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BILDERBERG 2008
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AtomicDog



Joined: 16 Oct 2007
Posts: 72

PostPosted: Tue Jan 20, 2009 1:22 pm    Post subject: les crapules Reply with quote

Voici une petite video trouvée au hasard sur le web, ou vous pourrez admirer la morgue affichée par les bilderberges que sont davignon et Lippens...
Ils sont culottés ces deux là!
http://www.dailymotion.com/video/x825km_davignon-le-bilderberger_news

ils me font gerber ces " heckle & jeckle"...

dommage que il y a pas l'emission au complet...
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marektysis
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Posts: 1581
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PostPosted: Fri Jan 30, 2009 9:25 pm    Post subject: Reply with quote

Cher Atomic dog,

Ils me font gerber aussi. Toutefois Davignon a été expulsé de son intention de devenir quelque chose dans Fortis, et ce sous les huées de l' assemblée générale des actionnaires. Lippens a été expulsé de son siège dans Fortis à la demande du gouvernement Leterme. Leterme qui a été expulsé honteusement de la vie politique belge pour ses tentatives d'influer sur la Justice belge dans le cadre de l' affaire Fortis.A la suite de sa démission sous pression, Lippens a démissionné de son poste à Belgacom.
Le troisième Bilderberg, Michel Tilmant a été démissionné de son poste chez ING à la suite de l'énorme perte de 1 milliard de Euro au quatrième trimestre 2008.

Décidément les Bilderberg du monde entier dans le secteur bancaire ont introduit la merde de la titrisation dans les banques du monde entier.
Royal Bank of Scotland où Sutherland était introduit, aussi.

Santander qui s'était tenu à l'écart a été touche par Madoff...

Qui désormais est à l'abri?

Demain un article décoiffant sur la suite à donner à la crise, et à l'aveniR MORTIFERE POUR l ensemble des économies américaines et US.


Je ne désire pas faire peur, mais il faut tirer les conséquences de tout cela.
Et cela est grave.
Nous allons vers la Révolution mondiale et ses soubresauts.

Le peuple comme les tyrans peuvent gagner !

Marek
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marektysis
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Joined: 01 Nov 2006
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PostPosted: Mon Apr 13, 2009 6:32 pm    Post subject: Reply with quote

BILDERBERG 2009

lES ILLUSIONS DU MARCHE OU LA MARCHE VERS L ENFER

un renversement des tendances du marché des actions a projeté des commentaires positifs et optimistes de la part de l’administration Obama suggérant que l’économie américaine et sur la voie de recouvrir sa santé pleine et entière. Mais un examen sérieux de l’État du système financier et de l’économie au sens large suggère que de telles célébrations sont prématurées.
l’indice Dow Jones industriel s’est élevé de 1500 points. Depuis qu’il a touché une baisse historique de 11 ans à 6547 points le 9 mars 2009.le marché a clôturé le 9 avril à 8083 points. Loin de marquer une fin définitive la crise financière, l’élévation récente est la troisième consécutive depuis le crash de de septembre octobre 2008 qui a suivi l’échec de Lehamn Brothers et l’aide massive fédérale à AIG.

il y a eu une hausse de 1500 points similaire durant le week-end qui a culminé lors de l’élection de Barack Obama comme président des États-Unis le dernier 4 novembre 2008.

Après cela le Dow Jones perdit 2000 points dans les trois semaines suivantes.

en décembre nous connaissions une nouvelle hausse de 1500 points, qui suivait la sélection du favori Timothy Geithner comme secrétaire au trésor, avant que la cotation ne baisse de 2500 points..

La dernière augmentation fut provoqué par une réponse positive de Wall Street
lors d’une intervention d’Obama au sujet d’une intervention de grande ampleur. Le marché pourrait très bien donner suite à un plongeon énorme,particulièrement si le nouveau choc financier devrait intervenir comme la faillite de Citibank ou de Bank of America, ou d’une attaque de grande ampleur contre le dollar américain surévalué.

le président Obama a néanmoins sauté sur l’occasion de la hausse du marché
pour dire vendredi après un meeting avec ses conseillers économiques de haut niveau, « ce que vous commencez a voir est le début de l’espoir de l’économie »
« Vous commençez a voir des progrès...et si nous ne doutons pas à traverser quelques difficultés,alors je suis je suis absolument convaincu que nous aurons cette économie de retour sur les rails»

l’économie en chef d’ Obama, , Lawrence Summers,a déclaré lors d’un rapport largement répandu 9 avril 2009 au Economic Club of Washington: “le sentiment d’une balle qui est tombée de la table, qui est ce que l’économie a fait depuis le début de l’automne de 2008,je pense que nous pouvons être confiants raisonnablement que cela va finir dans les quelques mois qui suivent.et que cela n’aura plus rien à voir avec une chute libre »

il a ajouté une lorsque le chômage continuerait à monter à travers l’année,les les programmes de la Maison-Blanche et le programme de stimulus vaincraient un excédent de peur.

ce qu’on essaye de faire dire à travers ces commentaires est une tentative de confondre l’élévation des cours de bourse et des profits de banque améliorés avec une amélioration de l’économie réelle,et il n’en est rien car la pauvreté le non emploi,concerne de plus en plus des proportions larges de la population.Cela souligne essentiellement des intérêts de classe qui sont représentés par l’administration OBAMA.




UN AIR DE DEJA VU


il était une fois une élection présidentielle aux États-Unis d’Amérique. Quelques mois après l’élection l’homme non inspiré quittait la Maison-Blanche.la presse n’était pas désolée de le voir s’en aller .l’homme qu’il remplaçait était salué par la nation comme un nouveau président , jeune, dynamique qui venait du coeur de l’Amérique. Certains l’appelaient comme l’homme le plus brillant qui devint président des USA.
ses actions furent encore plus amusantes parce qu’il venait d’un pauvre milieu et n’avait jamais connu son père.le nouveau président aimait la haute technologie et il croyait, que la planification en analyse pourrait résoudre les problèmes de la nation comme vous pourriez résoudre un problème d’ingénieurs. Un journal de Philadelphie l’appelait’ la figure la plus réputée dans la science moderne de l’ingienerie’.
là où il allait-il créait une agitation.ils formait des comités et aidait les concile de commerce, sponsorisait les recherches de programmes, poussait les fondations, poussait les rapports écrits et des travaux de commission pour résoudre les problèmes.il connaissait les problèmes mieux que les experts . L’éducation, l’ industrie pétrolière, les soins médicaux pour les enfants ,la conservation – il était intensivement intéressé dans chaque sujet public. Et il rédigeait lui-même souvent les bills.

l’idée de base du nouveau président était simple : si les affaires, le travail, et le gouvernement travaillaient juste ensemble, la vie deviendrait meilleure.

devant faire face à une chute économique qui n’était pas de sa faute, le président utilisa toutes les ressources du gouvernement pour y faire face. Des taux d’intérêt bas furent la pierre d’angle de sa politique. Le gouvernement s’activa à éloigner les compétitions étrangères qui n’étaient pas loyales.
la réserve fédérale mit de l’argent dans l’économie.
des programmes à haut stimulus furent passés. Les travaux publics majeurs commencèrent dans les 4 années de sa présidence. Il prêta au business pour engager plus de gens et pour couper les baisses de salaires.des prêts et des garanties furent données à des groupes en détresse aussi vite que le président pouvait signer ces documents.mais il signa la plus grande augmentation des taxes en temps de paix de l’histoire des États-Unis : le taux marginal grimpa de 25 % à 63 %.

Toute cette activité fut faite en vain.la dépression s’approfondissait et les rues de Washington étaient remplies de protestants demandant de l’argent du gouvernement.le président dut utiliser l’armée pour décourager les manifestants.

Quatre années après avoir prêté serment sur une vague d’espoir, le président fut oublié de l’histoire des États-Unis et les historiens le blâmeraient pour ne pas avoir fait assez pour arrêter le collapse économique.

Il s’agissait de Herbert Hoover, président des USA de 1929 à 1933 et bouc émissaire de la grande dépression.

Marek Tysis
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PostPosted: Wed Apr 15, 2009 2:33 pm    Post subject: Reply with quote

Cher Marek,


Merci pour cet article édifiant !

Barack Hussein Obama ne serait-il donc en définitive qu'un ersatz de Herbert Hoover, et destiné à devenir le bouc émissaire de la crise mondiale ? Question Confused

Voilà une piste intéressante à suivre, et qu'il faudra tenir bien à l'oeil et à l'esprit lors des prochains mois. Wink

En tout cas, nous pouvons constater que l'élite putride du nouvel ordre mondial remet sur le tapis la même tactique qu'il y a 75 ans... Shocked

Et les gens, ignorant les faits du passé, n'y voient que du feu ! Surprised Crying or Very sad Embarassed

Comme quoi, connaître l'histoire peut parfois avoir certains avantages...

Vic.
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marektysis
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PostPosted: Sat Apr 25, 2009 3:59 pm    Post subject: Reply with quote

BILDERBERG 2009

ANALYSE

COUPABLES D AVEUGLEMENT


Alors que, Obama ,nouveau président sans expérience des États-Unis d’Amérique, cherche à revaloriser les alliances jadis appréciées de son état avec les sujets de l’Amérique, arrive à trouver quelque crédit avec l’organisation des états américains (Amérique du Sud), on se doute que sa trajectoire à ce jour, sans faute, ne va pas tarder à trouver quelque contre-voie.

En effet, la stratégie de son prédécesseur qui fut brouillonne , avait visé l’Afghanistan pour en chasser les talibans. Mais aussitôt des forces supérieures furent dégagées pour déloger les forces de Saddam Hussein.Plutôt que de faire élire ou désigner un gouvernement provisoire irakien auxquelles les anciennes forces armées de Saddam Hussein auraient prêté serment, le triste sbire de Washington voulu faire affirmation de la puissance américaine en terre d’ Irak pour imposer son avenir au pétrole irakien.

De ce fait, et compte tenu de l’opposition des forces irakiennes anti-impérialistes, les États-Unis d’Amérique se virent fixer sur un sol devenu ennemi .

L’énergie et l’argent nécessaires en Afghanistan furent gaspillés en Irak.

Aujourd’hui, les alliés de l’OTAN, se voient recommander de pallier à toutes les insuffisances passées des États-Unis Amérique, celle qui aurait pu permettre de mieux une reconversion de cet État et son passage à la transition moderniste. Mais l’échéance a été manquée, et tous les investissements de l’Europe et de l’Amérique du Nord ne parviendront pas à combler le déficit historique du manque de vision du président Caligula Bush.

Que le Pakistan ne devienne taliban importe peu.Que ces forces nucléaires deviennent talibanes importent beaucoup.

Nous pouvons nous accommoder d’un Pakistan arrièré. mais celui-ci jouant dans l’arrière-cour de l’Afghanistan le rôle de réserve ennemie est de Facto un facteur de défaite.

Le plus important pour l’Occident est de réduire le rôle des forces armées nucléaires pakistanaises à néant si les forces armées de ce pays sont incapables de faire face à la menace confessionnelle et arriérée de ce pays.

Il importe dès lorsde souscrire à des alliances secrètes avec l’Inde, et de planifier des actions en commun avec cet État régional pour garantir la paix du monde. Nous savons que le Pakistan dans l’état actuel de son instabilité confessionnelle représente un danger à la fois pour l’Inde, l’Afghanistan, le Cachemire et la Chine.

Nous savons aussi que selon les théories du professeur nazi Haushoffer de l’ institut géopolitique de Munich,(1924) l’ Afghanistan est le centre du monde et que la victoire des talibans dans ce territoire mènera fatalement à une influence majeure sur le Moyen Orient et le Proche Orient.Or ce courant sera extrémiste en ce cas.

Ce mouvement de bascule en faveur d’une action contre le Pakistan doit fatalement aboutir
à des concessions en ce qui concerne le rôle régional de l’ Iran. Ce rôle en accomplissement
ne peut conduire, selon les leçons de l’histoire à des prises de risques incompatibles avec l’exercice de la puissance, d’où une responsabilisation de l’ Iran et la diminution de ses jeux avec les fous du damier.

Voici donc en quelques mots mon analyse synthétique d’une atténuation des crises proches par la vidange d’une crise lointaine.

Naturellement, cette analyse ne tient compte que de l’aspect purement intellectuel et non humain de sa résolution.Nous savons que Bilderberg ne raisonne pas en termes humains.

Marek Tysis
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