de soumission avec lequel Harper s’était adressé aux ‘ capi di tutti i familgli’[parrains des familles]du Nord-Est des USA].

Rien n’est dit des fermes, industrie forestière et activité de pêche,industries qui ont connu des fermetures et reculs ces dernières années rendant difficile une remise au travail de nombreux travailleurs.

Aussi, Atlantica n’offre aucune solution aux paris majeurs que rencontre notrez future collectif dans le Canada Atlantique en ce compris l’émigration de nombreux jeunes et le vieillissement de la population, le pari causé par le changement climatique, et le déclin précipité du standard de vie pour la majorité des Canadiens Atlantiques.[ les auteurs de l’article n’imaginent pas un seul instant qu’ils ont affaire à une classe qui laissera mourir des millions de canadiens pour satisfaire à leurs vues néo malthusiennes et que les perspectives économiques ne sont pas les seules à entrer dans leurs calculs ce qui a notre époque constitue une grave erreur ; en effet cela témoigne de l’ignorance que l’on a généralement de ces classes égoïstes et puissantes]

Dans le même theme que les négociations autour du NAFTA, l’OMC et le FTAA, les groupes de la société civile ne sont plus invites à la table ni ne sont invitées aux négociations au sujet de’ Atlantica’.[ Faut il rire ou pleurer de cette constatation digne de gens qui se prennent pour valant plus qu’ils ne sont ?le rideau est levé pour le Canada et ces fats s’étonnent !]

Sur le site promotionnel de la conférence “Reaching Atlantica: Business Without Boundaries” ceux qui ont été invites sont: “de petits propriétaires d’affaires, administrateurs de sociétés, managers et directeurs,aussi bien que des représentants du gouvernement des quatre provinces atlantiques et du Nord Est des USA”.

Ce qui est encore plus étonnant est de savoir comme le planning de cet événement a été discret.[ avec Bilderberg nous sommes servis, alors…].Il n’y a eu aucune allusion ni mention dans les média [ on peut compter sur ces laquais du papier et du pixel pour lécher la main qui les nourrit]
La nature secrète devrait faire sonner l’alarme dans la société civile [informée par des médias aux ordres].


S’ilsne veulent pas que vous soyiez au courant , c’est qu’ils préparent quelque chose que vous n’aimeriez pas.[ je confirme…]

http://gothinkblog.com/?p=403

Traduit et commenté par Marek Tysis pour votre édification.Les commentaires de Marek ont été mis entre crochets. []
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PostPosted: Sat Oct 14, 2006 3:36 pm    Post subject: Reply with quote

BILDERBERG 2007

Marek va vous traduire et commenter un article paru le 16 octobre sur American Free Press.
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LE CONSEILLER SECRET DE BUSH A UN PASSE SANGLANT :MEMBRE DE BILDERBERG IL A L OREILLE DU PRESIDENT
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Par Richard Walker

Alors que plus de soldats US tombent en Irak, et que le président Bush raconte aux américains qu’il “gardera la course” [pour les raisons que nous connaissons et qui ont été exposées par un nouveau membre de Bilderberg en 2006- voir le topic en page 1 ou 2], même si ses plus fervents supporteurs restent sa femme et son chien Barney, des rapports nous parviennent selon lesquels Bush reçoit le conseil d’un homme qui sait tout au sujet de l’ échec.

Cet homme est Henry Kissinger, 88, qui a servi comme conseiller national à la sécurité et secrétaire d’état sous Richard Nixon et puis Gerald Ford.

Selon le rédacteur du Washington Post , Bob Woodward , dont le nouveau livre “ State of Denial” donne des maux de tête à la Maison -Blanche, Kissinger a été un conseiller de Bush derrière les rideaux durant quelque temps de façon régulière.

La presence de Kissinger au sein de la maison blanche de Bush ne devrait pas surprendre ceux qui ont étudié sa carrière politique, incluant son influence sur le mouvement néo conservateur et son appartenance au Bilderberg.Son rôle en tant que conseiller du président peut aider à expliquer certaines des vues de Bush junior au sujet de la guerre en Irak et aussi quelques unes de ses expressions de langage.

Les dires favoris de Kissinger sont, "l’absence d’ alternative nettoie l’esprit merveilleusement." En d’autres mots, ne cherchez jamais d’alternatives
,ou comme il le disait à des régimes notoirement connus en tant que conseiller à la sécurité nationale, "réussissez et faites le job rapidement."[ incitation au meurtre ?]

Selon Woodward, Kissinger pense qu’il combat la guerre au Vietnam à nouveau,[nous savons ce qu’il en est, bien sûr] sauf que cette fois
Il a l’intention de la gagner. De même, Bush a rendu clair qu’il cherchera la victoire en Irak- quoi que cela puisse vouloir dire- et sans tenir compte du nombre de soldats qui puissent y perdre leur vie. [autre dire de ce ‘grand ‘ monsieur : « les soldats sont des pions »]

Kissinger a surgi de l’ arrière plan cette année pour faire une série de points presse concernant l’agenda néo conservateur au sujet de la ‘reconstruction’ du Moyen Orient et créér un Nouvel Ordre du Monde. Il a été spécialement actif en articulant des vues sur base des perceptions d’ Israël sur la façon dont les USA devrait développer sa stratégie au Moyen Orient.[ H. Kissinger a suivi ses parents alors qu’ils fuyaient l’ Allemagne Nazie, à l’instar de Madeleine Allbright et leurs familles n’ont pas connu de difficultés lors de leur réinstallation pour le premier aux USA et pour la seconde en Grande Bretagne][ certains ont prétendu que Kissinger n’ était pas un vrai Juif, alors qu’ Allbright ne se souvenait pas- à l’instar de Kerry- qu’ils avaient des parents juifs…ces ‘trous’ de mémoire sont quand même très curieux.]

Né en Allemagne,d’origine juive, Kissinger n’a jamais caché son support au sionisme et ses liens rapprochés avec Israel. Le 3 septembre il déclarait publiquement que les nations Européennes devraient mettre de côté leur différence avec les USA parce que les les deux continents faisaient face à une possible "guerre de civilisations" qui "dépassait la désunion laissée par la guerre en Irak."

L’humanité faisait face à une "catastrophe globale," a t’il prévenu, et cela signifie que l’ Amérique et ses alliés devaient commencer à construire un “Nouvel Ordre Mondial”.

Si le passé de Kissinger nous enseigne quelque chose au sujet de son “Nouvel Ordre Mondial” c’est que cet ‘Ordre’ s’accommodera de dictateurs et que le prix humain de ces politiques ne sont jamais excessifs au regard de leurs sensibilités.
[ le reste de l’ article n’a pas été traduit car il condense les scores de Kissinger du prix Nobel de la « Paix » en matière de meurtres que ce soit en Indonésie ou en Amérique du Sud, ce que tout le monde sait sans même parler de son indéfectible soutien à l’ex président Pinochet dans sa dure épreuve légale…
Il est à noter qu’il y a quinze jours notre ‘Prix Nobel ‘ s’est rendu auprès de Benoît XVI pour une audience privée DONT AUCUN JOURNAL N A FAIT ECHO. ( sauf La Croix et par erreur à mon avis).Il n’est pas difficile de penser que ‘la gaffe’ de Ben Oïd Xvi au sujet du ‘Dieu de raison’ à Ratisbonne a fait l’objet d’un entretien traitant du ‘conflit de civilisation’ en cours de déclenchement imminent et pour lequel Kissinger cherche a obtenir l’appui de l’ Eglise catholique afin de le rendre crédible, à l’instar de Zbignew Brzezinski obtenant l’appui du défunt pape Jean Paul II pour lancer la croisade pour la ‘démocratie ‘ en Pologne voici vingt huit ans. Tout est conditionné par les USA et visiblement les dires de ce membre du steering committee de Bilderberg vont dans le sens d’un conflit ouvert avec l’ Islam. En ce sens, cette alliance Atlantique entre Europe et USA devra se faire sur le dos de l’ Islam et les provocations ne vont pas manquer de s’étendre graduellement que ce soit en Europe ou aux USA jusqu’au moment où cette guerre est ouverte, avec l’ application de la dictature du NWO et des moyens de contrôle de population que notre ami VicFlame vous décrit quotidiennement.]

Marek Tysis


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Richard Walker is the nom de plume of a former mainstream news producer who now writes for AFP so he can expose the kinds of subjects that he was forbidden to cover in the controlled press.
(Issue #42, October 16, 2006)
Not Copyrighted. Readers can reprint and are free to redistribute - as long as full credit is given to American Free Press - 645 Pennsylvania Avenue SE, Suite 100 Washington, D.C. 20003

Voilà qui est fait.Marek
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Maximus
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PostPosted: Tue Oct 17, 2006 12:30 am    Post subject: Reply with quote

Marek, peus-tu aller voir ce post et me donner ton avis, s'il te plait. Merci
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marek
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PostPosted: Tue Oct 17, 2006 9:36 pm    Post subject: Reply with quote

FAREED ZACHARIA+ MEMBRE DU BILDERBERG+
UNE RENCONTRE SECRETE SUR L ‘ IRAK INCLUAIT DES JOURNALISTES
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http://fairuse.100webcustomers.com/sf/nyt10_9_6.htm
New York Times / by Julie Bosman
Oct 9 2006
Us code copyright art 7 ss 107.Mes commentaires sont entre crochets
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“C’était la sorte de meeting secret de Washington que Bob Woodward aime décrire en détail. Dans son nouveau livre, "State of Denial," il écrit que le 29 novembre 2001, une douzaine de décideurs politiques,experts du Moyen Orient et members d’organisations de recherché influents politiquement se sont rencontrés en Virginie à la demande de mr Paul D. Wolfowitz, alors assistant au ministre de la défense.

Leur objectif était de produire un rapport pour le président Bush et son cabinet décrivant une stratégie pour traiter avec l’ Afghanistan et le Moyen Orient à la suite du 11 septembre 2001. [ Wolfowitz est un Bilderberg]

Ce qui est encore plus unusual , révèle Mr. Woodward, était la presence de journalistes au meeting. Fareed Zakaria, le rédacteur de Newsweek International, et Robert D. Kaplan, maintenant un correspondant de l’’ Atlantic Monthly’,ont assisté au meeting et selon Mr. Kaplan,ont signé un accord de ne pas discuter de ce qui s’y est passé.

Alors que des members de groupes de recherché politique communiquent leur avis à des officials de l’ administration, les journalistes n’assistent pas typiquement aux meetings ou n’aident pas à compiler des rapports du gouvernement.En effet les journalistes de Washington se plaignent de ce que l’administration courante les tienne à distance.

Mr. Zakaria a declare qu’alors qu’il participait au meeting Durant plusieurs heures, il ne se souvient pas qu’on lui ait dit que cela déboucherait sur la publication d’un rapport.

"Je pensais qu’il s’agissait d’une séance de brainstorming ," a t’il dit.

"On ne m’a jamais dit qu’il y aurait un document résumant nos vues et je n’ai jamais vu un tel document." (Mr. Woodward écrit que le rapport, qui appuyait l’ invasion de l’ Irak, a poussé mr. Bush à se focaliser sur la “malignité” de la situation au Moyen Orient.)
Mr. Kaplan a dit que beaucoup de temps du meeting a été consacré à faire un brouillon et à le retravailler, qui a la fin portait les noms de tous les 12 participants et était un " résumé puissant des meilleurs arguments pour aller en guerre à l’époque."

Se peut il qu’un quelconque des participants ait été dans l’ignorance qu’un document était en préparation? "Non, cela n’est pas possible," a t’il dit.

Mr. Kaplan, qui était un rédacteur indépendant à l’ Atlantic Monthly, a dit qu’il a parlé à son rédacteur avant de participer, et a reçu l’autorisation parce que ‘tout le monde était en ferveur patriotique’.

Mr. Zakaria dit que sa participation était appropriée car ses vues, en tant que rédacteur de Newsweek, étaient publiques, malgré qu’il n’a jamais divulgué
Son implication à ses lecteurs.

"Ma colonne est une colonne analytique," dit il, ajoutant qu’il donne conseil à décideurs politiques et officiels élus: "si un sénateur m’appelle
et me demande ce que nous devons faire en Irak, je suis heureux d’en parler avec lui."

Fin de citation---End of Quote
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Occupation courante
Conseil , International Institute of Strategic Studies 2005
Bureau des directeurs, Council on Foreign Relations 2006
Présidence du conseil de surveillance, Council on Foreign Relations 2004 - 2005
Membre, Bureau des Trustees Manhattan Institute 2005
Occupations précédentes
Editeur exécutif de ‘ Foreign Affairs’( 2000)

Membre Bilderberg 2005 May 5th-8th- Munich
Membre Bilderberg 2003 May 15th-18th- Versailles

Source "http://www.global-elite.org/index.php/Fareed_Zakaria"

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Nous voyons donc que mr Zakaria Fareed était présent à cette réunion plus en tant que CFR et éditeur de ‘Foreign Affairs’ qu’en tant que rédacteur chez Newsweek. Son influence à compté dans la formulation de la politique de la maison Blanche dans sa décision de partir en guerre en Irak, car à l’époque, on parlait surtout d’ Afghanistan et l’ Irak n’était pas à l’ordre du jour, sauf pour certains… Les autres participants à cette réunion ne sont pas cités, mais on est sûr que deux membres de l’ élite y participaient. Après la révélation des ‘bons conseils’ donnés par le cher ‘Henry’, on voit toute une clique entourant la maison blanche et travaillant à son projet dans l’ombre, projet dont le ‘monde libre’ paie les pots cassés encore de nos jours. Après les dernières déclaration du ‘docteur’ Folamour sur la nécessité de ‘nucléariser’[dans le mauvais sens du terme, bien sûr] l’ Iran, on devrait se méfier de tels stratèges qui nous conduisent vers l’abîme.
Je remercie Maximus d’avoir attiré mon attention sur le mystérieux Zakaria qui l’est à présent moins pour les lecteurs du Forum.

Marek Tysis
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rocket



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PostPosted: Sat Oct 21, 2006 2:36 am    Post subject: Reply with quote

Tes articles visent le terrorisme..prenez la bible et priez jusqu'a l'arrivé de jesus oublier se qu'i se passe sur cet terre car tous doient arriver et encore vous avez pas vue le pire..
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